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Re: notion d'amitié

Posté : samedi 17 octobre 2015 à 20:40
par shortlife
Mdr je vie exactement la meme chose depuis tjr et c est pas gagné ...

C est quoi les sujets qui t interessent manichene ?

Tu as deja rencontres d gens ak qui tu pouvais parler d ce que tu veux ouvertement ?

Re: notion d'amitié

Posté : samedi 17 octobre 2015 à 20:46
par Manichéenne
shortlife a écrit :C est quoi les sujets qui t interessent manichene ?
C'est hors-sujet ici.
Tu as deja rencontres d gens ak qui tu pouvais parler d ce que tu veux ouvertement ?
Oui, mais je commence par échanger avec eux sur des forums dédiés, je ne les rencontre qu'après. Impossible de risquer de parler de tout ça directement face à quelqu'un.

Re: notion d'amitié

Posté : samedi 17 octobre 2015 à 21:06
par shortlife
Je vois pas pk ca serait hors sujet, tu sais des tas d choses sont liés indirectement les unes aux autres, ce que tu diras concernera tes pb et tout le monde parle d ses pb ici ^ ^

Evidement qu a un inconnu ca doit pas etre evident mais bon puisque tu veux pas en parler au revoir alors ...

Re: notion d'amitié

Posté : samedi 17 octobre 2015 à 23:05
par Sapphir
Il y a des sites de sortie aspie friendly?
(...)Je le demande si il y a s sites pour se regrouper autour d'intérêt sans forcément s'engager amicalement.
Je pense par exemple à des visites de musée, j'imagine deux personnes qui pourraient en parler des heures ça serait bien. idem pour les film ou les conventions.

Re: notion d'amitié

Posté : mercredi 28 octobre 2015 à 12:18
par evolution650HBn°2
Quel est votre définition de l'amitié? Comment la vivez vous? Comment rencontrez vous des amis? Et que faites vous ensemble?
Selon le Larousse : Sentiment d'affection entre deux personnes ; attachement, sympathie qu'une personne témoigne à une autre.

Mais je pense que c'est plus que ça, même si je ne saurais pas vraiment l'expliquer.
Sans doute que "parce que c'était lui, parce que c'était moi" est une bonne "définition".

Comment je la vis : derrière un pc avec une personne, sinon je n'ai pas d'amis
Je ne rencontre pas d'amis puisque je n'en ai pas, et du coup je ne fais rien avec eux :D Avec mon ami du net, on se dit bonjour, puis on parle de nos préoccupations/occupations du moment, ou bien on se dit juste bonjour et au revoir, mais en restant généralement connecté.

Par contre j'aimerais bien avoir des "vrais" amis, pouvoir dire "je suis allée à une soirée", aller me promener etc, mais c'est plus joli dans ma tête que ça ne le serait en réalité ; car en réalité cela me stresserait et me fatiguerait, je n'aurais qu'une seule envie ; me retrouver seule.

Autrement dit, j'adore l'idée de l'amitié que je trouve très belle mais j'ai l'impression que ce n'est pas pour moi.

Re: notion d'amitié

Posté : mercredi 28 octobre 2015 à 12:34
par Tugdual
evolution650HBn°2 a écrit :Autrement dit, j'adore l'idée de l'amitié que je trouve très belle mais j'ai l'impression que ce n'est pas pour moi.
Tout est dit !

:roll:

J'ajouterai que cette notion d'amitié me fascine,
lorsque je la vois illustrée dans des livres ou bien
dans des films ... Mais rien à faire, ça m'échappe ...

Re: notion d'amitié

Posté : mercredi 28 octobre 2015 à 12:42
par evolution650HBn°2
Dans les livres ou les films, ça a l'air simple, alors qu'en réalité ça ne l'est pas du tout.
Et pourtant j'ai l'impression que dans la réalité de certains, c'est aussi simple que ce qu'on voit dans les films.

