Page 1 sur 1

comment faire?

Posté : vendredi 30 mai 2008 à 14:44
par frédérique
bonjour je suis la maminou de Théo (sa). Théo arrive à saturation concernant,son institutrice de l'aprés midi, car il y a celle du matin qui est adorable et trés douce quand à la seconde c'est des hurlements personne trés lunatique, notre petit homme est en CE1 et a 7 ans 1/2, il suit suit correctement mais depuis avril, il ne va pas trés bien, quelques troubles envahissants lui reviennent, il perd l'appetit, dort trés mal et lui arrive depuis peut de temps de faire sur lui. Nous avons décidé avec notre médecin de l'enmener à l'école seulement le matin de plus c'est pratiquement la fin de l'année. Et depuis retour à un comportement plus zen. j' ai tenté de discuter avec l'institutrice avec qui Théo a du mal, mais celle-ci n'a pas acceptée me donner un rdv pour en discuter!! je suis inquiète concernant l'année prochaine car il y a encore deux institutrices et l'une des deux crie aussi énormément que faire pour le bien de Théo? que faire quand l'enfant suit correctement donc scolarisation normal et que le personnel n' est pas formé sur ce probléme? une demande d'avs est mise en place dossier pret le 9 Juin mais on m'informe qu' il ne pourra peut-etre pas avoir cette aide pour l' année scolaire prochaine. Je sais que la socialisation est trés importante mais c'est l'histoire du chien qui se mord la queue car que fait-on quand l'enfant ne va pas bien faut-il le forcer? Pourriez-vous m'aider à y voir plus claire. Merci par avance aux personnes qui peuvent me conseiller. :?: :?:

Posté : vendredi 30 mai 2008 à 22:21
par pierre
bonsoir Frédérique,
donc, si je comprend bien, la scolarité pose problème...
Selon moi, le personnel n'est pas formé à des enfants qui sortent de la "norme", le problème est, que parfois il ne veule pas apprendre, ni savoir, ni rein du tout... Toujours selon moi, l'enfant reste la priorité et si il montre des signes de régressions c'est sûrement qu'il ne va pas bien. Le forcer n'arrangera rien. La seul solution serait de changer d'établissement mais avant cela, en avez vous parlé avec le directeur, le référent de scolarité ? Y a t'il un PPS mis en place ? La scolarité est elle mis en place dans les meilleur condition pour votre enfant ?
Je crois qu'il est primordial que l'enfant se sente bien pour pouvoir progresser, évoluer, être...
Je ne crois pas que de forcer les enseignants qui ne sont pas désireux de s'occuper de votre enfant soit une solution, bien évidemment cela demande des sacrifices (changement d'établissement), cela vous appartient donc... sans jugement aucun...

changement d'école, AVS

Posté : samedi 31 mai 2008 à 22:20
par Jean
En tout cas, cela montre que la demande d'AVS n'est pas superflue. Au-delà de la socialisation (chaque chose en son temps), la scolarisation est nécessaire pour préparer l'avenir.
Le changement d'école est parfois nécessaire quand il y a un blocage. Quand çà marche déjà en partie, ce n'est peut-être pas nécessaire.

comment faire

Posté : dimanche 1 juin 2008 à 15:32
par nora
bonjour, je suis maman d'un petit garçon non diagnostiqué, et aussi instit, nous avons vécu une situation similaire, quand notre fils était tout petit nous l'avons scolarisé tôt (deux ans et demi), la première enseignante de Hugo était super, il a fait plein de progrès et on voyait qu'il était heureux, puis la deuxième année nous avons constaté dès les quinze premiers jours une régression, nous avions la chance d'être à l'étranger et la nounopu de notre fils est allée voir un peu ce qui se passait, en fait l'enseignante n'était pas sensibilisée aux enfants différents, et ele avait placé les deux enfants différents de sa classe ensemble, ils restaient à l'écart des autres.
En tant qu'enseignante, lje pense que l'école doit être un bonheur pour les enfants, certains enseignants (et j'avoue que cela m'arrive aussi parfois, je ne jette pas la pierre, car dans certains cas ce n'est pas possible), n'ont pas les moyens pour une raison ou pour une autre de rendre les enfants heureux, parfois les enfants différents leur renvoient leur propre échec, ils culpabilisent et donc crient. Toujours est-il qu'il et important d'être en contact. Le fait que la maîtresse ne vous rencontre pas est déjà un signe négatif. Changer d'établissement serait en effet une solution, mais il est important de préparer cela enb rencontrant et en dialoguant avec les enseignants, en se renseignant à l'avance, l'année passée, j'ai mis environ six mois à trouver l'enseignante, la bonne. Tout est une question de personne, c'est pourquoi le contact direct est important.

j'espère que vous trouverz une solution.

Posté : dimanche 8 juin 2008 à 0:14
par bernard
Bonjour Nora et Frédérique,

Bienvenue sur le forum.
J'espère que vous y trouverez réponses à vos questions.
En relisant vos textes, les instits et l'école, j'étais cet aprem à la fête de l'école de Lucie et j'y ai retrouvé l'instit qui nous avait signalé que Clément serait mieux s'il "sautait" une classe (passer de CE2 à CM2).
Je lui ai donné des nouvelles de Clément et l'ai félicitée pour son avis (même si à l'époque, il allait à l'encontre des "traditions" et de ce qu'en pensait la directrice).

Surtout que depuis vendredi Clément sait qu'il passe en Terminale S.
S'il a pu réussir et aimer à nouveau l'école, je lui ai dit que c'est en grande partie grâce à elle. Elle a eu de la pluie dans les yeux.
Mais j'ai senti qu'elle était contente.
Et cela m'a fait plaisir.

Posté : dimanche 8 juin 2008 à 7:51
par maho
Elle a eu de la pluie dans les yeux.
J'avais aussi de la pluie dans les yeux en lisant, quelle jolie phrase!!!
Bravo a cette instit, quelle magnifique recompense pour son travail.
Et bravo a Clement!!!

Posté : dimanche 8 juin 2008 à 17:01
par nora
c'est important de le dire aux instit, parce que on se demande toujous si on fait bien, et on a peu de retour positifs, alors je trouve que c'est super important de dire des choses comme cela, nous aussi nous encensons l'enseignante actuelle de Hugo car depuis un an il prend goût à l'école après quatre ans de vide, durant lesquels nous le soupsconnons d'avoir été juste de passage, sans que l'on prenne vraiment la peine de s'interroger sur la façon de faire avec lui.