De l'utilité de la psychanalyse ...

Toutes discussions concernant l'autisme et le syndrome d'Asperger, leurs définitions, les méthodes de diagnostic, l'état de la recherche, les nouveautés, etc.
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mag2
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Re: "Le Monde" : la psychanalyse au pied du mur

#31 Message par mag2 » mercredi 21 mars 2012 à 20:14

j'ai partagé sur la page facebook de soutien à sophie,merci emmannuel !!


Modération (Tugdual) : Fusion de sujets (fin).

newvie492
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Freude et sa psychanalyse?

#32 Message par newvie492 » vendredi 18 janvier 2013 à 14:36

Modération (Tugdual) : Fusion de sujets (début).


Hier, j'ai vu un film au cinéma qui s'intitule "D'AUTRES VOIX. UN AUTRE REGARD SUR L'AUTISME" de Iván Ruiz Acero puis après un débat, dont avec des psychanalyste angevins.

Mais ils étaient avant tout psychanalyste de la cause Freudienne c'est à dire pour eux, c'est l'élément qui est autour de l'autiste de s'adapter et non l'inverse.

Ils proposent des thématiques de temps en temps voir peut-être des sorties. D'où ma question suivante : Est-ce une bonne méthode de psychanalyse ou non?

Je me renseigne juste, c'est tout nouveau pour moi, juste depuis hier soir, car en vérité, je m'attendais de ce film plutôt comme une ressemblance comme "LE CERVEAU D'HUGO".

Merci de vos réponses.

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Mars
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#33 Message par Mars » vendredi 18 janvier 2013 à 18:00

A priori, aucune méthode psychanalytique n'a fait ses preuves pour aider les personnes autistes (Rapport de la Haute Autorité de Santé de mars 2012).
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.

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Re: Freude et sa psychanalyse?

#34 Message par Anty28 » vendredi 18 janvier 2013 à 19:07

newvie492 a écrit :
Mais ils étaient avant tout psychanalyste de la cause Freudienne c'est à dire pour eux, c'est l'élément qui est autour de l'autiste de s'adapter et non l'inverse.
C'est également ce que met en avant l'idée d'inclusion, et nul besoin d'être psychanalyste pour la défendre, bien au contraire.

Les psychanalystes ont un lourd passif, ils essaient à fond de contre-attaquer maintenant, mais ils ont perdu presque toute crédibilité auprès de ceux qui ont vu le film Le Mur.

Il leur est très dur de se défendre maintenant, pour quiconque est armé d'un peu de logique.
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#35 Message par Betta splendens » vendredi 18 janvier 2013 à 19:12

Méfiance avec la psychanalyse, même les plus moderne ont encore bien du mal à remettre en cause leur connaissance (délirante)sur l'autisme.
Et fait une recherche sur le forum,ce n'est pas les topic sur le sujet qui manque


"la psychanalyse n'est pas une science, c'est un délire scientifique"

Je ne sais plus de qui elle est cette phrase,mais je l'aime bien,elle résume très bien la situation.
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#36 Message par bidouille » vendredi 18 janvier 2013 à 19:16

non les psychanaliste sont des psychotique ils confondent ce qu'ils imaginent et la realité. Ils ont imaginé pleins de cause a l'autisme et ont vraiment cru que c'etait la cause de l'autisme.
Maman bizarroïde d'un grand ado de 16 ans (EIP TDA) et d'un ado de 14 ans Asperger TDAH.

Tous différents , tous humains!

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Re: Freude et sa psychanalyse?

#37 Message par Jean » vendredi 18 janvier 2013 à 21:20

Quand tu as parlé de film, je pensais qu'il s'agissait de cette séance.

Je n'ai pas vu le film dont il s'agit.

