Tout acte ou non-acte (qui est un acte) peut être interprété. Cf.
l'impossibilité de ne pas communiquer. Mais, parfois, les interprétations sont tirées par les cheveux (surinterprétations, aboutissant parfois à des procès d'intention comme : "elle veut me contaminer" ou "elle veut me priver de la protection qu'est le vaccin").
Le procès d'intention est aussi favorisé par, entre autres, le fait qu'il y a toujours des parties qui trouvent leurs intérêts dans une décision ou dans la décision contraire. Parfois même, quelle que soit la décision prise, quel que soit le cours des évènements réels, on trouve toujours un coupable (un bouc émissaire) à qui ça profite (le biais
is fecit cui prodest, à qui le crime profite), typiquement : le lobby pharmaceutique.
Peur de la Covid-19 ou peur du vaccin ?
Tu connais cette "force d'inertie", l'accoutumance aux habitudes et à certains conforts. Et la Covid-19 vient déranger la population terrestre.
En tout cas, il me semble (selon mes interprétations subjectives) que la pensée d'un être humain, même autiste, reste quand même plus complexe que celle d'un chien (les chiens étant, de prime abord, non autistes).
La restriction de certaines libertés ne me semble pas forcément inadéquate, par exemple celle du port d'arme de poing.
Et j'encourage à développer une vision globale de la population terrestre.
Rappelons que personne n'est parfait, que rien n'est parfait, que chaque personne est unique (génétique, condition, vécu, etc.). Les divers gouvernements ont réagi de différentes manières, selon leurs situations, selon leurs pesées d'intérêts.
Les "mœurs" changent beaucoup quand une guerre commence. D'ailleurs, ces changements dus à une guerre, je ne suis pas sûr qu'on puisse les appeler "mœurs". Une fois la paix rétablie, on aura l'impression de revenir "à la normale". En fait, on viendra vers un état auquel on s'habituera vite, et qui nous paraîtra légitime ("normal") juste parce qu'on s'y sera vite habitué et parce qu'il se révèlera plus confortable que l'état dans lequel on était durant la guerre (stress, tension, inquiétudes, tristesse, colère, nostalgie, regrets, etc.).