impression (bizarre ?) que l'amour ne m'intéresse pas...

[Flower]

Du coup rien à voir avec le sujet d'origine, mais Time Lady, tu ne voudrais pas m'envoyer ton document pour mon copain? Il a bossé au 3x8 pendant 5 ans et il a pris 10 kilos avec ça et ne sait pas comment les perdre sans se forcer à manger des trucs qu'il n'aime pas (il n'est pas trop légumes).

Bon, ça permet de revenir sur la question du physique: je pense que ça compte quand même dans une relation amoureuse, mais pas forcément dans le sens où les gens l'entendent spontanément. Il n'est pas tellement question d'être "beau", mais d'être "compatible", et la beauté, c'est très subjectif en plus... Pour l'exemple, j'ai tendance à trouver "beaux" des hommes grands et très minces, pourtant je n'ai jamais été en couple avec un homme qui a un tel physique et mon copain actuel est même plutôt le contraire. Quand je l'ai rencontré, je l'ai d'ailleurs trouvé un peu quelconque, et à force de le connaître (et d'en tomber amoureuse), aujourd'hui je lui dis assez souvent que je le trouve beau. Et clairement, il y a entre lui et moi une attirance physique énorme, bien plus importante qu'avec mon ex par exemple.

[TimeLady]

Du coup rien à voir avec le sujet d'origine, mais Time Lady, tu ne voudrais pas m'envoyer ton document pour mon copain? Il a bossé au 3x8 pendant 5 ans et il a pris 10 kilos avec ça et ne sait pas comment les perdre sans se forcer à manger des trucs qu'il n'aime pas (il n'est pas trop légumes).

Bon, ça permet de revenir sur la question du physique: je pense que ça compte quand même dans une relation amoureuse, mais pas forcément dans le sens où les gens l'entendent spontanément. Il n'est pas tellement question d'être "beau", mais d'être "compatible", et la beauté, c'est très subjectif en plus... Pour l'exemple, j'ai tendance à trouver "beaux" des hommes grands et très minces, pourtant je n'ai jamais été en couple avec un homme qui a un tel physique et mon copain actuel est même plutôt le contraire. Quand je l'ai rencontré, je l'ai d'ailleurs trouvé un peu quelconque, et à force de le connaître (et d'en tomber amoureuse), aujourd'hui je lui dis assez souvent que je le trouve beau. Et clairement, il y a entre lui et moi une attirance physique énorme, bien plus importante qu'avec mon ex par exemple.

Je viens de t'envoyer le doc en MP.

Après le côté "n'aime pas les légumes" risque de compliquer un peu la donne, parce que les légumes, en rééquilibrage alimentaire, c'est quand même bien pratique.

Pour le reste, je sais que je n'ai jamais éprouvé d'attrait physique pour un homme, même quand les autres femmes bavaient dessus.

[le jean moulant]

Je n'ai pas une bonne relation avec la nouriture...quand j'étais plus jeune j'alternais les périodes d'anorexie et de boulimie.

De plus, je suis toujours dans les extrêmes pour tout...alors si je suis un régime je peux très bien ne rien manger du tout, une tranche de pain et une salade tous les jours par exemple. Ce n'est évidemment pas un exemple à suivre, mais je suis une adepte du tout ou rien.

Même à l'époque ou j'étais mince...je me voyais énorme.

[MrsJack]

Je pense que ça compte quand même dans une relation amoureuse, mais pas forcément dans le sens où les gens l'entendent spontanément. Il n'est pas tellement question d'être "beau", mais d'être "compatible", et la beauté, c'est très subjectif en plus... Pour l'exemple, j'ai tendance à trouver "beaux" des hommes grands et très minces, pourtant je n'ai jamais été en couple avec un homme qui a un tel physique et mon copain actuel est même plutôt le contraire. Quand je l'ai rencontré, je l'ai d'ailleurs trouvé un peu quelconque, et à force de le connaître (et d'en tomber amoureuse), aujourd'hui je lui dis assez souvent que je le trouve beau. Et clairement, il y a entre lui et moi une attirance physique énorme, bien plus importante qu'avec mon ex par exemple.