Il ne faut rien attendre des psychanalystes. Mais s'ils sont sympas, pourquoi ne pas les fréquenter ? J'ai plusieurs copines chez les psys, et elles ne sont pas chiantes (au contraire). Je sors avec elles, mais c'est pour le plaisir. :crazy:
père d'une fille autiste "Asperger" de 40 ans

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Re: D'AUTRES VOIX. UN AUTRE REGARD SUR L'AUTISME

#38 Message par Jacline » jeudi 29 août 2013 à 10:21

Voici 2 témoignages (et même 3 !) à propos de ce film.

Témoignage d’une mère à propos du film D’Autres voix
Posted on 4 juin 2013 par lamao1
Par Christine Mira-Tison
Je suis allée voir le film D’autres voix, Un autre regard sur l’autisme, ce jeudi 30 mai, à la Maison des Associations de Grenoble. 
J’ai beaucoup apprécié la poésie de ce film et j’ai été bouleversée par les témoignages des parents.
Nous ne voyons pas les enfants dont ils parlent mais on entend les phases par lesquels ils sont passés comme nous : L’effarement, la peur, la culpabilité puis la rencontre avec cet enfant singulier et unique comme tous les autres. Ces témoignages se terminent par le bonheur et la richesse de l’Amour partagé avec cet enfant-là.  Etre capable de renoncer à nos attentes de parents pour voir, apprécier et accompagner cet enfant pas tout à fait comme les autres !
J’ai reconnu mon fils par moment dans ce jeune homme qui parle de sa différence, de son impuissance à être autrement même s’il est très lucide sur son « étrangeté ». Peu d’individus sont capables d’une telle lucidité !
Je suis sortie de cette soirée avec bonheur et soulagement que ce film ne montre pas que les cris, l’angoisse et la douleur, mais donne une grande lueur d’espoir que cet enfant est une personne et que la rencontre est non seulement possible mais d’une immense richesse.
Nous avons « tricoté » des tas de choses pour aider notre enfant à grandir. Peu importe ce qui lui permet de progresser, l’important c’est qu’il progresse !
Sa psychanalyse lui permet de savoir qui il est et de s’accepter ainsi, elle nous aide, nous parents à mettre en mots la façon de s’y prendre avec lui et de le comprendre afin que le cercle des « initiés » s’agrandisse autour de lui.


Le regard d’une mère et de son fils sur le film D’Autres voix
Posted on 17 juin 2013 par lamao1
Par Myriam Ramière et son fils Victor Von Langsdorff-Ramière
Nous avons vu pour la première fois le film d’Ivan Ruiz «D’autres voix » au cinéma Jean Eustache de Pessac. Venus en famille avec notre fils Victor, jeune adulte dit « autiste », nous sommes sortis de la projection à la fois émus et joyeux, avec le sentiment que, oui … c’était bien cette approche et cette sensibilité que nous avions envie de partager et faire partager à propos de l’autisme. Par delà l’émotion, ce film touche en nous quelque chose de très profond car il invite à l’écoute, propose une pensée en mouvement. Il se refuse au voyeurisme.
Pour ma part, j’ai été frappée par le témoignage de cette psychiatre  qui racontait comment elle s’était questionnée sur ses pratiques avec le sentiment d’apporter si peu aux enfants qu’elle soignait pour finalement se tourner vers la psychanalyse. Je crois effectivement que l’autisme nous questionne. Il questionne l’individu, le parent ou le soignant mais aussi le membre du corps social que nous sommes. Je crois que les réponses « en kit » proposées par certaines méthodes dites éducatives ne permettent guère de laisser la place au questionnement et par là même, à la pensée libre et créatrice.
Nous avons poursuivi la discussion sur le film à la maison, en particulier avec Victor. Il avait aimé le film mais n’avait pas osé parlé devant toute la salle le soir de la projection. Il m’avait alors fait remarquer en aparté qu’il était un peu gêné d’être présenté comme « autiste » car, après tout, il considérait qu’il y avait un peu d’autisme en chacun de nous.
Je trouve très juste et légitime de la part de mon fils de protester contre cet « étiquetage » qui, de catégories en sous catégories (autiste, autiste non spécifié, atypique… c’est la tendance), émiette toujours plus la perception de l’autre en oubliant au passage d’écouter ce que l’individu a à dire sur lui-même.
Nous avons alors convenu tous les deux d’échanger nos impressions sur le film par écrit, dans un texte « à deux voix » pour continuer la réflexion. Voici le texte que m’a livré Victor :
 « J’ai bien aimé le film parce qu’il traitait bien des différentes manifestations de l’autisme : l’isolement, le mutisme. Cela m’a intéressé parce que je me suis retrouvé dans le personnage d’Albert. J’ai aussi aimé les témoignages des parents car ils racontent les différents moyens qu’ils ont utilisés pour faire progresser leur enfant (par exemple des parents d’un enfant autiste se sont servis de son intérêt pour les courses d’automobiles pour lui faire apprendre la géographie). J’ai trouvé intéressant le regard des parents ; ils ont d’abord été profondément choqués en apprenant que leur enfant était autiste et puis ils l’ont accepté comme une manière différente de fabriquer son identité.
La psychanalyse, dans ce film, permet de mieux comprendre l’autisme et d’aider les jeunes à être plus autonomes, à vivre normalement tout en étant différents des autres.
Le témoignage d’Albert m’a plu car j’ai pu mieux comprendre le ressenti d’un autiste (comme moi). Il montre comment combattre contre les préjugés  (Albert s’est fait un ami malgré ses problèmes psychiques et celui-ci l’accepte tel qu’il est).
L’autisme est, pour moi, une forme de différence  comme d’autre et non pas une maladie ou une anormalité chez l’enfant. »


