Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Posté : dimanche 10 décembre 2017 à 17:51
Désolé·e je n’ai pas lu tout le fil mais il me semble important en tant que personne transgenre (il s’agit d’une question de genre et pas de sexe donc transgenre et pas transexuel·le) non-binaire (plus précisément j’oscille entre genre neutre et genre masculin alors que j’ai été assigné fille à la naissance même si mon genre est bien plus compliqué que ça en vrai) de préciser quelques points.
Être trans c’est être d’un genre différent de celui assigné à la naissance. Il ne faut pas confondre le genre et l’expression de genre. Ici les premiers messages du sujet emploient l’expression «dysphorie de genre» pour parler d’une expression de genre différente de la norme alors que le terme signifie la souffrance qu’éprouve une personne trans à voir sa transidentité niée par la société.
Par exemple moi quand les gens m’appellent par mon prénom de naissance au lieu de mon prénom d’usage ça me blesse, c’est une manifestation de la dysphorie de genre. C’est un terme inventé par des psychiatres pour dire qu’être trans = être dingue à enfermer, mais il y a beaucoup de personnes trans qui utilisent encore ce terme parce qu’il est pratique faute de mieux pour décrire les dépressions, douleurs psychosomatiques et autres qu’on peut ressentir du fait de sa transidentité.
Être trans c’est être d’un genre différent de celui assigné à la naissance. Il ne faut pas confondre le genre et l’expression de genre. Ici les premiers messages du sujet emploient l’expression «dysphorie de genre» pour parler d’une expression de genre différente de la norme alors que le terme signifie la souffrance qu’éprouve une personne trans à voir sa transidentité niée par la société.
Par exemple moi quand les gens m’appellent par mon prénom de naissance au lieu de mon prénom d’usage ça me blesse, c’est une manifestation de la dysphorie de genre. C’est un terme inventé par des psychiatres pour dire qu’être trans = être dingue à enfermer, mais il y a beaucoup de personnes trans qui utilisent encore ce terme parce qu’il est pratique faute de mieux pour décrire les dépressions, douleurs psychosomatiques et autres qu’on peut ressentir du fait de sa transidentité.