Oui je comprends ce que tu veux dire.
Mon compagnon actuel, je ne le trouvais ni beau ni moche quand on s'est rencontré. C'est lui qui m'a fait des avances, j'ai accepté sans rechigner par curiosité (cœur libre donc ouvert à l'inconnu).
Mais à force de le côtoyer, d'apprendre à le connaître et d'avoir des contacts physiques et intimes j'ai fini par lui trouver du charme et une certaine beauté (j'aime son nez par exemple, alors que je ne le trouvais pas beau au premier abord).
A l'inverse j'ai eu une attirance physique pour mon ami aspie dès le début. Il correspondait à tous mes critères physiques de l'homme idéal. Avec le temps, je ne fais plus du tout attention à ce qui m'attirait chez lui physiquement (je pouvais passer des heures à le contempler), maintenant ce que je ressens quand je le vois c'est une espèce de bonheur intense de l'avoir à mes côtés, de sentir ce manque comblé. Je n'ai pas besoin de le regarder, le son de sa voix, la très légère odeur qu'il dégage et sa "présence" m'hypnotisent bien plus que son physique.

Ton goût Flower pour les hommes grands et minces me rappelle la réflexion d'une ancienne camarade de promo. Elle disait :
"Moi j'aime les hommes grands et maigres parce que quand je les vois tout nu j'ai l'impression qu'ils ont un gros sexe."

Elle reconnaissait elle même que c'était une "illusion d'optique" et que c'était un goût débile. Mais c'était drôle.

Même à l'époque ou j'étais mince...je me voyais énorme.

Ca c'est un vrai problème.

Je me souviens qu'au lycée j'étais pas bien du tout dans ma peau et quand je revoie les photos aujourd'hui je suis sidérée de voir à quel point j'étais mince et tout ce temps gâchée à être complexée pour rien...
J'ai une photo par exemple où on est bras dessus bras dessous avec mes 3 meilleures copines : c'est à peine si je suis plus épaisse qu'elles (il y a une différence mais elle est minime) et en effet à l'époque à 3kg près j'avais atteint mon poids de forme. Pourtant je me trouvais plus laide, plus grosse, plus repoussante que les autres.
Et tout ça c'est à cause des AUTRES.
Je crois surtout à cause d'un pote à nous. Il a essayé de sortir avec 2 de mes 3 copines alors que c'est avec moi qu'il s'entendait le mieux, mais j'étais la seule qui ne lui plaisait pas physiquement... (Au passage : la 3e il n'a pas voulu parce qu'il la trouvait très jolie mais trop pénible à vivre. Il disait qu'il l'aimait bien mais qu'il n'avait aucun sentiment pour elle et qu'en plus il passerait leur temps à s'engueuler s'ils sortaient ensemble.)
Ça m'a beaucoup marqué je crois, alors qu'avec le recul je me rend compte que c'est lui qui avait un problème : il aimait les anorexiques. Il est sorti quelques mois avec une fille squelettique qui était anorexique. Et même s'il était inquiet pour sa santé il aimait sa maigreur. Il a aussi eu le culot de dire que l'une de mes 3 copines avait des rondeurs mais qu'elles n'étaient pas dérangeantes. Merde elle faisait du 36 la nana ! Elle était juste pas taillée comme les deux autres.

Aujourd'hui, alors que je suis dans la catégorie "obèse" je me sens nettement mieux. Parce que j'ai remarqué que les périodes où j'avais eu le plus de succès n'étaient pas les périodes où j'étais la plus mince mais celles où j'étais la plus ouverte et la plus joviale. Du coup j'ai décidé de ne me préoccuper de mon poids que pour des raisons médicales. Je mange ce que je veux quand je veux et je ne me fis qu'à mes analyses de sang pour adapter mon régime alimentaire. L'aspect esthétique j'en ai plus rien à faire ! (Mais c'est quand même reloud pour les vêtements, c'est vrai.)

[le jean moulant]

La façon dont je me voyais n'avais strictement rien à voir avec le regard des garçons sur moi...mais était due à ma mauvaise estime de moi-même.

De toute manière les gamins de mon âge ne m'attirais point.

[TimeLady]

Personnellement je n'ai jamais été victime de moqueries quand j'étais en "obésité modérée" (dixit l'IMC). Au contraire, si j'y songe bien, je me faisais davantage draguer que maintenant, la faute probablement aux deux ballons qui me faisaient office de poitrine. J'ai perdu deux bonnets en même temps que mes kilos et franchement : TANT MIEUX !