C'est souligné dans le texte.
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Modifié en dernier par Jacline le jeudi 29 août 2013 à 15:50, modifié 1 fois.
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Bubu
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#39 Message par Bubu » jeudi 29 août 2013 à 15:31

La pyschanalyse de Freud peut être résumée en 3 mots : Dans Ton Cul
J’espère que ça aide
Modifié en dernier par Bubu le jeudi 29 août 2013 à 22:13, modifié 1 fois.
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"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"

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Re: Freude et sa psychanalyse?

#40 Message par Anty28 » jeudi 29 août 2013 à 18:20

Sans être aussi radical dans la formulation, je soupçonne à la fois le film d'avoir un parti-pris très particulier, qui n'est pas cohérent du tout avec ce que la psychanalyse est en pratique, et les commentaires d'être "bidonnés" par des individus déjà acquis à la psychanalyse (comme souvent, d'ailleurs). D'ailleurs, les commentaires en eux-mêmes ne sont pas gênants et contiennent même de bonnes idées, mais ils sont en contradiction flagrante avec l'attitude réelle de la plupart des psychanalystes. De plus, je ne vois pas vraiment en quoi la logique psychanalytique pourrait vraiment aider les personnes autistes, tant elle est fondée sur la culpabilisation des parents. Je préfère le concept de neurodiversité, personnellement.
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#41 Message par stef_asper » jeudi 29 août 2013 à 21:20

De plus, je ne vois pas vraiment en quoi la logique psychanalytique pourrait vraiment aider les personnes autistes, tant elle est fondée sur la culpabilisation des parents
Attention ce n'est pas parceque dans l'intimité de la conversation avec son psy on decortique l'attitude et la responsabilité parentale qu'ensuite on va aller faire la gueule ou "avoir la haine" contre ses parents.

Le fait de comprendre leurs manquements ne m'empeche pas de respecter les miens.

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Re: Freude et sa psychanalyse?

