L'emploi où vous vous êtes senti le mieux?

[TimeLady]

Convient de temps avez-vous réussi à garder un emploi ? Pour ma part, j'ai conservé un emploi 3 ans et 1/2. Je travaillais pour une boîte de sous-traitance. J'allais dans différents sites donc je changeais souvent de collègues. Mais au bout d'un temps les relations se sont détériorées. Je lis des témoignages d'aspies vivant en couple ou ayant un travail stable. Cela me paraît impossible.

Pourtant ça ne l'est pas : cela fait 16 ans que je bosse au même endroit, en exerçant le même emploi. Pour le coup, c'est aux non autistes que ça paraît impossible, car la plupart rêvent d'évolution professionnelle.

Ah ah ! Moi ça fera 15 ans en janvier que je bosse au même endroit. Maintenant j'ai le statut (béni selon moi car je visais la sécurité de l'emploi) de fonctionnaire... Je me heurte à l'incompréhension ambiante, car je refuse obstinément de passer les concours. Je suis adjointe administrative dans l'administration qui octroie le plus de primes (cadre de travail "dangereux" avec des contraintes liées à la sécurité... lesquelles primes comptent pour la retraite, ce qui n'est pas rien !) et j'ai un poste à responsabilités qui me permet de gagner environ 300 euros de + que les collègues... Du coup je m'estime assez chanceuse. Mais pour les gens, rester 15 ans au même endroit et occuper à peu près les mêmes fonctions (en vrai je n'occupe ce poste "que" depuis 8 ans) c'est de la science-fiction. ^^

Moi, j'ai depuis longtemps décidé que les visées carriéristes, ce n'était pas mon délire. J'estime que tant que j'ai la sécurité financière, le confort de vie et une paix relative niveau hiérarchie, eh bien ça me suffisait amplement. C'est mal perçu parce que j'ai clairement les compétences pour passer au grade supérieur. Du coup les gens ne comprennent pas pourquoi je refuse de le faire. J'en parlais encore avec ma mère hier, et pour elle si je réagis comme ça c'est que je ne me sens "pas capable". Elle ne comprend pas que ce n'est même pas une question de se sentir apte ou pas. Ce n'est pas la fonction le souci. Ce sont les "autres". Dans mon coin, avec mon petit boulot d'adjointe administrative, je n'ai qu'à gérer ma carcasse, et quand les collègues me cassent les pieds, je peux le leur faire sentir. Si j'étais secrétaire administrative, je devrais gérer un service (enfin, en théorie, parce que la secrétaire administrative qu'on a en ce moment ne gère rien du tout et ne remplace personne, mais passons...) et je devrais aussi intervenir pour régler les petites querelles internes. Et franchement : au secours ! Je deviendrais dingue au bout de deux jours !!!

Sans parler du fait que lorsqu'on obtient un grade supérieur on doit changer d'affectation géographique et y rester pendant deux-trois ans minimum. Et qu'on a une chance sur deux de se retrouver en région parisienne. Je me vois bien troquer mon grand appart contre une cage à lapin qui me coûterait deux à trois fois plus cher que mon remboursement de crédit immo, tiens.

Et puis de toute façon...je ne suis pas carriériste, point barre. ^^

[MrsJack]

Convient de temps avez-vous réussi à garder un emploi ? Pour ma part, j'ai conservé un emploi 3 ans et 1/2. Je travaillais pour une boîte de sous-traitance. J'allais dans différents sites donc je changeais souvent de collègues. Mais au bout d'un temps les relations se sont détériorées. Je lis des témoignages d'aspies vivant en couple ou ayant un travail stable. Cela me paraît impossible.

Pourtant ça ne l'est pas : cela fait 16 ans que je bosse au même endroit, en exerçant le même emploi. Pour le coup, c'est aux non autistes que ça paraît impossible, car la plupart rêvent d'évolution professionnelle.

Mais pour les gens, rester 15 ans au même endroit et occuper à peu près les mêmes fonctions (en vrai je n'occupe ce poste "que" depuis 8 ans) c'est de la science-fiction.