Et du coup je ne me trouvais pas "grosse". Tout comme maintenant, sacrilège, je ne me trouve pas mince. Je fais 52 kilos pour 1,57 mètres...et j'ai troqué le 44 pour le 38. J'ai même perdu une pointure de chaussures (le truc dingue !). Et pourtant...bah quand je me regarde dans la glace, j'ai du mal à me trouver mieux qu'avant. Il a fallu que je m'aperçoive sur une photo prise en cachette par mon père pour réaliser que, ah oui quand même, j'avais changé de silhouette. Et certains matins je suis obligée de me raisonner à voix haute pour mettre tel ou tel vêtement parce que je me trouve "grosse" dedans. J'ai d'ailleurs fait en sorte de stabiliser à 52 parce que j'ai failli tomber dans le piège du "toujours plus" et que ça aurait pu virer à l'obsession.

Je n'arrive même pas à m'expliquer, simplement : grosse, je ne me voyais pas grosse. Mince, je ne me vois pas mince. Nous voilà bien.

J'ai perdu du poids parce que j'ai eu un gros choc en me pesant début 2015 et qu'après la trentaine j'avais bien conscience que j'aurais beaucoup de mal à perdre. Sans parler des éventuels problèmes de santé à venir. Mais je n'avais aucune visée esthétique, ce qui surprend quand je le dis... Et je ne cherchais pas non plus à plaire à quiconque, en fait je suis généralement totalement hermétique aux compliments.

[le jean moulant]

Les femmes devraient arrêter de vouloir absolument plaire aux hommes...elles peuvent vouloir être jolies...perdre du poid, oui mais pour se faire plaisir à elles-mêmes.

Les gars ne méritent pas toute cette peine, ils peuvent avoir une jolie copine, mais ils regarderont toujours par dessus l'épaule lorsqu'il y en a une mieux qui passe.

Enfin là je généralise quelque peu...il y a sûrement des exceptions.

Mais je n'ai jamais pigé cette obssession du plaire à tout prix.

[TimeLady]

Moi j'ai toujours dit : l'essentiel c'est de se plaire à soi, pas de plaire aux autres.
Après je reconnais que je me plais mieux sur l'aspect intellectuel que sur l'aspect physique. ^^

[Samfelsouth]

Bonjour TimeLady

pour revenir au sujet de départ, je suis complètement aromantique (depuis toujours) et asexuel-le (depuis quasiment 10 ans)
Je n'ai pas trop envie d'étaler ma vie privée ici mais je n'ai qu'une histoire dans ma vie. Mon exe n'était guère romantique et notre relation était essentiellement basée sur une très grande complicité (le mot n'est pas assez fort mais je n'en trouve pas d'autre) intellectuelle.
La vie à 2 a été un enfer absolu et m'a conduit-e (associée à d'autres facteurs) à la rupture psychique complète.

Aujourd'hui il m'est totalement inenvisageable de revivre avec quelqu'une.
Avoir une relation amoureuse me semble étranger à mon fonctionnement.

Par ailleurs je suis childfree depuis toujours. Je n'ai jamais voulu d'enfant, l'idée même de la maternité m'est étrangère.

Donc tu n'es pas seule

[TimeLady]

Bonjour TimeLady

pour revenir au sujet de départ, je suis complètement aromantique (depuis toujours) et asexuel-le (depuis quasiment 10 ans)
Je n'ai pas trop envie d'étaler ma vie privée ici mais je n'ai qu'une histoire dans ma vie. Mon exe n'était guère romantique et notre relation était essentiellement basée sur une très grande complicité (le mot n'est pas assez fort mais je n'en trouve pas d'autre) intellectuelle.
La vie à 2 a été un enfer absolu et m'a conduit-e (associée à d'autres facteurs) à la rupture psychique complète.

Aujourd'hui il m'est totalement inenvisageable de revivre avec quelqu'une.
Avoir une relation amoureuse me semble étranger à mon fonctionnement.

Par ailleurs je suis childfree depuis toujours. Je n'ai jamais voulu d'enfant, l'idée même de la maternité m'est étrangère.

Donc tu n'es pas seule

Merci pour ton témoignage ! Je pense franchement être aromantique, je ne m'explique pas autrement ce grand désintérêt pour l'amour et cette absence totale d'attirance pour un (des) homme(s)... parce que bon, en 35 ans, il y a bien un moment où ça aurait du me titiller ! Surtout que j'évolue professionnellement dans un milieu quasi exclusivement masculin !

