Se remettre des effets du Méthylphénidate
Posté : dimanche 8 mars 2020 à 11:16
Bonjour à vous chers asperansiens et asperansiennes,
J'écrit ce poste pour parler de ce qui se passe chez moi concernant le Chlorhydrate de Méthylphénidate ( Concerta LP 18 mg et Concerta LP 54 mg des laboratoires Janssen )
Comme en convient la fiche informative que je vous ai joint, ce médicament est soumis à une autorisation de mise sur le marche et à une prescription sécurisé obligatoire en milieu hospitalier(psychatrie, neurologie, pédiatrie) avec prescription du médeçin généraliste et présentation de l'ordonnance sécurisé au pharmacien.
J'ai arrété de prendre ce produit depuis le 03/03/2020 après presque un mois de prise et ou j'ai sentit lors de la passation de mon bilan cognitif et comportemental dans le cabinet de ma psychologue hier que j'étais plus cette espèce de machine qui obéissait sous l'effet de ce produit à de véritables absolus monomaniaques et que celà a pertubé significativement ma vigilance et mon discernement. Et ce point est important.
Je n'ai plus des palpitations cardiaques importantes avec une sensation de douleurs intenses sur le plan cardiaque, je vais d'ailleurs passer un bilan cardiaque et un dopner auprès du cardiologue. Certes sans la mollécule, je dois apprendre à refreiner mes impulsions surtout quand cela porte à conséquences préjudiciables pour moi.
C'est même la période ou je n'ai jamais autant envoyer de lettres avec A/R pour me rétracter et aussi ou j'ai écris auprès de ma banque pour bien des points que je trouvais litigieux au regard des contrats en vigueur.
Pourquoi es ce que j'écrit cela sur un tel forum?
Pour que vous autres adultes avec TSA mais aussi les parents compreniez ceci: ce produit est dangereux et les effets secondaires sont non négligeables et c'est encore pire quand le produit est détourné de son usage et sert à comettre des infractions pénales (ici abus de confiance et abus de faiblesse). Le produit se disolvant dans le sang dans les 36 heures après son admission par voie oral, à moins de faire instantanément une prise de sang quand le produit agit , on ne peux pas détecter sa présence et donc c'est compliqué pour des tiers de reconnaître les signaux qu'une personne est sous l'emprise du médicament. C'est encore plus compliqué quand la personne sous l'emprise de cette substance n'a plus vigilance ni le dsicernement nécessaire pour résister aux intentions malveillantes de personnes et ça l'es d'autant plus pour la victime qui veux prouver ce point envers la justice.
J'ai donc signalé, après avis médical les effets indésirables constatés et aussi le fait que le produit a été utilisé pour commettre des infractions pénales auprès du centre régional de pharmacovigilance d'île de france. Le centre as bien sûr accusé réception de ma déclaration et m'as répondu ceci:
"Vous nous avez adréssé un signalement concernant la survenue de troubles cardiovasculaires, de douleurs cardiaques et thoraciques, de troubles de l'attention et d'altération du discernement au cours d'un traitement par CONCERTA-Méthylphénidate et nous vous en remerçions.
Conformément au décret n°2011-655 ( du 10 juin 2011), votre signalement d'effets indésirables a été enregistré dans la base de Pharmacovigilance sous le numéro*******( Confidentiel) et transmis à l'ANSM ( Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).
La survenue de ces effets indésirables médicamenteux a été rapportée avec une fréquence relativement rare et peux être expliqué par le mécanisme d'action du médicament. Les données issues de notre base de pharmacovigilance indiquent que dans plus de la moitié des cas (56%) , ses effets sont résolutifs à l'arrêt du traitement.
Nous souhaitons vous rappeller l'importance de transmettre ces informations à votre médeçin traitant afin que potentiellement, il vous oriente vers un cardiologue.
...."
Je ne cite pas le reste de l'email car c'est relatif à une demande de faire un signalement aux autorités ce que cette entité n'est pas en mesure de faire. Par contre, mon signalement est utilisable dans la procédure et donc potentiellement recevable lors de l'enquête préliminaire.
A ce jour en ce jour du 08/03/2020, je laisse gérer mon avocate. Je ne traiterais pas de la suite qui fais l'objet d'un autre poste et en revient à mon sujet initial: comment je m'en remet?
