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Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 4 novembre 2016 à 9:08
par freeshost
Société, tu m'auras pas. :mrgreen:

Es-tu aussi le seul dans sa catégorie ? :)

Ah ! La dictature de l'apparence, de l'impression, de la réputation ! ["Faut avoir bonne apparence, faire bonne impression, entretenir une bonne réputation pour ne pas se faire rejeter." "Si tu n'es pas dans le moule, tu coules." "Hé ben, moi, j'évite le moule, alors je coule... de source... et baigne dans la semoule avec une moule..." :mrgreen: ]

Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 4 novembre 2016 à 11:06
par Lia
Je me ferme comme une moule dans la foule
Je me perde dans cette houle c est ça qui me fou les boules

Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 4 novembre 2016 à 11:25
par philigram
J'en ai discuté avec la psy qui connaît bien le problème.

En gros on souffre d'être seul mais on souffre autrement avec quelqu'un.
Pour elle c'est le problème, pour moi en tout cas, des excès dans le TSA. En gros je cherche une amitié sincère, solide, fusionnelle presque de l'amour et c'est juste un fantasme et excessif.
Donc c'est soit tout ou rien. Le moindre défaut, les remarques, la distance, le manque de nouvelles, bref le moindre grain de sable ne permet pas de me faire de vrais amis.
J'en souffre aussi énormément.

Ceci dit, les NT ont un ou deux vrais amis et encore, le reste c'est du "réseau".

J'ai tenté OVS : en effet à moins de voulir faire du patchwork, de la danse de salon ou partir dans tout ce qui est ésotérique, ya rien qui me motive. Même si je ne suis pas djeun, je veux aussi participer à des activités de djeun's.

Ensuite, ya les sites de rencontres : là c'est soit l'amour éternel, la recherche du prince charmant ou alors un plan cul.

Chez moi aucun café Asperger, et puis les gens qui ne sortent pas, et ben, ne se voient pas dans la rue :D et seront tout de manière difficilement abordable, comme j'aurais du mal à les aborder.

J'ai pris des années le train : jamais une conversation avec le voisin. En soirée, je n'arrive pas à m'insérer dans les discussions. Et si on est peu bavard, fermé, les NT naturellement nous laissent de coté.

Moi, il me faut du temps pour construire. Mais si tout le protocole et jeux, qui permettent de vraiment connaître la personne, ne sont pas maitrisés et/ou n'intéressent pas, comment faire ?
Si on arrive et qu'on déballe tout notre savoir sur un sujet, le type est saoulé et se ferme, lui. Quand je parle de protocole, c'est tout ce qui permet d'entamer une conversation, de blablatter : météo, parler des enfants ... cigarette, pause café ...).

Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 4 novembre 2016 à 12:25
par freeshost
Attends que je revienne à Bordeaux l'année prochaine. Nous partagerons la bouteille. :mrgreen:

Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 4 novembre 2016 à 12:44
par Firemane
Je ne fantasme pas de relations, dans le sens où j'accepte les défauts et les inconforts. Le soucis n'est pas dans "j'aimerais bien que tu sois comme ci ou comme ça" mais plutot qu'on me nie, me rejette, me quitte, m'abandonne.
Je ne me retrouve pas trop dans ce que tu décris philigram :/

Société tu m'auras pas, certes, mais je suis plutot "chanson pour pierrot", "la peche à la ligne" ou "manu".

Enfin en vérité je suis surtout Transilvanian Hunger

Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 4 novembre 2016 à 14:11
par philigram
Firemane a écrit :Je ne fantasme pas de relations, dans le sens où j'accepte les défauts et les inconforts. Le soucis n'est pas dans "j'aimerais bien que tu sois comme ci ou comme ça" mais plutot qu'on me nie, me rejette, me quitte, m'abandonne.
Je ne me retrouve pas trop dans ce que tu décris philigram :/

Société tu m'auras pas, certes, mais je suis plutot "chanson pour pierrot", "la peche à la ligne" ou "manu".

Enfin en vérité je suis surtout Transilvanian Hunger
Et bien pas grave. Chacun sa merde comme on dit :mrgreen:

Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 19 mai 2017 à 17:14
par Rem 82

Re: Solitude, social, et affect

Posté : vendredi 19 mai 2017 à 17:22
par Lia
Flower a écrit : En revanche mon "intégration" reste souvent très superficielle.
Ah voilà c est tout à fait ça. ... j ai un groupe de amiservices avec qui je vais manger souvent le samedi soir.... mais par exemple pour les autres sortie ( bar vacances ...ect) on me demande jamais....d ailleurs la dernier samedi ils étaient en train de organiser leur futur vacances tous ensemble.... du coup je avrcutreilleur parler encore moins que de habitude

Re: Solitude, social, et affect

Posté : samedi 20 mai 2017 à 1:47
par freeshost
Quoi ? Lia ? Tu n'as pas encore lu La différence invisible, de Julie Dachez ? J'en ai pourtant acheté trois exemplaires récemment. En veux-tu ?

Velvian veux m'en acheter un (38.30 francs suisses chez la librairie Payot mais on peut éventuellement l'avoir moins cher en France). :mrgreen:

Re: Solitude, social, et affect

Posté : samedi 20 mai 2017 à 16:35
par Lia
freeshost a écrit :Quoi ? Lia ? Tu n'as pas encore lu La différence invisible, de Julie Dachez ? J'en ai pourtant acheté trois exemplaires récemment. En veux-tu ?

Velvian veux m'en acheter un (38.30 francs suisses chez la librairie Payot mais on peut éventuellement l'avoir moins cher en France). :mrgreen:
Une amie va me le prêter justement :bravo: