Re: Voulez-vous des enfants ?
Posté : lundi 21 janvier 2019 à 22:19
Certes, il y a aussi des efforts à faire aussi du côté des politiques. Mais ceci est une affaire politique, dont on peut discuter dans la discussion idoine.
Forum de l'association Asperansa
https://forum.asperansa.org/
On aura qu'à mettre le gant et éliminer la moitié des habitants de la terre. Ps: c'est une référence...d'ailleurs qui a trouvé ?Georges-André a écrit : ↑lundi 21 janvier 2019 à 2:19 La surpopulation, ça te parle ? Je n'ai pas vu beaucoup de prise de conscience à ce sujet... Une croissance infinie avec des ressources finies.
Quant ce ne sera plus vivable, les gens se rendront compte qu'il y a un blème. Même le régime de Mao Zedong s'est rendu compte que la population augmentait trop, et pourtant c'étaient pas des géniesLa surpopulation, ça te parle ? Je n'ai pas vu beaucoup de prise de conscience à ce sujet... Une croissance infinie avec des ressources finies. Non, je nous vois pas retourner sur le droit chemin.
Tu vis en Inde ?
C’est plus une histoire de cohérence avec soi que d’arguments rationnels en « pour ou contre », en ce qui me concerne. Après, les bénéfices de ne pas avoir d’enfant sont pris en compte ; mais ce n’est pas ce qui est à l’origine du choix. Y a l’aversion pour les enfants, l’incapacité fondamentale de considérer une autre personne « pleinement », le désintérêt vis-à-vis de la création et de la gestion d’une vie humaine autre que la sienne, l’intolérance aux responsabilités et au partage... J’arrête avec ma grandiloquence. Un peu comme si c’était catégoriquement non d’avance, en quelque sorte. Je crois en revanche que la position est plus instable quand on dit non sans trop savoir, en étant prêt à au moins envisager la question.Manichéenne a écrit : ↑samedi 26 janvier 2019 à 18:11 J'ai du mal à concevoir comment on peut savoir à l'avance qu'on en veut ou pas, sauf cas extrêmes. Et j'ai toujours beaucoup de mal avec les arguments "rationnels" sur un sujet comme celui-ci. Faire (ou pas) un enfant est autant une envie qu'un choix, mais ce n'est pas en faisant une liste des pour et des contres qu'on se décide.
Un peu pareil : plus jeune, je ne voulais pas d'enfants. Après avoir été mariés 10 ans, cela nous est apparu comme une évolution naturelle (nous nous étions toutefois séparés et retrouvés quelques mois avant d'avoir notre fille aînée). J'ai pourtant toujours l'impression que je n'aime pas "les enfants" en soi, j'aime certains enfants.Manichéenne a écrit : Pour en revenir au sujet, je n'avais même pas envisagé d'avoir des enfants avant d'être en couple stable avec une situation amoureuse, sociale, et financière qui le permettait. Ce n'est pas que j'étais contre, ni que j'en voulais plus tard, le sujet ne m'intéressais pas et je ne m'étais pas posé la question. Je n'ai jamais trouvé d'intérêt aux enfants des autres.
J'ai du mal à concevoir comment on peut savoir à l'avance qu'on en veut ou pas, sauf cas extrêmes. Et j'ai toujours beaucoup de mal avec les arguments "rationnels" sur un sujet comme celui-ci. Faire (ou pas) un enfant est autant une envie qu'un choix, mais ce n'est pas en faisant une liste des pour et des contres qu'on se décide.
J'ai eu la cadette à 37 ans en plus.
Ma mère dit la même chose, c'était plus facile pour elle avec ses enfants plus grands (qu'elle a donc eus jeune) qu'avec les petits (qu'elle a eus après 35 ans).