Re: notion d'amitié

Posté : mercredi 28 octobre 2015 à 12:49
par Liya
je vous rejoins complètement bidouille et Tugdual

Quand je vois ma collègue de bureau qui a pleins d'ami(e)s, se lie facilement avec tout le monde... j'hallucine :shock:
Cela m'échappe complètement. :innocent:

Re: notion d'amitié

Posté : mercredi 28 octobre 2015 à 17:32
par Rudy
Déjà, pour moi, l'amitié, c'est un peu comme les relations amoureuses, ça ne se contrôle pas, ni ne se calcule. Je ne deviens pas amie avec quelqu'un parce qu'il fait ça ou ça ou ça pour moi. Il n'y a pas de raison au début.

Ça commence toujours par un feeling particulier, très rare, qu'actuellement, je ne ressens qu'avec deux personnes: ma meilleure amie et ma copine. C'est un lien qui se crée naturellement comme si on se connaissait depuis longtemps. Je supporte la présence de l'autre alors que d'ordinaire, je ne peux pas la supporter plus d'une heure. Les conversations sont fluides, les blancs ne gênent pas, je ne joue pas de jeu avec eux. On se fait rapidement confiance. On apprend à se connaître, et on sait comment l'autre réagit, ce qu'il aime, ce qu'il n'aime pas. Des fois, on n'a pas besoin de parler, on sait ce que ressens/pense l'autre, parce qu'en fait, on se rend compte qu'on se ressemble beaucoup. Pour autant, on ne partage pas forcément les mêmes intérêts. Mais, on a des valeurs communes, une façon de fonctionner, qui fait que l'on s'entend. Après on s'attache l'un à l'autre. Il nous arrive de nous brouiller, mais, on cherche toujours à réparer les morceaux, parce qu'il y a ce lien affectif. Ils deviennent un peu comme des "membres de ma famille". Ça dure depuis des années. Je crois que je me sentirai perdu sans eux, parce qu'ils me servent de repère.

Pour les deux, ça a commencé par internet, on partageait au moins une chose en commun.

On ne fait rien de particulier ensemble. On peut rester cloîtrer à l'intérieur de chez nous, boire un café, aller au cinéma, voir une exposition, on voyage, bref, tout ce qui nous intéresse de partager en commun.

Re: notion d'amitié

Posté : vendredi 30 octobre 2015 à 17:37
par thecyberman
Pour moi c'est pareil, je vois tout le monde qui dis avoir plein d'amis mais je ne comprend pas comment il est possible d'arriver à cela. En plus je ne vois pas vraiment l’intérêt d'en avoir donc ça n'aide pas ;)
Même avec les personne que je vois régulièrement et que j’apprécie beaucoup, si du jour au lendemain je les vois beaucoup moins ou plus du tout ça ne me manque pas plus que ça.

Pourquoi est-ce si important d'avoir des amis ?

Posté : samedi 21 novembre 2015 à 9:30
par Lilas
Modération (G.O.B.) : début fusion

Cette question, qui m'a interpellée, a été posée par un lecteur à Philosophie Magazine.