Ces réflexions m'amusent beaucoup car c'est une discussion qu'on a souvent avec mon compagnon. Lui il veut bouger, régulièrement. Faire 10 ou pire 15 ans au même poste, dans le même lieu ça lui paraît horrible. Il veut changer.
Moi je lui réplique que ce que je veux c'est trouver un endroit où je serais bien et ne plus en bouger, même si je sais qu'un travail répétitif va m'ennuyer. Si je change de boulot et d'environnement c'est contrainte et forcée mais ça m'énerve. Parfois on trouve mieux, parfois pire, mais je deteste le changement, devoir me réhabituer à chaque fois, retisser des liens avec des gens differents, ne pas savoir si ça va être bien ou pas... Ça me fatigue inutilement je trouve.

Mais je ne m'étais jamais dit que c'était un comportement ou une idée d'autiste.

Et puis de toute façon...je ne suis pas carriériste, point barre. ^^

C'est comme ça que je me resume souvent. J'ai trop peu d'ambition paraît-il (dixit mes collègues et mon compagnon).
Même si parfois certains jobs plus élevés m'attirent, je me décourage ou pense à autre chose si pour y arriver j'ai besoin de faire autre chose qu'une tâche purement manuelle ou intellectuelle pour produire un résultat X (par exemple faire de la lèche, tisser un réseau très étendu, excès de mondanités, passer plusieurs concours, faire des dossiers de 30 pages avec projets ultra précis, s'habiller autrement, etc.) et surtout s'il y a trop de compétition je refuse de participer. Ecraser les autres très peu pour moi.

[Anahata]

Bonjour ! Donc il y a des postes dans la fonction publique qui permettent une intégration ?
C'est bon à savoir ca, je ne me les représente pas

[TimeLady]

Bonjour ! Donc il y a des postes dans la fonction publique qui permettent une intégration ?
C'est bon à savoir ca, je ne me les représente pas

Perso j'y suis entrée par la petite porte (agent contractuel) et je me suis accrochée 11 ans pour être titularisée (je ne suis pas diagnostiquée officiellement donc je n'ai pas de statut "AAH" par exemple)...

Une fois j'ai failli poster ici que pour moi l'endroit idéal pour les Aspies, c'était la Fonction Publique. Et puis j'ai lu plein d'avis qui allaient à contresens donc je n'en ai rien fait car je suppose que j'ai eu la chance de tomber sur LE poste qui me convenait... je connaissais le milieu via mon père, je suis venue sur mon lieu de travail actuel quand j'étais toute gamine et le côté sécuritaire ne m'a jamais impressionnée, j'imagine que ça a pas mal aidé. Mais franchement le boulot d'adjoint administratif est probablement celui qui me correspond le mieux. Il y a surtout la sécurité de l'emploi qui est un gros avantage et qui enlève le stress que j'aurais eu à l'extérieur... Le tout après c'est de trouver la structure qui convient (pas trop grande, sans trop de promiscuité...) mais en interne il y a pas mal d'aménagements possibles, notamment via la psychologue des personnels ou la médecine du travail.

PS : d'ailleurs j'ai croisé pas mal de profils Aspie (non diagnostiqués, ou alors diagnostiqués sans que je le sache) chez mes collègues ! Notamment un secrétaire administratif pour lequel je n'ai aucun, mais aucun doute !! J'ai même failli lui parler du SA, une fois, mais bon... "coucou, tu ne serais pas Asperger, toi ?" ça le fait moyen comme approche.

[MrsJack]

Une fois j'ai failli poster ici que pour moi l'endroit idéal pour les Aspies, c'était la Fonction Publique.

Honnêtement, moi qui vit au milieu des NT (de toutes sortes, avec leurs névroses, leurs troubles, leurs caractères parfois à la cons, leurs idéaux très divers et certains à la limite du NAT mais non autistes), ce genre de réflexion est une porte ouverte aux farandoles d'insultes et de clichés sur les fonctionnaires et les contractuels de la FP.

Même en admettant que tu aies raison, entre "les fonctionnaires sont des feignasses", "les fonctionnaires sont des cons" voire "les fonctionnaires sont des neuneus dégénérés"... (J'ai vraiment déjà entendu des trucs du genre, des gens dire plus ou moins clairement que la fonction publique était un repaire pour les boulets et les handicapés mentaux !) Commencer à associer autisme et Fonction Publique ce serait une mauvaise chose pour l'acceptation de l'autisme et la compréhension de ce que c'est pour les NT, hélas.

