Oui, c'est un peut facile d'une manière générale d'affirmer ceci est un psychanalyste et ceci n'en est pas un sachant que chacun peut placer les limites de l'inclusion un peut où il veux.
Et c'est un peut facile d'une manière générale d'affirmer ceci est un autiste et ceci n'en est pas un sachant que chacun peut placer les limites où il de l'inclusion un peut où il veux aussi.
Ce qui est difficile c'est de parler ensemble sur la base d'un tel mots quant les uns et les autres ont des acceptations distinctes.
J'ai remarqué que souvent on crois défendre une idée, et au lieu de ça on défend une frontière d'acceptation d'un mots, contre l'interlocuteur qui la place ailleurs.
C'est le cas dans ce sujet puisque l'acceptation ici est un dogme institutionnel alors que je parle pour ma part d'une notion de travail sur soi, et par soi, qui permet de faire tomber un voile de nos propre vécu qui masque, floute le reste du monde.
Alors je vais prendre la peine de reformuler l'idée en évitant soigneusement ce mot :
Un homme qui a vécu dans un camps de concentration et qui reproduit ce schémas sur ce qui l'entoure, est quelqu'un qui n'as pas réussis a faire tomber ce voile. Il est donc inapte à percevoir, a entendre, a distinguer. C'est l'évidence que tout le monde constate en ce qui concerne bettelheim. Je pense qu'on peut tous ce rejoindre là dessus.
Faire tomber une partie de ce voile peut être suffisant pour survivre. C'est ce qu'il a fait, il est allé consulter pour se soigner, pour faire face, pour arriver a vivre avec.
Ensuite il a étudié le fonctionnement logique de cette (pseudo)science. Jusque là on est encore dans le factuel donc si on ne présuppose pas de l’efficacité de la thérapie il n'y a rien a débattre.
De là on peut ajouter un principe de la théorie psychanalytique : pour être apte a entendre l'autre, il faut en plus du travail suffisant pour "survivre" faire un travail plus aboutis, pour tenter de faire tomber au mieux l’ensemble du voile.
C'est pas un fait, mais un principe théorique qu'on peut partager où non.
Mais le fait est que ce travail secondaire est réclamé par la théorie, et que bettellheim comme la plus part des psy qui ont accusé les mères au nom de la psychanalyse n'ont pas fait ce travail secondaire.
Donc quant nicolew dit
nicolew a écrit :Si c'était ça la psychanalyse, je ne serais pas contre.
a savoir
nicolew a écrit : comprendre que Cécile ne veut pas aller en classe ce jour là
je réponds
manu a écrit :C'est ce que ça devrais être.
J'ai l'aire alors de défendre la psychanalyse, mais je ne vise pour ma part qu'une notion, celle de "lever le voile". Les tentatives sont partout dans l’histoire humaine, et chaque fois ça tourne à la secte dogmatique, c'est vieux comme le monde.
Et ceux qui refusent de voir claire sont souvent au plus près du voile collectif pour interdire de le soulever là où ils veulent que le voile reste. Freud le premier, puisqu'il s'évanouissait a la simple évocation d'un sujet son père que Jung qui n'a jamais dévoilé bien qu'il ait rapporté qu'il en a été témoins. (dans "ma vie" livre autobiographique de Jung).
Pour ceux qui ne peuvent pas lever le voile, cette révélation qui se dit "
apocalypse" dans l'évangile selon jean, deviens synonyme de fin du monde.
C'est tellement difficile de voir claire que cette notion effondrement du monde qu'on retrouve sur les 5 continents prépare l'esprit au changement d'après un intervenant de l'émission "
C dans l'aire " d'hier intitulé apocalypse now
Des fois je me dis qu'il faudrait allumer un grand feux, et brûler les mots psychanalyse, autisme, asperger, et bien d'autres, par ce qu'il sont brodé sur le voile comme pour empêcher d'être soulevé par le vent.
Mais bon, je venais pas disserter, juste parler d'une autre émission, ce que je vais aller faire de ce pas avant de m’éclipser de nouveau, par ce que tenter de faire comprendre c'est usant pour soi même comme pour les autres, et probablement inefficace au possible.