[HS] Délinquance et autisme

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
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Jean
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Re: Délinquants et autistes

#91 Message par Jean » mardi 25 septembre 2018 à 14:37

Le sujet est "délinquants et autistes". Je regroupe les articles sur le sujet.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans

Maxime Lacaze
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Re: Délinquants et autistes

#92 Message par Maxime Lacaze » samedi 29 septembre 2018 à 3:26

Bonjour Monsieur jean,

Mon expérience de passage dans votre forum étant un échec et ayant pris la décision de ne plus y venir au motif que je n’ai rien à y apporter de constructif,

je vous offre ma dernière intervention et je porte à votre réflexion personnelle ma lecture de votre ‘’post’’ du 23 septembre, relayant sous le
titre : RE : DELINQUANTS ET AUTISTES, un article de la presse suisse (La tribune de Genève) qui titrait :

Berne : Un jeune homme souffrant d’autisme a reconnu avoir poignardé à mort un trentenaire ce week-end.

Pour lancer le débat, et sans autres formes de commentaires, vous demandiez : ‘’ Avez-vous apprécié cet article? ’’.

S’agissant d’un article de presse, clairement diffamatoire envers les autistes et la communauté des autistes pour lequel vous avez simplement servi de relais de diffusion sans prendre une quelconque précaution de mise en garde ou de critique, n’existe-t-il pas un risque que vous soyez un jour associé à un système de pensée, que vous combattez ? (ce dont je suis sûr)

C’est en prenant connaissance ce soir, de votre message où vous disiez :

- Ce jeudi, j'étais au tribunal Correctionnel de Brest, car je suis poursuivi pour diffamation par une association. Audience sur le fond fin janvier.

- Que je me suis dit : Cet homme est certainement un honnête homme ; Sa présence, il l’exprime simplement : Il est le papa d’une SA de 35 ans. Il doit presque avoir mon âge, et il est poursuivi pour diffamation. Aussi, si je peux, par un petit mot, lui exprimer non pas de l’empathie mais une forme de solidarité que je dois à sa fille, et donc à lui par voie de conséquence (excusez svp mon verbiage, je suis un TED pour le reste de mes jours). Votre avocat sera un bien meilleur conseil que je ne pourrai l’être, et ce qui suit, ne se veut être qu’une base de réflexion.



En préalable,

Je tiens à vous rappeler que Je n’ignore pas la confusion, largement répandue dans le public en général, entre la ‘’dénonciation calomnieuse’’ et la ‘’diffamation’’.

Peut-être est-il bon de rappeler que s’il faut impérativement une affirmation mensongère ou imaginaire dans le premier cas, il n’est pas nécessaire que l’allégation soit fausse pour qu’il y ait Diffamation; Il suffit seulement que l’affirmation porte et/ou puisse porter atteinte à l'honneur et à la considération d'une personne.

Je vais essayer ci-après de vous montrer comment l’article que vous avez relayé a réussi, au travers d’un récit factuel, à insinuer que les autistes sont des malades souffrant d’une pathologie d’ordre psychique ou neuro-psychique, dont l’état mental et les désordres subséquents peuvent les rendre dangereux, alors que l’autisme est un handicap .

Les autistes sont des handicapés comme les unijambistes, les daltoniens, les tétraplégiques, etc, et que tous peuvent comme les NT (mais ni plus ni moins) développer des troubles psychiatriques avec névrose ou psychose , comme le sont les schizophrènes, les maniaco-dépressifs (bipolaires) etc..


Revenons-en donc à notre article et analysons ce qu’écrit le journaliste :

1ère affirmation : ‘’ Un trentenaire a été poignardé par un jeune suisse âgé de 19 ans. Celui-ci souffrirait d’autisme. Interné en institution, il a reconnu les faits’’
a) On affirme qu’il est autiste, ce qui est peut-être vrai, mais sans aucun rapport avec l’acte criminel, sauf à sous-entendre et/ou à affirmer qu’il y a un lien de causalité.

b) Pour transformer le sous-entendu en quasi affirmation, le journaliste emploie l’expression ‘’ il souffrirait d’autisme’’, expression normalement réservée aux pathologies (on souffre d’une pathologie, d’une maladie) : On a un handicap. Il souffrirait d’autisme, devient sous la plume du journaliste, l’explication, voire l’excuse même partielle de l’acte criminel ; première pierre de l’édifice : qualité du discernement.

c) Interné en institution : (l’internement en Suisse et/ou en France, consiste à retenir contre sa volonté un individu, dans un lieu ou des soins appropriés lui seront apportés généralement dans le domaine médical et/ou psychiatrique).
Là encore, l’affirmation est peut-être vraie ; Elle était peut-être internée. Mais en aucun cas cette personne nous pouvait être internée pour cause d’autisme.