D'un autre côté vu mon inexpérience j'ai du mal à me dire asexuelle. Je pense pourtant avoir de grandes chances de l'être...

Et idem pour la maternité, ça ne m'a jamais posé de question, j'ai toujours su que je ne voulais pas d'enfants. D'un autre côté je me demande jusqu'à quel point cela ne jouerait pas dans mon comportement : j'ai une grosse phobie de tomber enceinte, associée à un refus total de prendre une contraception, et je crois que ça me bloque beaucoup dans l'idée d'avoir éventuellement une relation intime.

[Samfelsouth]

Bonjour TimeLady

pour revenir au sujet de départ, je suis complètement aromantique (depuis toujours) et asexuel-le (depuis quasiment 10 ans)
Je n'ai pas trop envie d'étaler ma vie privée ici mais je n'ai qu'une histoire dans ma vie. Mon exe n'était guère romantique et notre relation était essentiellement basée sur une très grande complicité (le mot n'est pas assez fort mais je n'en trouve pas d'autre) intellectuelle.
La vie à 2 a été un enfer absolu et m'a conduit-e (associée à d'autres facteurs) à la rupture psychique complète.

Aujourd'hui il m'est totalement inenvisageable de revivre avec quelqu'une.
Avoir une relation amoureuse me semble étranger à mon fonctionnement.

Par ailleurs je suis childfree depuis toujours. Je n'ai jamais voulu d'enfant, l'idée même de la maternité m'est étrangère.

Donc tu n'es pas seule

Merci pour ton témoignage ! Je pense franchement être aromantique, je ne m'explique pas autrement ce grand désintérêt pour l'amour et cette absence totale d'attirance pour un (des) homme(s)... parce que bon, en 35 ans, il y a bien un moment où ça aurait du me titiller ! Surtout que j'évolue professionnellement dans un milieu quasi exclusivement masculin !

D'un autre côté vu mon inexpérience j'ai du mal à me dire asexuelle. Je pense pourtant avoir de grandes chances de l'être...

Et idem pour la maternité, ça ne m'a jamais posé de question, j'ai toujours su que je ne voulais pas d'enfants. D'un autre côté je me demande jusqu'à quel point cela ne jouerait pas dans mon comportement : j'ai une grosse phobie de tomber enceinte, associée à un refus total de prendre une contraception, et je crois que ça me bloque beaucoup dans l'idée d'avoir éventuellement une relation intime.

J'ai parlé de mon exE dont c'était une exe ! Juste pour préciser car tu ne sembles envisager les choses que d'un point de vue hétérosexuel

[MrsJack]

notre relation était essentiellement basée sur une très grande complicité (le mot n'est pas assez fort mais je n'en trouve pas d'autre) intellectuelle.

Samfelsouth => Je crois que c'est comme ça que fonctionnait la relation de mon ami aspie avec sa copine.
J'ai la quasi certitude qu'il est asexuel, par contre j'ai un doute sur son côté est aromantique. J'ai plus de mal à définir ce concept, peut-être que ça vient de là.

Par exemple, quand tu dis Time Lady :

"cette absence totale d'attirance pour un (des) homme(s)... parce que bon, en 35 ans, il y a bien un moment où ça aurait du me titiller !"

Lui il a quand même une certaine attirance pour les femmes. Il a quelques critères "d'appréciation".
Et je rejoins la remarque de Samfelsouth car je me suis fait la réflexion en te lisant : s'il y a asexualité il n'y a aucune attirance pour les hommes ni les femmes, or tu parles des hommes spécifiquement.
Je trouve ça rigolo (m'enfin je suis un peu perdue dans tous ces concepts : asexualité, aromantique, homo, hétéro, bi...)

Sinon, il caressait l'espoir d'un jour pouvoir fonder une famille malgré tout. Mais je crois que son échec amoureux avec son ex l'a refroidi.

Comme la plupart des gens, malgré son côté aromantique, il a besoin d'affection, de se sentir apprécié et utile.
Je crois qu'il essaye de retrouver cette étrange relation avec moi mais j'ai aussi l'impression de ne pas être "aussi bien" que son ex, que la complicité intellectuelle est moins forte avec moi qu'avec elle. J'en souffre beaucoup, à la fois parce que mon égo est blessé, mais aussi parce que je n'arrive pas à le réconforter suffisamment.