Et bien le lendemain de la dernière prise, j'arrivais au travail avec des palpitations cardiaques non négligeables, douleurs constatés en soirée lors d'un café asperger qui m'as contraint de le quitter precipitement pour rentrer chez moi. Le lendemain, les effets secondaires se faisaient encore sentir et au travail je suis beaucoup plus précautionneux et conscient de ce que j'écris et dit. Dans le bureau de ma psychiatre je me suis aussi effondré en larmes avec d'intenses douleurs cardiovasculaires.
Le surlendemain, il n'y avait encore des douleurs cardiaques et à la cage thoracique.
Tout cela disparut ensuite vendredi 6 mars 2020. Samedi pas grand chose relatif à ce produit.
Les leçons tirés: Pendant des années de ma vie, je ne me suis jamais vu administré ce genre de susbtances et quand bien même c'est le jour et la nuit chez l'enfant l'adolescent ou l'adulte, il faut une surveillance médicale particulière et ne pas se borner à dire au patient qui se plaint des effets secondaires "c'est parce que tu refuses d'accepter le traitement" dixit un éminent neurologue du pôle pédiatrie d'un complexe réputée) . Des stratégies sont possibles pour des résultats identiques comme par exemple le fait de s'abstenir de prendre une décision à la hâte et d'attendre un certain temps imposé pour ensuite revérifier si on veux toujours le faire ou pas. Oui je sais, je donne l'impression d'être pompeux, de donner des leçons de morale. Je ne suis ni le premier ni le dernier à avoir été abusé mais ce que je fait, c'est dans l'intérêt collectif, pas pour diffamer et empêcher Janssen et consorts de commercialiser ce produit classifié comme stupéfiant. Pas plus non plus pour porter obstacle à l'action de la justice et du ministère de la justice.
La société française doit savoir que de tels dérives sont possibles et de le savoir sera bénéfique à tous et à toutes, y compris pour les magistrats et les forces de l'ordre .
Je suis en quelque sorte un lanceur d'alerte. Puisse ce que je viens de vous dire vous servir et oeuvrer pour l'intérêt collectif et pas uniquement celui d'Asperansa et de ses membres.
J'écrit ce poste pour parler de ce qui se passe chez moi concernant le Chlorhydrate de Méthylphénidate ( Concerta LP 18 mg et Concerta LP 54 mg des laboratoires Janssen )
Comme en convient la fiche informative que je vous ai joint, ce médicament est soumis à une autorisation de mise sur le marche et à une prescription sécurisé obligatoire en milieu hospitalier(psychatrie, neurologie, pédiatrie) avec prescription du médeçin généraliste et présentation de l'ordonnance sécurisé au pharmacien.
J'ai arrété de prendre ce produit depuis le 03/03/2020 après presque un mois de prise et ou j'ai sentit lors de la passation de mon bilan cognitif et comportemental dans le cabinet de ma psychologue hier que j'étais plus cette espèce de machine qui obéissait sous l'effet de ce produit à de véritables absolus monomaniaques et que celà a pertubé significativement ma vigilance et mon discernement. Et ce point est important.
Je n'ai plus des palpitations cardiaques importantes avec une sensation de douleurs intenses sur le plan cardiaque, je vais d'ailleurs passer un bilan cardiaque et un dopner auprès du cardiologue. Certes sans la mollécule, je dois apprendre à refreiner mes impulsions surtout quand cela porte à conséquences préjudiciables pour moi.
C'est même la période ou je n'ai jamais autant envoyer de lettres avec A/R pour me rétracter et aussi ou j'ai écris auprès de ma banque pour bien des points que je trouvais litigieux au regard des contrats en vigueur.
Pourquoi es ce que j'écrit cela sur un tel forum?
Pour que vous autres adultes avec TSA mais aussi les parents compreniez ceci: ce produit est dangereux et les effets secondaires sont non négligeables et c'est encore pire quand le produit est détourné de son usage et sert à comettre des infractions pénales (ici abus de confiance et abus de faiblesse). Le produit se disolvant dans le sang dans les 36 heures après son admission par voie oral, à moins de faire instantanément une prise de sang quand le produit agit , on ne peux pas détecter sa présence et donc c'est compliqué pour des tiers de reconnaître les signaux qu'une personne est sous l'emprise du médicament. C'est encore plus compliqué quand la personne sous l'emprise de cette substance n'a plus vigilance ni le dsicernement nécessaire pour résister aux intentions malveillantes de personnes et ça l'es d'autant plus pour la victime qui veux prouver ce point envers la justice.