Et voici ci-dessous la réponse donnée par Charles Pépin :
Spoiler : Réponse de Charles Pépin : 
Première réponse : parce que nos amis nous rendent meilleurs.
Seconde réponse : parce qu’ils nous autorisent à être ce que nous sommes.
La première est inspirée d’Aristote : dans l’Éthique à Nicomaque, il fait de l’amitié une occasion d’actualisation de son talent personnel. Si la relation que j’ai avec un ami me permet de développer des dispositions qui, sans lui, seraient restées « en puissance », alors cet ami est bien l’ami de la vie en moi : il me permet de grandir, de « m’agrandir ». Inutile d’ailleurs que ce soit son but, qu’il soit parfaitement bienveillant, l’essentiel est que je me développe à son contact.
Cette réponse se heurte à une évidence, d’ailleurs bien agréable : en présence de nos amis, nous aimons aussi ne pas « nous développer » et être tout entiers ce que nous sommes, dans nos imperfections, nos paradoxes, voire nos contradictions. Enfin, nous cessons de vouloir séduire, nous avons moins peur du ridicule, nous osons défendre des idées limites, tester des hypothèses hasardeuses.
Les deux réponses, paradoxales au premier abord, se complètent en fait : car cet abandon relatif, rendu possible par la bienveillance de l’ami, va nous aider à nous rapprocher de nous-mêmes, et parfois même à nous découvrir autres.
Cette autorisation à être ce que nous sommes nous permettra précisément de devenir meilleurs, plus singuliers et conscients de nous-mêmes.
Peut-être qu’il y a aussi dans l’amitié cette admiration de la singularité de l’autre qui nous donne envie de développer la nôtre.
Nietzsche parlait d’« amitiés stellaires » pour dire combien une étoile peut en inspirer une autre, combien une singularité peut être un pont tendu vers une autre singularité.
Nous sommes parfois tentés d’imiter nos amis, mais le jour où nous comprenons que c’est leur singularité que nous admirons, nous ne pouvons plus les imiter : voici venu le temps de « devenir soi-même ».
En présence de nos amis, nous nous sentons uniques. Grâce à eux, nous devenons singuliers.
Et puis nous nous parlons : nous parlons à nos amis pour savoir ce que nous pensons, pour partager joies et peines. Nous parlons et c’est ainsi que nous entretenons ce lien, tellement plus réel qu’un principe abstrait, tellement plus chaleureux qu’une grande idée.
Avez-vous remarqué ? L’amitié, à la différence du respect de tous ou de l’amour du prochain, est très rarement érigée en principe. Elle est si réelle pourtant, si douce, si naturelle au fond. À croire que les civilisations n’érigent en principe – en « tu dois » – que ce qui est contre-nature.
Personnellement, j'ai lu cette réponse comme un extra-terrestre lirait un traité sur l'humanité.

Pour moi, cela bloque dès la seconde phrase : "parce qu’ils nous autorisent à être ce que nous sommes."

J'ai plutôt expérimenté le contraire dans ma vie : lâcher un peu de lest, laisser entrevoir ce qu'il y a à l'intérieur, et c'est la fin de la relation (ou tout du moins, elle s'en trouve ébranlée).

Et vous ? Parvenez-vous à vivre des amitiés telles que décrites ici ?

Re: Pourquoi est-ce si important d'avoir des amis ?

Posté : samedi 21 novembre 2015 à 9:43
par Cryptobiose
Lilas a écrit : J'ai plutôt expérimenté le contraire dans ma vie : lâcher un peu de lest, laisser entrevoir ce qu'il y a à l'intérieur, et c'est la fin de la relation (ou tout du moins, elle s'en trouve ébranlée).
Je n'ai pas eu le courage de lire l'extrait de philosophe magazine :oops: mais cette phrase m'interpellé car je vis extactement cela avec un ami (une des seules personnes que j'ai appelées "ami" dans ma vie) depuis que je lui ai parlé d'Asperger et que je vis plus à mon rythme, et cela me déstabilise beaucoup.

Je vis cela comme un rejet de ce que je suis (edit : il me fait bcp de reproches), et cela m'attriste beaucoup, car je me dis, est-ce vraiment un ami ? :cry: :innocent:

Re: Pourquoi est-ce si important d'avoir des amis ?

Posté : samedi 21 novembre 2015 à 10:01
par bidouille
Lilas a écrit :Cette question, qui m'a interpellée, a été posée par un lecteur à Philosophie Magazine.