En affirmant, et en posant cote à cote les mots : ’’Un jeune homme a commis un meurtre, il souffrait d’autisme, il était interné en institution’’, La diffamation est constituée par le fait que le journaliste créé artificiellement un lien de cause à effet entre l’autisme et le meurtre et qu’ainsi il porte atteinte à l’honorabilité et la considération des personnes avec autisme.


2ème affirmation: Concernant les actes du jeune homme, le journaliste va s’en tenir à énumérer de manière factuelle les agressions, sans fournir de commencement d’explications ou d’hypothèse :
En début de nuit, Il aurait gravement poignardé son père, sa mère et sa sœur., puis se serait dirigé vers la gare où il a tué un inconnu.
A aucun moment, le journaliste n’évoque l’interrogation des mobiles possibles, et le silence du journaliste, devient inévitablement sous-entendu ‘’ sans motif compréhensible’’, et permet la conclusion du journaliste, toujours en relation avec les premières affirmations.
«Son état mental est un point important de l’enquête car il pose la question de sa responsabilité pénale.

L’état mental d’un autiste, et la question de la responsabilité pénale d’un autiste.

La diffamation envers l’autisme et les autistes est totale et complète de la part du journal, du journaliste, et des personnes qui relayent ce torchon.


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De votre côté, vos modérateurs n’ont pas vu qu’une personne prétendument autiste a par son témoignage porté crédit aux affirmations du journaliste. C’est grave.



Saduoc35 » mardi 25 septembre 2018 à 21:02
Bonsoir, Pour ma part, fin 2015, au cours d'une dépression sévère (liée au travail), j'ai agressé mes parents : ils n'ont eu que des blessures superficielles (heureusement), mais j'ai été menotté par la gendarmerie. A l'issu, j'ai été hospitalisé 2 mois et demi en hôpital psychiatrique. Je suis encore sous traitements et sous suivi psychiatrique. Mes parents ont compris que je n'étais pas dans mon état normal.
Gildas
SA diagnostic tardif


--------------------------------------------------------------------------------------------------

De tout ceci, je vous laisse libre juge et toutes latitudes .

Vous en ferez ce que vous voudrez. Je ne viendrai plus sur ce forum

Max

pédeuceu
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Re: Délinquants et autistes

#93 Message par pédeuceu » samedi 29 septembre 2018 à 10:06

[sdfgthjklm:lkjhgfds
Modifié en dernier par pédeuceu le mercredi 31 octobre 2018 à 20:58, modifié 1 fois.

Girl
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Re: Délinquants et autistes

#94 Message par Girl » samedi 29 septembre 2018 à 12:19

tes histoires sont horribles, bernard... si ça continue, je me barre sur une autre planète. Vous ne vous rendez pas compte qu'il y a de moins en moins de liberté à cause d'une petite population de connards ?
non diagnostiquée, traits autistiques

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Re: Délinquants et autistes

#95 Message par Saduoc35 » samedi 29 septembre 2018 à 12:46

Maxime Lacaze a écrit : samedi 29 septembre 2018 à 3:26 De votre côté, vos modérateurs n’ont pas vu qu’une personne prétendument autiste a par son témoignage porté crédit aux affirmations du journaliste. C’est grave.
Bonjour,
J'ai été diagnostiqué en 2010 à l'hôpital Chenevier à Créteil.
Quant à mon témoignage, l'isolement et le stress peuvent provoquer des réactions catastrophiques (et, également, cela fait du bien de s'exprimer) : je ne vois pas pourquoi mon post aurait dû être modéré.
Gildas
SA diagnostic tardif

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Re: Délinquants et autistes

#96 Message par Tugdual » samedi 29 septembre 2018 à 13:19

Maxime Lacaze a écrit : samedi 29 septembre 2018 à 3:26 De votre côté, vos modérateurs n’ont pas vu qu’une personne prétendument autiste a par son témoignage porté crédit aux affirmations du journaliste. C’est grave.
Modération (Tugdual) : Merci de respecter la charte.
Charte (chapitre 2.7) a écrit : dimanche 13 décembre 2015 à 20:19
Ce n'est en aucun cas notre rôle, que ce soit en modération ou en tant que membre, de remettre en question un diagnostic.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).

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Re: Délinquants et autistes

#97 Message par Zebra3 » mercredi 5 décembre 2018 à 19:38

Yo' !