#42 Message par Lupine » jeudi 29 août 2013 à 22:02

Faut déjà partir de l'idée que les parents ont des manquements... Mais je m'arrête tout de suite, parce que depuis quelques temps certaines interventions à la limite de la provoc' de certaines personnes me tape sur le système, ce qui me fait fuir petit à petit le forum.
Je laisse le courage à d'autre de se voir envahir les yeux par des inepties... Sur ce, bonne continuation.
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#43 Message par Mars » jeudi 29 août 2013 à 23:09

Pourquoi avoir ressorti ce sujet, Jacline ?
Une urgence soudaine ?
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#44 Message par Jacline » jeudi 29 août 2013 à 23:57

Tout simplement ma découverte du jour, Mars.
Ce sont des témoignages. Tant celui de Ruiz, le cinéaste, père d'un enfant autiste et psychanalyste que ceux ces 2 mères et ce jeune homme.
J'essaie de faire passer un message.

Je ne crois pas qu'il soit inentendable. La psychanalyse change.
Par exemple (Et ça, c'est une trouvaille d'hier.) :
La psychanalyse a du se déprendre de ses propres égarements, de ses propres déviations. Le début présumé de l’autisme se situant dans les premiers instants, les premiers mouvements de l’enfance, la théorie analytique a cru pouvoir y lire avec certitude la carence et la défaillance d’un autre dont la relation est d’autant plus indispensable que l’enfant est jeté au monde dans un état de détresse du fait de sa prématuration. La longue construction de l’infantile par le névrosé trouvait ainsi sa vérification empirique par le moyen d’une observation qui se fondait sur une théorie du développement confondant le registre de la causalité avec celui de l’événementiel. L’autisme se présentait alors sur le versant d’une défaillance, d’une fixation, d’un défaut qu’il s’agissait de rectifier en ayant recours à l’illusoire d’une régression réparatrice. Si le défaut était au fondement de l’autisme, défaut pour certains irrémédiable, la faute, elle, entachait l’Autre, les premiers autres que l’enfant refusaient de rencontrer afin de s’en préserver. Il ne restait plus alors qu’à réinscrire ce traumatisme initial dans l’histoire du sujet en donnant sens à la suite insensée des aventures du sujet. La dépression de la mère ordonnait ce récit de toute sa puissance fantasmatique. Rouillon

Ça date de 2010. C'est moi qui ai souligné.

La psychanalyse change, mais sa réputation moins vite.
Cela me rappelle que je parlais de ça avec "mes" gamins quand ils en avaient fini avec les vols ou avec l'énurésie. "Toi, tu as changé mais ta réputation de voleur ou d'énurétique mettra plus de temps à changer. C'est comme ça ! Beaucoup de gens restent à leur première impression, leur premier jugement." (même après 3 ans sans énurésie ! dur, dur...)

Et puis je me disais qu'avec son titre "psychanalyse", ceux pour qui c'est vraiment intolérable ne liraient pas.
Jacline
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Re: Freude et sa psychanalyse?

#45 Message par Tugdual » vendredi 30 août 2013 à 0:08

Jacline a écrit :
La psychanalyse a du se déprendre de ses propres égarements, de ses propres déviations. Le début présumé de l’autisme se situant dans les premiers instants, les premiers mouvements de l’enfance, la théorie analytique a cru pouvoir y lire avec certitude la carence et la défaillance d’un autre dont la relation est d’autant plus indispensable que l’enfant est jeté au monde dans un état de détresse du fait de sa prématuration. La longue construction de l’infantile par le névrosé trouvait ainsi sa vérification empirique par le moyen d’une observation qui se fondait sur une théorie du développement confondant le registre de la causalité avec celui de l’événementiel. L’autisme se présentait alors sur le versant d’une défaillance, d’une fixation, d’un défaut qu’il s’agissait de rectifier en ayant recours à l’illusoire d’une régression réparatrice. Si le défaut était au fondement de l’autisme, défaut pour certains irrémédiable, la faute, elle, entachait l’Autre, les premiers autres que l’enfant refusaient de rencontrer afin de s’en préserver. Il ne restait plus alors qu’à réinscrire ce traumatisme initial dans l’histoire du sujet en donnant sens à la suite insensée des aventures du sujet. La dépression de la mère ordonnait ce récit de toute sa puissance fantasmatique. Rouillon
C'est curieux chez les psys ce besoin de faire des phrases ...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).

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