Couché sur le ventre, je frotte le bout prépuce, le pénis n'étant pas en érection, ça crée des variations de pression.
Ça marche pour moi s'il y a une couche de tissu entre (le boxer, la culotte, le slip) mieux que s'il n'y a rien du tout.
Ça marche pour moi moins bien s'il y a déshydratation ou suralcoolisation.
Ça marche mieux si la pièce a été aérée, bien que ce facteur ait moins d'incidence.
Je n'ai pas été vasectomisé, mais ce facteur n'influence pas l'activité hormonale.
Je précise que le célibat me va très bien. Je ne suis pas en recherche de personnes pour des relations amoureuses ou sexuelles. Je suis donc quelque part dans un spectre triangulaire formé de trois points : auto-sexualité (pratiquer la masturbation en solo), hypo-sexualité (besoin en faible fréquence) et asexualité (pas besoin de relations sexuelles).
Cela dit, je suis clairement hétérosexuel, et peux me contenter de câlins gratuits sans engagements.
Les fellations rabaissent ? Et les cunnilingus ? Et le 69 ?
Les positions en face-à-face, tout comme les câlins en face-à-face, offrent plus de points de contacts tactiles.
Après, est-ce que le fait d'avaler ces substances (produites lors des éjaculations tant des hommes que des femmes) lors de relations bucco-génitales est néfaste ? Sans effet ? Faste ?
Bien sûr, il y a la prévention et la responsabilité pour éviter les risques liées aux infections sexuellement transmissibles et aux grossesses non désirées.
Vaut mieux ne pas filmer, à cause des risques de piratage, de sextorsion et de pornodivulgation.