J'ai continué à réfléchir depuis cet été et... je pense que j'm'ai planté :P
En fait ce ne serait pas le SA le soucis de base, plutôt le TDA/H.
Le bordel c'est que le taux de comorbidité entre SA & TDA/H est potentiellement très élevé (j'ai lu un site qui disait 60%, un autre qui disait entre 50 et 80%), d'où une confusion possible, ou un diag erroné, ou partiel.
Et comme une personne TDA/H qui s'ignore peut, à force, s'isoler, rythmer son quotidien par des routines, s'hyperfocaliser sur quelques centres d'intérêts spécifiques, et qu'à l'inverse un aspie peut être dans le dénis et refuser toute remise en question, les 2 conditions doivent probablement se superposer en partie.

Mon père correspond grandement à un TDA pas spécialement hyperactif mais impulsif, avec un côté impulsif qui se serait exacerbé après une dépression (ou uen regression ?). Ma mère a des traits TDA, et moi aussi en fait mes difficultés seraient des traits TDA (procrastination/hyperfocalisation). Tout ce que je sais de la nana dont je parlais peut correspondre a un TDA/H non diagnostiqué, avec éventuellement un TOP (trouble oppositionnel avec provocation), possiblement renforcé par une éducation non adaptée, ou permissive (d'où un contraste très élevé entre la vie "à la maison" et "à l'extérieur), n'ayant pas atténué le TOP, possiblement avec des lacunes de théorie de l'esprit aboutissant à un TPL (genre borderline).

D'autant plus que le TDA/H est semble-t-il le "trouble" le plus courant (5 à 8% de la population je crois).
Et que comme pour le SA, la psychanalyse se plante royal.

Et la description de "psychose distanciée" de psychisme.org que j'avais mise en lien tout au début à mon arrivée sur le forum en trouvant qu'elle ressemblait beaucoup à une description de SA décrit en fait plus encore un comportement TDA/H qu'aspie. Le psy en fait une bonne description, et mentionne notamment le faux self tel que je me le suis pris dans la tronche, mais si les observations sont bonnes, comme il a une approche psychanalytique l'explication est en revanche à la ramasse...
Les histoires de famille problématique ne sont pas la cause de cette "psychose", elle en sont surtout des manifestations vu que cette "psychose" serait donc en fait un "trouble" (et encore) présent génétiquement dans la famille depuis plusieurs générations, d'où souvent une histoire familiale compliquée, avec des histoires de suicide, d'addiction, de dépression, etc...

Et le gros soucis serait donc les lacunes de théorie de l'esprit, car ça donne une personne éventuellement impulsive, vivant dans une incompréhension sociale permanente, d'où la possible évolution vers des troubles de la personnalité type borderline, histrionique ou antisociale, vu que le "déficit" de rapport aux autres accentue perpétuellement les soucis, plutôt que de les résorber.
Et on a peut-être même là une base d'explication pour le "PN".
Vous voyez le truc ? On pourrait faire la déduction que :
Inné atypique + acquis inadapté + lacunes de théorie de l'esprit = probabilité élevée de trouble de la personnalité

Et le cas Cantat pourrait bien plus probablement avoir comme base un TDA/H (type impulsif) qu'un SA. Sans en tirer de conclusion, tout ce qu'il y avait dans la description que j'avais mise en lien peut y correspondre.

Après, loin de moi l'idée de stygmatiser les TDA/H bien sûr, vu que j'y aurais une tendance moi-même. Ce sont des enfants particuliers qui sans une éducation adaptée pourraient donc devenir très pathologiques, notamment si le TDA/H est doublé d'un TOP et de lacunes de théorie de l'esprit.
(je réponds dans ce sujet parce que c'est là qu'on en avait causé, mais limite ce serait mieux dans le sujet sur la psychanalyse, j'espère que ça ne va pas repartir en vrille :kiss: )
Statut : Proche d'éventuel(s) aspie(s) et/ou TDA/H. Personnellement, probable tendance TDA, doué, zébré :mryellow: éventuellement tendance aspie. Je vais peut-être faire un bilan neuropsy...

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Re: Délinquants et autistes

#98 Message par Tugdual » jeudi 6 décembre 2018 à 10:18

@Zebra3 :

Nous t'avons déjà dit et longuement expliqué dans cette même discussion que diagnostiquer quelqu'un dans la presse n'était pas pertinent.

Merci de ne pas polluer cette discussion (et au delà, cette section du forum), avec de simples avis ou opinions personnels qui n'ont rien à y faire.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).