Et voici ci-dessous la réponse donnée par Charles Pépin :
Spoiler : Réponse de Charles Pépin : 
Première réponse : parce que nos amis nous rendent meilleurs.
Seconde réponse : parce qu’ils nous autorisent à être ce que nous sommes.
La première est inspirée d’Aristote : dans l’Éthique à Nicomaque, il fait de l’amitié une occasion d’actualisation de son talent personnel. Si la relation que j’ai avec un ami me permet de développer des dispositions qui, sans lui, seraient restées « en puissance », alors cet ami est bien l’ami de la vie en moi : il me permet de grandir, de « m’agrandir ». Inutile d’ailleurs que ce soit son but, qu’il soit parfaitement bienveillant, l’essentiel est que je me développe à son contact.
Cette réponse se heurte à une évidence, d’ailleurs bien agréable : en présence de nos amis, nous aimons aussi ne pas « nous développer » et être tout entiers ce que nous sommes, dans nos imperfections, nos paradoxes, voire nos contradictions. Enfin, nous cessons de vouloir séduire, nous avons moins peur du ridicule, nous osons défendre des idées limites, tester des hypothèses hasardeuses.
Les deux réponses, paradoxales au premier abord, se complètent en fait : car cet abandon relatif, rendu possible par la bienveillance de l’ami, va nous aider à nous rapprocher de nous-mêmes, et parfois même à nous découvrir autres.
Cette autorisation à être ce que nous sommes nous permettra précisément de devenir meilleurs, plus singuliers et conscients de nous-mêmes.
Peut-être qu’il y a aussi dans l’amitié cette admiration de la singularité de l’autre qui nous donne envie de développer la nôtre.
Nietzsche parlait d’« amitiés stellaires » pour dire combien une étoile peut en inspirer une autre, combien une singularité peut être un pont tendu vers une autre singularité.
Nous sommes parfois tentés d’imiter nos amis, mais le jour où nous comprenons que c’est leur singularité que nous admirons, nous ne pouvons plus les imiter : voici venu le temps de « devenir soi-même ».
En présence de nos amis, nous nous sentons uniques. Grâce à eux, nous devenons singuliers.
Et puis nous nous parlons : nous parlons à nos amis pour savoir ce que nous pensons, pour partager joies et peines. Nous parlons et c’est ainsi que nous entretenons ce lien, tellement plus réel qu’un principe abstrait, tellement plus chaleureux qu’une grande idée.
Avez-vous remarqué ? L’amitié, à la différence du respect de tous ou de l’amour du prochain, est très rarement érigée en principe. Elle est si réelle pourtant, si douce, si naturelle au fond. À croire que les civilisations n’érigent en principe – en « tu dois » – que ce qui est contre-nature.
Personnellement, j'ai lu cette réponse comme un extra-terrestre lirait un traité sur l'humanité.

Pour moi, cela bloque dès la seconde phrase : "parce qu’ils nous autorisent à être ce que nous sommes."

J'ai plutôt expérimenté le contraire dans ma vie : lâcher un peu de lest, laisser entrevoir ce qu'il y a à l'intérieur, et c'est la fin de la relation (ou tout du moins, elle s'en trouve ébranlée).

Et vous ? Parvenez-vous à vivre des amitiés telles que décrites ici ?
Je suis pas autiste ou quoi ben je suis comme toi je me retrouve absolument pas dans leurs réponses, je dirais même que je ne les comprend pas...
On a des amis pour se sentir moins seul, mais au final ça ne marche pas vraiment. Je dirais peut être plus pour s’entraider. Et pour passer le temps, de manière plus varié que seul.
Je n'ai pas non plus l'impression qu'on peux être vraiment soi même avec nos amis, on est différent avec chacun d'entre eux, ce qui montre bien qu'on s'adapte et fait un effort. Quant j'invite une amie maniaque chez moi, ma maison sera bien plus rangée et nettoyée, que quant j'invite des amis bordéliques de compétition. Si je suis avec une amie qui aime rigoler et faire le fête je ne serai pas la même avec une autre qui est plus porté sur les travaux manuel, le calme, ou le shopping... On ne ferai pas les même chose, on aura pas les mêmes attitudes...
Après j'ai des difficultés quant il y'a plusieurs personnes différentes en même temps car je ne sais pas qui je dois être...

