Re: Ecriture et graphisme
Posté : jeudi 26 mai 2016 à 16:54
J'ai toujours mal écrit (pattes de mouche). Je crois avoir lu quelque part que les aspies ont des soucis de motricité fine, ce qui peut l'expliquer. Je faisais un léger effort quand je devais rendre un devoir, et mes profs faisaient également un effort pour me lire (peut-être parce qu'ils savaient que des choses intéressantes s'y cachaient ).
Mes copies n'étaient pas simplement mal écrites mais sales: correcteur liquide, ratures, astérisques et notes de bas de page, parfois même des flèches, une vraie chasse au trésor, sûrement liée au fait que je n'ai jamais utilisé de brouillon, contrairement à mes camarades de classe qui en grattaient des pages et des pages. J'ai essayé les stylos ergonomiques mais sans succès. Peut-être aurais du-je faire des lignes comme en primaire!
Pourtant à la même époque je m'étais mis à la calligraphie, activité qui me détendait, mais qui n'a rien changé à mon écriture. J'ai juste remarqué que j'écrivais un poil mieux avec des plumes larges (deux-trois millimètres de large).
Quand j'ai intégré la fac j'ai rapidement choisi l'ordi comme moyen de prendre des notes, mais je suis vite revenu au bon vieux papier/stylo pour des questions de mémorisation et parce que je pouvais utiliser mon propre système de sigles d'abréviations. Pour les examens, le tiers temps dont je bénéficiais me permettait de prendre un peu plus de temps pour soigner un minimum mon écriture.
Au travail, depuis qu'on m'en a fait la remarque, j'essaye d'écrire mieux, mais c'est un calvaire.
Mes copies n'étaient pas simplement mal écrites mais sales: correcteur liquide, ratures, astérisques et notes de bas de page, parfois même des flèches, une vraie chasse au trésor, sûrement liée au fait que je n'ai jamais utilisé de brouillon, contrairement à mes camarades de classe qui en grattaient des pages et des pages. J'ai essayé les stylos ergonomiques mais sans succès. Peut-être aurais du-je faire des lignes comme en primaire!
Pourtant à la même époque je m'étais mis à la calligraphie, activité qui me détendait, mais qui n'a rien changé à mon écriture. J'ai juste remarqué que j'écrivais un poil mieux avec des plumes larges (deux-trois millimètres de large).
Quand j'ai intégré la fac j'ai rapidement choisi l'ordi comme moyen de prendre des notes, mais je suis vite revenu au bon vieux papier/stylo pour des questions de mémorisation et parce que je pouvais utiliser mon propre système de sigles d'abréviations. Pour les examens, le tiers temps dont je bénéficiais me permettait de prendre un peu plus de temps pour soigner un minimum mon écriture.
Au travail, depuis qu'on m'en a fait la remarque, j'essaye d'écrire mieux, mais c'est un calvaire.