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Re: [HS] Délinquance et autisme

#99 Message par Zebra3 » mardi 11 décembre 2018 à 0:27

Oui enfin c'était 2 lignes sur 38 hein, mais j'imagine que c'est là une manifestation d'un esprit atypique qui voit les détails et ignore l'image globale :wink:
Spoiler : 
La question ce n’est pas de faire un diag’ de Cantat à l’emporte pièce, mais le même article parlait de l’addiction à l’herbe de Marie Trintignant, de ses 4 enfants avec 4 hommes différents, etc. , 2 traits qu’on retrouve souvent associés au TDAH.
En gros on aurait - et je dis bien aurait - possiblement un TDA/H impulsif homme avec une TDA/H femme (impulsive ou non je ne sais pas), schéma « classique », du moins le même que mes parents (ma mère c’est une championne du « je mets un plat à chauffer et je pars mettre en route une lessive en laissant bruler le plat »), même si j’imagine qu’on peut aussi avoir 2 TDAH impulsifs... ça doit fritter... :?
En gros on pourrait - et je dis bien pourrait - avoir des affaires de meurtres dues à des TDA/H non diagnostiqués, à des histoires de toute pitites moléculettes du genre domamine, noradrénaline, qui brisent des familles ni vu ni connu.
Je précise : Ceci n'est qu'une supposition purement personnelle, c'est pour ça que j'ai tout mis dans un spoiler, merci de ne pas m'en chier une pendule si vous n'êtes pas d'accord :bravo: .
PDF de tdah.be une fois a écrit :« Certains estiment actuellement que 9 % des enfants pourraient souffrir d’un TDA (Glicken, 1997), d’autres plus conservateurs (ou plus prudents devant les soubresauts médiatiques) parlent de 6 %.
Il y aurait une incidence de trois à six fois supérieure chez les garçons en comparaison des filles. Mais les tenants de l’égalité sexuelle à tout prix rappellent (avec raison) que le trouble déficitaire d’attention sans hyperactivité caractérise davantage les filles que les garçons, qu’il est actuellement sous-diagnostiqué (les non-hyperactifs ne dérangent pas!), donc que l’incidence de ce trouble est peut-être sous-évaluée.
On a noté la possibilité d’une transmission génétique du TDA : 57 % de chances si c’est l’un des deux parents qui en souffre; 15 % de chances si c’est l’un des membres de la fratrie. On estime que le TDA persiste à l’âge adulte dans plus de 66 % des cas. »
(vu les références ce papier doit dater au mieux de 2000, on doit pouvoir trouver plus actuel)

Moi c’est l’inverse, j’ai une tendance TDA mais sans la moindre hyperactivité, comme ma mère, et la nana en question était visiblement impulsive, comme mon père (Nom de Zeus ! Dites ça a un psychanalyste et il divise par zéro !!! :lol: :lol: :lol: )
Alors ce qui serait intéressant ce serait de comprendre pourquoi, s’il y a effectivement une attirance accrue entre hommes et femmes TDAH par rapport à des couples mixtes TDAH/non-TDAH (ou s’il n’y a pas d’attirance accrue, peut-être simplement que les couples mixtes ne tiennent pas car le non-TDAH pourrait avoir tendance à fuir ce genre de relation, là où le TDAH plonge dedans de façon fusionnelle), et si oui l'intérêt serait de comprendre pourquoi :
Genre est-ce que le TDA/H était présent dans le génome humain depuis toujours et donc avant la société, et qu’à cette époque il n’était pas vécu comme un trouble ? Qu’il avait un intérêt d’un point de vue de l’évolution, de l’adaptation, la survie de l’espèce ?
Et que ce n’est donc pas le TDAH qui est inadapté à la société, mais la société qui est inadaptée au TDAH (ça on le pense déjà plus ou moins suivant à qui vous demandez).

Sur TDAH-adulte.org il explique qu’il y aurait un pourcentage accru de TDAH aux Etats-unis car une grosse proportions auraient quitté l’Europe. Ce qui pourrait par exemple donner un début d’explication à la société « sans limite » que sont les USA (accentué par la taille du territoire).

On peut par exemple postuler qu’en des temps pré-sociétaux, le TDAH servait, d’un point de vue évolutif, à créer des couples à tendance fusionnelle et explorateurs/indépendants, dans le but d’éparpiller l’espèce ? Afin de créer de nouveaux petits groupes qui quittent le groupe originel.
Ceci n’est qu’une pure spéculation immédiate de mon esprit en arborescence, ça demanderait moult recherches.

Bref, plein de questions intéressantes qui méritent d'être posées, mais auxquelles ce post n’apportera pas de réponses.
Statut : Proche d'éventuel(s) aspie(s) et/ou TDA/H. Personnellement, probable tendance TDA, doué, zébré :mryellow: éventuellement tendance aspie. Je vais peut-être faire un bilan neuropsy...

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