Le pire que j'ai jamais entendu c'est deux fonctionnaires de plus de 25 ans de carrière en tant que titulaires, dire : "T'façon les fonctionnaires sont des tâches, il faudrait qu'il n'y ait plus de fonctionnaires."
EH OH les gars, VOUS ÊTES FONCTIONNAIRES !
Là j'ai pas résisté, je leur ai dit franchement, je me suis fait incendiée comme quoi moi aussi j'en étais.
Alors déjà c'est faux, moi je suis contractuelle de la fonction publique et je n'ai que des petits contrats de 2/3 mois par ci par là. Et deux, moi je ne crache pas à la gueule des fonctionnaires.

[TimeLady]

Une fois j'ai failli poster ici que pour moi l'endroit idéal pour les Aspies, c'était la Fonction Publique.

Honnêtement, moi qui vit au milieu des NT (de toutes sortes, avec leurs névroses, leurs troubles, leurs caractères parfois à la cons, leurs idéaux très divers et certains à la limite du NAT mais non autistes), ce genre de réflexion est une porte ouverte aux farandoles d'insultes et de clichés sur les fonctionnaires et les contractuels de la FP.

Même en admettant que tu aies raison, entre "les fonctionnaires sont des feignasses", "les fonctionnaires sont des cons" voire "les fonctionnaires sont des neuneus dégénérés"... (J'ai vraiment déjà entendu des trucs du genre, des gens dire plus ou moins clairement que la fonction publique était un repaire pour les boulets et les handicapés mentaux !) Commencer à associer autisme et Fonction Publique ce serait une mauvaise chose pour l'acceptation de l'autisme et la compréhension de ce que c'est pour les NT, hélas.

Le pire que j'ai jamais entendu c'est deux fonctionnaires de plus de 25 ans de carrière en tant que titulaires, dire : "T'façon les fonctionnaires sont des tâches, il faudrait qu'il n'y ait plus de fonctionnaires."
EH OH les gars, VOUS ÊTES FONCTIONNAIRES !
Là j'ai pas résisté, je leur ai dit franchement, je me suis fait incendiée comme quoi moi aussi j'en étais.
Alors déjà c'est faux, moi je suis contractuelle de la fonction publique et je n'ai que des petits contrats de 2/3 mois par ci par là. Et deux, moi je ne crache pas à la gueule des fonctionnaires.

Je veux dire par là qu'à condition de trouver la bonne administration, on peut se garantir une certaine tranquillité d'esprit.
Et franchement...je n'irais pas dire qu'on est débordé dans la Fonction Publique. La preuve, j'ai largement le temps de surfer sur Internet... Et je suis actuellement toute seule sur deux postes... Après, j'ai pris l'habitude de remplir la même fonction quand j'étais à temps partiel, je suppose qu'il en reste quelque chose, mais quand même, je ne peux pas prétendre qu'on soit débordés du soir au matin. Y'a des endroits où ce n'est pas le cas. Là où je bosse, ça l'est.

Je n'associe rien du tout, je dis juste que perso je n'aurais jamais pu endurer un métier où je n'aurais pas été assurée de garder mon poste coûte que coûte. Quand certains jours on est incapable ne serait-ce que de dire bonjour à un collègue, ou qu'on ne décroche pas un mot sur trois jours, on peut se demander quel genre de patron aurait accepté ça dans le privé. On m'a déjà reproché de ne pas déjeuner avec les collègues, de ne pas parler, de "balancer" (en fait je ne fais que rendre compte des dysfonctionnements, du moment que je suis concernée et que ça me parait évident de faire remonter l'information), de faire bande à part, de ne pas avoir l'esprit d'équipe, etc. Dans le public ? Au pire ça se voit dans une notation, ça ne change rien au salaire. (et personne n'a jamais retranscrit la moindre annotation de ce type dans mon dossier...) Dans le privé, je suis convaincue que sur les 15 dernières années, j'en aurais passé la moitié au chômage. J'ai passé des entretiens d'embauche quand j'étais encore vacataire et que je saturais d'être sous-payée, et j'ai très bien cerné l'impression que je faisais aux éventuels employeurs...

