C'est un grand problème dans des entreprises qui embauchent des salariés handicapés pour des quotaspoint_virgule a écrit : ↑dimanche 28 août 2022 à 10:34
Le revers de la médaille, c'est effectivement un risque de tache "subalterne" par rapport à mes compétences pro et intellectuelles, une forme d'infantilisation. C'est un équilibre que j'essaie de trouver au jour le jour.
Pour les repas, je les prends seules, je choisis une ou deux fois par quinzaine de manger avec un collègue ou un groupe limité de collègues, histoire de ne pas m'isoler trop.
Je suis comme toi aussi, à essayer de trouver une forme d'expertise dans un domaine qui ai professionnellement du sens pour mon employeur. Mon gros frein actuel est que je me limite dans le travail par rapport à un changement d'employeur: c'est quelque chose qui me fait très peur et j'ai donc tendance à trop m'accrocher à mon travail actuel, ce qui me fragilise vis à vis de mon employeur actuel (je ne sais pas si je suis claire ).
(je suis pour) mais qui sont incapables de s'en occuper. Ces salariés finissent par avoir des occupations pro pour les occuper (comme assister un autre collègue débutant) ou servir d'appoint au lieu d'une véritable tâche.
Devenir un expert "utile" (qui répond à un besoin de l'entreprise) est un plus pour sortir du placard ou ne pas y entrer mais devenir expert lorsque l'on est au placard est difficile car il faut montrer son expertise ou en acquérir.
J'ai connu des personnes qui à cause de leur handicap savaient qu'ils devaient se démarquer avant de trouver un emploi comme avec un double diplômes avec des compétences complémentaires ou assez rare.