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Bonjour,
Je ne sais pas si ce fil est le bon mais je me lance.
Mon intérêt principal pour la psychologie porte sur des thèmes restreints dont l'autisme et la maladie mentale (pour des raisons personnelles). Afin d'ouvrir mon esprit à un champ plus large de la psychologie humaine que celui qui m'intéresse, il m'a été recommandé de lire au moins un roman psychologique parmi les chefs d'oeuvre de la littérature.
Je n'ai jamais eu goût pour les romans.
J'ai quand même parcouru la liste de wikipedia mais sans éprouver un grand attrait.
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Roman_psychologique (note : si quelqu'un peut m'expliquer comment ajouter un lien hyperlink dans les posts au passage, je suis intéressée).
Voici les questions que je me pose :
- est-ce que certain(e)s parmi vous se reconnaissent dans mon non-attrait pour les romans psychologiques, et si oui, est-ce que vous ressentez ce non-attrait envers la psychologie en général ou juste envers les romans de cette catégorie ? ;
- si certain(e)s sont passionnés par un roman psychologique, pourriez-vous m'expliquer pourquoi et si vous éprouvez également cette passion hors du roman (observer/comprendre la psychologie des personnes qui vous entourent par exemple, NT ou non) ;
- j'ai entendu dire que beaucoup de personnes avec TSA sont intéressées par la psychologie.
Parle t'on de la psychologie en général ou bien de la thématique de l'autisme en particulier ?
Et s'il s'agit de la psychologie en générale, j'ai de la difficulté à réconcilier ce fait avec un autre fait, qui est celui d'avoir une relativement mauvaise théorie de l'esprit.
Le roman psychologique ...
Le roman psychologique ...
Diagnostiquée Asperger en Janvier 2016 à 35 ans
Re: Jasons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiatr
Je connaissais pas le roman psychologique.
A priori, je suis pas fan, du moins j'ai pu constater avec une série que j'aimais (the leftovers), tant qu'elle maintenait une suspension d'incrédulité autour d'évènements mystérieux et fantastiques, mon désintérêt lorsqu'elle s'est affirmée dans des explications essentiellement et seulement psychologiques en plus de désanchantées.En plus de plus capter grand chose(c'était plus clair quand c'était pas clair aha).
Je m'intéresse pas mal à la psychologie sociale et sociologie.J'en ai lu un peu, sur des thèmes ciblés.Mais surtout par le apssé j'étais continuellement à tout décortiquer des rouages sociétaux et d'intéractions pour essayer de les appréhender, les gens croyant que j'étudiais dedans.Ceci impliquant partiellement, une dose de psychologie plus classique.Pour les mêmes motifs.
Se passionner pour la psychologie en étant autiste, je dirais que cela commence un peu comme pour toi ou moi; car on s'intéresse à ce qu'on est, et éventuellement, on élargit un peu notre cible à d'autres trbs mentaux ou caractéristique pour comprendre son environnement direct ou d'autres traits nous concernant, puis parfois, un peu plus encore, s'intéressant au fonctionnement cognitif dans sa globalité( incluant la partie plus subjective dont tu sembles parler)
C'est une façon d'aborder le social à travers la connaissance, par l'analyse, et on peut le circonscrire à un domaine d'intéret ciblé qu'on maitrise, ce permet aussi de mieux comprendre et donc gérer potentiellement les rapports à son environnement .
Je vois pas de contradiction en fait avec le manque de théorie de l'esprit, car précisément, si on comprend pas de sorte innée, faut bien en passer par tout ce qui nous permet d'apprendre d'un sujet, la psychologie etant un domaine qui s'étudie à part entière,( c'est plus stimulant d'assimiler des connaissances et apprendre un discipline que d'avoir des cours pratiques d'habiletés sociales) regorgeant de nombreuses clefs qu'on a pas justement sur tout ce qui est humain et social.
A priori, je suis pas fan, du moins j'ai pu constater avec une série que j'aimais (the leftovers), tant qu'elle maintenait une suspension d'incrédulité autour d'évènements mystérieux et fantastiques, mon désintérêt lorsqu'elle s'est affirmée dans des explications essentiellement et seulement psychologiques en plus de désanchantées.En plus de plus capter grand chose(c'était plus clair quand c'était pas clair aha).
Je m'intéresse pas mal à la psychologie sociale et sociologie.J'en ai lu un peu, sur des thèmes ciblés.Mais surtout par le apssé j'étais continuellement à tout décortiquer des rouages sociétaux et d'intéractions pour essayer de les appréhender, les gens croyant que j'étudiais dedans.Ceci impliquant partiellement, une dose de psychologie plus classique.Pour les mêmes motifs.
Se passionner pour la psychologie en étant autiste, je dirais que cela commence un peu comme pour toi ou moi; car on s'intéresse à ce qu'on est, et éventuellement, on élargit un peu notre cible à d'autres trbs mentaux ou caractéristique pour comprendre son environnement direct ou d'autres traits nous concernant, puis parfois, un peu plus encore, s'intéressant au fonctionnement cognitif dans sa globalité( incluant la partie plus subjective dont tu sembles parler)
C'est une façon d'aborder le social à travers la connaissance, par l'analyse, et on peut le circonscrire à un domaine d'intéret ciblé qu'on maitrise, ce permet aussi de mieux comprendre et donc gérer potentiellement les rapports à son environnement .
Je vois pas de contradiction en fait avec le manque de théorie de l'esprit, car précisément, si on comprend pas de sorte innée, faut bien en passer par tout ce qui nous permet d'apprendre d'un sujet, la psychologie etant un domaine qui s'étudie à part entière,( c'est plus stimulant d'assimiler des connaissances et apprendre un discipline que d'avoir des cours pratiques d'habiletés sociales) regorgeant de nombreuses clefs qu'on a pas justement sur tout ce qui est humain et social.
Diag TSA 2015