Et puis je pense que mon besoin de routine aurait eu du mal à être satisfait en entreprise. Là, c'est ultra simple, je fais les mêmes tâches semaine après semaine, et je peux m'organiser à ma guise sans qu'on m'impose quoi que ce soit.

Après, le boulot n'est pas toujours captivant, mais pour ma part je n'ai jamais recherché qu'une chose : la sécurité financière. Donc...

[MrsJack]

Après on peut trouver dans le privé des jobs plus flexibles que dans l'administration. En fait privé ou public, comme tu dis l'important c'est de trouver le bon endroit (la bonne administration ou la bonne boîte).
Je pense aux TPE et aux associations par exemple, c'est du privé mais ça peut être cool comme fonctionnement. Mon dernier taf c'était dans une association, donc Droit Privé mais on travaille uniquement comme prestataire pour le public. Eh ben c'est super cool, l'ambiance est "familiale" donc on se gère comme on veut.

Quand certains jours on est incapable ne serait-ce que de dire bonjour à un collègue, ou qu'on ne décroche pas un mot sur trois jours, on peut se demander quel genre de patron aurait accepté ça dans le privé. On m'a déjà reproché de ne pas déjeuner avec les collègues, de ne pas parler, de "balancer" (en fait je ne fais que rendre compte des dysfonctionnements, du moment que je suis concernée et que ça me parait évident de faire remonter l'information), de faire bande à part, de ne pas avoir l'esprit d'équipe, etc

Ça, je reconnais que la dernière fois que j'ai travaillé pour une entreprise privée, au bout de 15 jours j'ai été convoquée par la chef qui m'a fait certains des reproches que tu as listé. Je lui ai juste expliqué qu'il me fallait un peu plus de temps qu'aux autres pour être à l'aise et en effet ça s'est réglé tout seul, naturellement. M'enfin ça fait drôlement bizarre de s'entendre reprocher par sa chef qu'on est pas assez laucace (limite hautaine) et de faire bande à part quand en plus t'es obligé de dormir dans le même logement que tes collègues quand tu es en grand déplacement.

[LOUNA]

L'emploi où je me suis sentie le mieux, ce n'est certainement pas mon emploi actuel, dans la fonction publique. Je suis presque tout le temps en surcharge de travail, je vois beaucoup trop de gens, je traite plusieurs dossiers lourds de front, je suis trop souvent interrompue dans mon travail, etc... Je prends toutefois du plaisir dans les analyses que j'ai à faire, et mon travail comporte une importante partie rédactionnelle, et s'il n'y avait que ça à faire, ce serait parfait.

En fait, fonctionnaire, ce n'est pas un métier, c'est un statut, ça recoupe des réalités très différentes. Le policier, l'infirmier, l'employé de mairie ne font pas le même métier. Le cadre de catégorie A ne vit pas du tout la même chose que l'agent de catégorie B ou C, même s'ils sont voisins de bureau. Si je suis débordée de boulot, la secrétaire qui glande toute la journée sur internet ne se gênera pas pour venir m'en rajouter, au lieu de penser à la manière dont elle pourrait m'aider.

A part ça, les emplois où je me suis sentie le mieux, ça a été gardienne d'animaux et réparatrice de vélos. J'ai aussi beaucoup aimé travailler comme employée dans les rayons des supermarchés, à l'heure où les clients ne sont pas encore arrivés.

[Controleur]

Pour l'instant, en tant que contrôleur des finances publiques, je trouve un sens à mon travail chaque jour bien que ce soit répétitif et qu'en tant qu'agent B, je suis un executant.

Ca me plaît cette posture et la paye est bonne. Je vais être affecté en trésorerie municipal et au vu de mes tâches et de ma position statutaire, ça ne posera pas de problèmes à mes collègues normo pensants de travailler avec moi. Je suis pas d'un genre bavard, en fait quand on m'explique quelque chose et que ce quelque chose est retranscrit sur un journal de bord au mot près, je l'applique à la lettre. Je vais devoir porter des bouchons d'oreilles, j'aurais un emploi du temps visuel et aussi quelques aménagements.

Pour l'instant, c'est ma meilleure expérience, les autres ne tenaient pas compte du trouble de déficit de l'attention.