J'ai donc signalé, après avis médical les effets indésirables constatés et aussi le fait que le produit a été utilisé pour commettre des infractions pénales auprès du centre régional de pharmacovigilance d'île de france. Le centre as bien sûr accusé réception de ma déclaration et m'as répondu ceci:
"Vous nous avez adréssé un signalement concernant la survenue de troubles cardiovasculaires, de douleurs cardiaques et thoraciques, de troubles de l'attention et d'altération du discernement au cours d'un traitement par CONCERTA-Méthylphénidate et nous vous en remerçions.
Conformément au décret n°2011-655 ( du 10 juin 2011), votre signalement d'effets indésirables a été enregistré dans la base de Pharmacovigilance sous le numéro*******( Confidentiel) et transmis à l'ANSM ( Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).
La survenue de ces effets indésirables médicamenteux a été rapportée avec une fréquence relativement rare et peux être expliqué par le mécanisme d'action du médicament. Les données issues de notre base de pharmacovigilance indiquent que dans plus de la moitié des cas (56%) , ses effets sont résolutifs à l'arrêt du traitement.
Nous souhaitons vous rappeller l'importance de transmettre ces informations à votre médeçin traitant afin que potentiellement, il vous oriente vers un cardiologue.
...."
Je ne cite pas le reste de l'email car c'est relatif à une demande de faire un signalement aux autorités ce que cette entité n'est pas en mesure de faire. Par contre, mon signalement est utilisable dans la procédure et donc potentiellement recevable lors de l'enquête préliminaire.
A ce jour en ce jour du 08/03/2020, je laisse gérer mon avocate. Je ne traiterais pas de la suite qui fais l'objet d'un autre poste et en revient à mon sujet initial: comment je m'en remet?
Et bien le lendemain de la dernière prise, j'arrivais au travail avec des palpitations cardiaques non négligeables, douleurs constatés en soirée lors d'un café asperger qui m'as contraint de le quitter precipitement pour rentrer chez moi. Le lendemain, les effets secondaires se faisaient encore sentir et au travail je suis beaucoup plus précautionneux et conscient de ce que j'écris et dit. Dans le bureau de ma psychiatre je me suis aussi effondré en larmes avec d'intenses douleurs cardiovasculaires.
Le surlendemain, il n'y avait encore des douleurs cardiaques et à la cage thoracique.
Tout cela disparut ensuite vendredi 6 mars 2020. Samedi pas grand chose relatif à ce produit.
Les leçons tirés: Pendant des années de ma vie, je ne me suis jamais vu administré ce genre de susbtances et quand bien même c'est le jour et la nuit chez l'enfant l'adolescent ou l'adulte, il faut une surveillance médicale particulière et ne pas se borner à dire au patient qui se plaint des effets secondaires "c'est parce que tu refuses d'accepter le traitement" dixit un éminent neurologue du pôle pédiatrie d'un complexe réputée) . Des stratégies sont possibles pour des résultats identiques comme par exemple le fait de s'abstenir de prendre une décision à la hâte et d'attendre un certain temps imposé pour ensuite revérifier si on veux toujours le faire ou pas. Oui je sais, je donne l'impression d'être pompeux, de donner des leçons de morale. Je ne suis ni le premier ni le dernier à avoir été abusé mais ce que je fait, c'est dans l'intérêt collectif, pas pour diffamer et empêcher Janssen et consorts de commercialiser ce produit classifié comme stupéfiant. Pas plus non plus pour porter obstacle à l'action de la justice et du ministère de la justice.
La société française doit savoir que de tels dérives sont possibles et de le savoir sera bénéfique à tous et à toutes, y compris pour les magistrats et les forces de l'ordre .
Je suis en quelque sorte un lanceur d'alerte. Puisse ce que je viens de vous dire vous servir et oeuvrer pour l'intérêt collectif et pas uniquement celui d'Asperansa et de ses membres.