Personnellement je n'ai jamais été victime de moqueries quand j'étais en "obésité modérée" (dixit l'IMC).

Bizarrement, alors que j'étais boulotte à la fin de la primaire et pendant une partie du collège, on m'a jamais emmerdé avec ça non plus.
Par contre, on s'est moqué de moi pour d'autres trucs : mes lunettes (et les tics que j'avais quand j'ai commencé à les porter à 16 ans) et ma pilosité fort visible car je suis très brune (sur les bras et le visage).

Mais je n'ai jamais pigé cette obsession du plaire à tout prix.

Je partage cette interrogation avec toi le pull orange.

D'ailleurs, j'ai remarqué que ça pouvait se traduire de deux façons : il y a ceux (celles) qui veulent plaire à tout prix physiquement et d'autres "sympathiquement".

[Salicorne]

L'amour en couple ne m'intéresse pas, à tel point que je manque systématiquement d'inspiration pour répondre aux sujets concernant les problématiques de couple. De même, cette situation me laisse indifférente de telle façon que je ne ressens pas non-plus le besoin de me définir comme "aromantique". J'ai souvent l'impression que se définir à travers des notions aussi limitées est trop réducteur et traduit très mal la complexité des êtres : si un jour je devais "changer d'avis", j'aurais en quelques sortes l'impression de trahir ma "nature", alors que personne n'est vraiment fait d'une essence immuable. Tout au plus, je pourrais dire que je suis de "tendance" aromantique.

D'un autre côté, il y a peut-être un paradoxe, car je n'aimerais pas vivre totalement en solitaire... Même si j'ai besoin de solitude, trop de solitude a tendance à avoir un mauvais effet sur mon humeur dans le long terme. J'ai besoin d'une présence pour m'aider à avoir le goût de vivre... Cela porte-il un nom ? Peut-être qu'une amitié platonique pourrait me convenir. Malheureusement, je n'ai pas l'impression que ce genre d'expérience intéresse beaucoup de monde sur notre planète...

[arius]

@TimeLady je veux bien le doc aussi! j'ai testé les 2w, j'ai perdu 9 puis repris 6...


Sinon, ton pseudo est plus que d'actualité!


Pour ce qui est de l'amour, ça a un coté pratique. Tu as quelqu'un quand il faut, même si faut également savoir se rendre disponible...
Vu que je ne supporte pas le bruit des gens qui mangent (étrangement, que quand je connais la personne, ou que c'est vraiment sale) nous ne mangeons jamais ensemble (sauf au resto). Chacun dans sa pièce.

Pour dormir, c'est parfois un peu compliqué, mais ça le fait.

[MrsJack]

Sinon, ton pseudo Timelady est plus que d'actualité!

Carrément !

D'un autre côté, il y a peut-être un paradoxe, car je n'aimerais pas vivre totalement en solitaire... Même si j'ai besoin de solitude, trop de solitude a tendance à avoir un mauvais effet sur mon humeur dans le long terme. J'ai besoin d'une présence pour m'aider à avoir le goût de vivre... Cela porte-il un nom ? Peut-être qu'une amitié platonique pourrait me convenir. Malheureusement, je n'ai pas l'impression que ce genre d'expérience intéresse beaucoup de monde sur notre planète..

Ça ne court certes pas les rues mais ça existe. Si tu as de la chance, tu devrais pouvoir trouver un jour quelqu'un d'intéressé.
J'ai l'impression par contre que c'est une possibilité qui vient surtout avec un âge "avancé" (genre passer 50 ans) dans l'esprit les NT.

Pour ce qui est de l'amour, ça a un coté pratique. Tu as quelqu'un quand il faut, même si faut également savoir se rendre disponible...

Je ne peux que confirmer ça.
Je n'ai plus de sentiment amoureux pour mon compagnon mais je ne me vois pas vivre seule. Qui pourra m'aider le jour où je suis dans la merde ? Je n'ai ni frère, ni soeur et les amis ça va et ça vient. Il y a eu des périodes dans ma vie où je n'avais presque pas d'amis, ça peut revenir, l'âge et le travail me rendent de plus en plus sédentaire (malgré le fait que je vive avec quelqu'un).