[TimeLady]

En fait, fonctionnaire, ce n'est pas un métier, c'est un statut, ça recoupe des réalités très différentes. Le policier, l'infirmier, l'employé de mairie ne font pas le même métier. Le cadre de catégorie A ne vit pas du tout la même chose que l'agent de catégorie B ou C, même s'ils sont voisins de bureau. Si je suis débordée de boulot, la secrétaire qui glande toute la journée sur internet ne se gênera pas pour venir m'en rajouter, au lieu de penser à la manière dont elle pourrait m'aider.

C'est vrai. ^^ Je parlais plutôt de mon cas, adjoint administratif c'est assez "tranquille", le plus dur étant pour moi de supporter les jérémiades des collègues... Celle qui arrive en avance pour surfer sur Internet puis qui se plaint si on lui demande de sortir avec dix minutes de retard. Ou celles, au pluriel parce que c'est la majorité, qui estiment qu'on est mal payé (ont-elles seulement regardé les salaires du privé, à compétence équivalente ???)...

Mon père était surveillant pénitentiaire, fonctionnaire donc, mais avec un boulot horriblement stressant et pesant. Le seul avantage de ce job, c'est la retraite à 55 ans...

Pour l'instant, en tant que contrôleur des finances publiques, je trouve un sens à mon travail chaque jour bien que ce soit répétitif et qu'en tant qu'agent B, je suis un executant.

Ca me plaît cette posture et la paye est bonne. Je vais être affecté en trésorerie municipal et au vu de mes tâches et de ma position statutaire, ça ne posera pas de problèmes à mes collègues normo pensants de travailler avec moi. Je suis pas d'un genre bavard, en fait quand on m'explique quelque chose et que ce quelque chose est retranscrit sur un journal de bord au mot près, je l'applique à la lettre. Je vais devoir porter des bouchons d'oreilles, j'aurais un emploi du temps visuel et aussi quelques aménagements.

Pour l'instant, c'est ma meilleure expérience, les autres ne tenaient pas compte du trouble de déficit de l'attention.

Fut un temps où je pensais changer d'administration et où je penchais pour les Finances Publiques... Je pense que ça doit être assez "routinier" avec des missions répétitives, sans gros imprévus. Typiquement ce que j'aime. Bon, je m'étais renseignée pour les primes, j'étais perdante... Mais je me suis dit que si un jour on me virait de mon poste, je me réserverais le droit de changer de crémerie.

[Pupuce]

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[Pupuce]

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[MrsJack]

Dans les espaces verts (même si je ne sais pas si j'ai bien compris l'annonce) tu auras des collègues un peu rustres aussi. D'ailleurs "capacité à travailler en équipe" est là pour annoncer la couleur en effet.

Je pense que la bibliothèque ça peut être un bon compromis, mais c'est très demandé (et bien sûr tant que tu n'es pas dans une bibliothèque du genre CDI avec des ados qui hurlent).
Les employés de BU ils sont relativement pénards.

Parce que garde forestier, tu as une arme je ne me sens pas du tout bien avec l'idée d'être gendarme. J'ai pensé aussi à être paysanne, mais j'ai du mal à visualiser, c'est trop vague. Je continue de regarder.

Ah ouais ? Je ne savais pas tiens, pourtant j'ai côtoyé des agents de l'ONEF mais je ne l'ai jamais su.
Justement il y a peu je me disais que ce genre de métier pourrait convenir à certains aspies (à moins que l'odeur des forêts soit trop fortes pour ceux qui ont une hypersensibilité olfactive).

Il y a gardien de cimetière aussi, mais c'est lugubre et tu assistes à tous les enterrements, même de loin. A part ça tu dois être relativement pénard.

[arius]

J'ai fait un test d'intrusion pour filer un coup de main à un ami. Et bien que je m'étais posé la question fut un temps, mais n'avais jamais eu l'occasion de le faire, j'avais mis cette idée de côté. Mais la, depuis vendredi, ça revient sans cesse. Et si je montais ma boîte de sécurité ?
Attention je ne parle pas de gardiennage, mais de conseil. En gros, vendre au client un service ou tu lui montre les failles.

Et après propose des solutions


Un peu comme le pentesting en info (ça peut être inclus dedans) mais en Non virtuel. (mes talents de hacker sont très basiques...)

Et je serais mon propre patron (ou à plusieurs si collaboration) ça serait le pied...

[Pupuce]

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