Le travail me fait pleurer
Posté : samedi 23 octobre 2021 à 18:24
Je sais pour vous c'est pas drôle ce que je vais écrire pourtant hier j'ai pleuré encore une fois à mon travail. A la suite d'un entretien avec ma supérieure plus que violent verbalement (les reproches je ne les ai pas contesté par contre l'insistance agressive sur les troubles de l'attention, la comparaison très malsaine ou ma collègue handicapé sourde et malentendante est citée en exemple en signalant devant témoin qu'à elle au moins on peux lui faire confiance, pas à moi). Sortit du bureau, je me faisais violence pour faire le travail et intégrer déjà les injonctions faites normalement pour lundi ( je suis comme ça quand on me fait des demandes pour changer les attitudes au travail, je dit à l'encadrement que je corrige immédiatement pour faire baisser l'escalade). Au fond je donnais l'apparence d'un travailleur mais les collègues ont vu que j'étais en colère . Au point d'écrire sur mon tableau à disposition au stylo feutre "ARBEIT.. ( référence à la pancarte d'auchwitz). Je me suis demandé si j'allais pas me jetté par la fenêtre de mon service et je ne l'ai pas fait. Après la fin de mon travail le matin, j'ai pleuré avant d'aller à la cantine.
Ma chef de service actuellement la confiance que j'ai envers elle est suffisament rompu pour que je sois le plus minimaliste à son égard. Je lui en veux de m'avoir bléssé comme elle l'as fait et c'est un point que j'ai signalé à ma neuro psy qui me suit ( un échange va être programmé le plus vite possible) et au correspondant handicap. Je vais le signaler aussi à la RH, et j'en ai parlé à mon entourage.
L'important c'est de faire mon travail avec professionnalisme sans outrepasser mes limites ( visiblement ma supérieur chef de service ne veux pas entendre ce point que je lui es expliqué y compris que ca faisait depuis trois semaines que je m'en sortais plus et que je cherchais des solutions à tout va sans jamais voir le bout du tunnel) . Mon professionnalisme est reconnu mais au fond de moi y'a une cassure.
La procédure est connu par coeur maintenant si tout ce petit monde ne veut pas se mettre dans le cadre que quand je badge à l'entrée de mon service je suis déjà dans l'optique: "scanner des courriers papiers, traitement exhaustif" au point que je viendrais plus tôt dès 7h45 ( tôt le matin, je serais tranquille pour tout scanner) et que y'aura toujours chez moi cognitivement parlant ce flot incessant de données qui devront être chassé pour pas me parasyter en sachant que la concentration que je m'impose malgré ces impératifs cognitifs fluctue quand même .
Je retournerais travailler lundi, ma chef de service ne sera pas là ni mon tuteur. Je ferais le maximum pour être à la hauteur mais au fond de moi c'est déjà acté que ma raison d'être dans mon service est questionnée.
Je ne saurais vous dire comment réagira la RH mais une chose est sûr: je suis un agent protégé et malgré le grade de ma chef de service et son peu d'ancienneté , ca va pas le faire la situation.
Je ne changerais pas ma chef de service, peux être qu'elle refusera en bloc tout ce que lui proposera ma psychologue ( et dans ce cas et bien on me change de service, plus de problème, tant pis pour les retraites et leur courrier...) mais jamais ô grand jamais je ne vais admettre l'idée de jouer à son supplétif de toutes ses frustrations et ses peurs.
Je n'ai rien dit à son email de vendredi soir, de toute façon je ne vais pas lui répondre, je passe le relais à d'autres gens...
Ma chef de service actuellement la confiance que j'ai envers elle est suffisament rompu pour que je sois le plus minimaliste à son égard. Je lui en veux de m'avoir bléssé comme elle l'as fait et c'est un point que j'ai signalé à ma neuro psy qui me suit ( un échange va être programmé le plus vite possible) et au correspondant handicap. Je vais le signaler aussi à la RH, et j'en ai parlé à mon entourage.
L'important c'est de faire mon travail avec professionnalisme sans outrepasser mes limites ( visiblement ma supérieur chef de service ne veux pas entendre ce point que je lui es expliqué y compris que ca faisait depuis trois semaines que je m'en sortais plus et que je cherchais des solutions à tout va sans jamais voir le bout du tunnel) . Mon professionnalisme est reconnu mais au fond de moi y'a une cassure.
La procédure est connu par coeur maintenant si tout ce petit monde ne veut pas se mettre dans le cadre que quand je badge à l'entrée de mon service je suis déjà dans l'optique: "scanner des courriers papiers, traitement exhaustif" au point que je viendrais plus tôt dès 7h45 ( tôt le matin, je serais tranquille pour tout scanner) et que y'aura toujours chez moi cognitivement parlant ce flot incessant de données qui devront être chassé pour pas me parasyter en sachant que la concentration que je m'impose malgré ces impératifs cognitifs fluctue quand même .
Je retournerais travailler lundi, ma chef de service ne sera pas là ni mon tuteur. Je ferais le maximum pour être à la hauteur mais au fond de moi c'est déjà acté que ma raison d'être dans mon service est questionnée.
Je ne saurais vous dire comment réagira la RH mais une chose est sûr: je suis un agent protégé et malgré le grade de ma chef de service et son peu d'ancienneté , ca va pas le faire la situation.
Je ne changerais pas ma chef de service, peux être qu'elle refusera en bloc tout ce que lui proposera ma psychologue ( et dans ce cas et bien on me change de service, plus de problème, tant pis pour les retraites et leur courrier...) mais jamais ô grand jamais je ne vais admettre l'idée de jouer à son supplétif de toutes ses frustrations et ses peurs.
Je n'ai rien dit à son email de vendredi soir, de toute façon je ne vais pas lui répondre, je passe le relais à d'autres gens...