Re: Pourquoi est-ce si important d'avoir des amis ?

Posté : samedi 21 novembre 2015 à 10:22
par Ixy
Avant tout pour moi les amis servent à 'se brancher' de temps en temps, de rester au contact des autres, de ne pas se perdre dans ses obsessions, de revenir à la réalité
Ca rejoint un peu la première réponse, quand il parle d'actualisation de son talent. La difference est que cette contrainte douce qu il a l air de décrire, je la sens en verité toujours trop abrupte, mais aussi toujours nécessaire.

Pour la seconde partie ce n est pas ce que je trouve chez mes amis en general, je dirais même que c est le contraire. En revanche c est quelque chose que je peux trouver sur ce forum. :bravo:

Re: Pourquoi est-ce si important d'avoir des amis ?

Posté : samedi 21 novembre 2015 à 14:25
par philippe01
Et voici ci-dessous la réponse donnée par Charles Pépin :
Spoiler : Réponse de Charles Pépin : 
Première réponse : parce que nos amis nous rendent meilleurs.
Seconde réponse : parce qu’ils nous autorisent à être ce que nous sommes.
La première est inspirée d’Aristote : dans l’Éthique à Nicomaque, il fait de l’amitié une occasion d’actualisation de son talent personnel. Si la relation que j’ai avec un ami me permet de développer des dispositions qui, sans lui, seraient restées « en puissance », alors cet ami est bien l’ami de la vie en moi : il me permet de grandir, de « m’agrandir ». Inutile d’ailleurs que ce soit son but, qu’il soit parfaitement bienveillant, l’essentiel est que je me développe à son contact.
Cette réponse se heurte à une évidence, d’ailleurs bien agréable : en présence de nos amis, nous aimons aussi ne pas « nous développer » et être tout entiers ce que nous sommes, dans nos imperfections, nos paradoxes, voire nos contradictions. Enfin, nous cessons de vouloir séduire, nous avons moins peur du ridicule, nous osons défendre des idées limites, tester des hypothèses hasardeuses.
Les deux réponses, paradoxales au premier abord, se complètent en fait : car cet abandon relatif, rendu possible par la bienveillance de l’ami, va nous aider à nous rapprocher de nous-mêmes, et parfois même à nous découvrir autres.
Cette autorisation à être ce que nous sommes nous permettra précisément de devenir meilleurs, plus singuliers et conscients de nous-mêmes.
Peut-être qu’il y a aussi dans l’amitié cette admiration de la singularité de l’autre qui nous donne envie de développer la nôtre.
Nietzsche parlait d’« amitiés stellaires » pour dire combien une étoile peut en inspirer une autre, combien une singularité peut être un pont tendu vers une autre singularité.
Nous sommes parfois tentés d’imiter nos amis, mais le jour où nous comprenons que c’est leur singularité que nous admirons, nous ne pouvons plus les imiter : voici venu le temps de « devenir soi-même ».
En présence de nos amis, nous nous sentons uniques. Grâce à eux, nous devenons singuliers.
Et puis nous nous parlons : nous parlons à nos amis pour savoir ce que nous pensons, pour partager joies et peines. Nous parlons et c’est ainsi que nous entretenons ce lien, tellement plus réel qu’un principe abstrait, tellement plus chaleureux qu’une grande idée.
Avez-vous remarqué ? L’amitié, à la différence du respect de tous ou de l’amour du prochain, est très rarement érigée en principe. Elle est si réelle pourtant, si douce, si naturelle au fond. À croire que les civilisations n’érigent en principe – en « tu dois » – que ce qui est contre-nature.
c'est la définition de la vraie amitié plutôt car soit la personne est ouverte d'esprit, soit à un personnalité.
il y a de nombreuses autres variantes de l'amitié, dont l'ami utile, etc.

Modération (G.O.B.) : fin fusion