Re: [Index] Articles divers à partager sur autre chose que l'autisme !
Posté : mercredi 13 octobre 2021 à 10:46
Il n'y a pas que Facebook à faire des bourdes :
Forum de l'association Asperansa
https://forum.asperansa.org/
C'est un fait que nombre d'étudiants restent mal fixés à propos de la carrière qu'ils feront, alors même qu'ils sont largement engagés dans des études. Comment les aider ?
Très récemment, lors d'un cours à des étudiants de master, j'ai bien mieux compris qu'il fallait distinguer des conducteurs de voitures et des mécaniciens, notamment à propos de physico-chimie.
Et, d'autre part, nous avons bien fait la différence entre un ingénieur "technologique" et un ingénieur chef de projet.
Exit International, une organisation à but non lucratif qui prône la légalisation de l’euthanasie volontaire et du suicide assisté, a développé une « capsule » destinée au suicide, imprimée en 3D, baptisée Sarco. Le principe ? Le patient s’allonge à l’intérieur de cette capsule confortable, puis lorsqu’il se sent prêt, actionne un bouton qui déclenche l’émission d’azote. La mort survient en une trentaine de secondes, par hypoxie, sans aucune douleur.
"La loi permettra que l’enfant puisse porter, à titre d’usage, le nom de la mère, soit en ne portant que son nom, soit on adjoindra le nom de la mère à celui du père, soit on modifiera l’ordre des noms de famille", annonce le ministre. "Il faudra la validation des deux parents et en l’absence de cette entente, il y aura recours au juge. Par ailleurs, si le mineur a plus de treize ans, il faudra également lui demander son accord" , précise-t-il.
"Pour les majeurs, une fois dans sa vie, passé 18 ans, nous allons donner la liberté à chaque Français de pouvoir choisir son nom de famille pour garder celui de sa mère uniquement, celui de son père, ou les deux, dans le sens que l’on souhaitera", annonce-t-il aussi.
"Il suffira désormais d’une déclaration Cerfa à l’état civil de votre mairie", ce qui selon Éric Dupond-Moretti remplacera "une procédure longue et humiliante".
Les deux dirigeants du groupe, soupçonnés d’avoir laissé perdurer de graves dysfonctionnements dans leurs Ehpad, « ne se remettent pas en question », a déploré, mercredi, la ministre déléguée aux personnes âgées.
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Les dirigeants du groupe privé Orpea, soupçonnés d’avoir laissé perdurer de graves dysfonctionnements dans leurs hébergements pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), font preuve d’un « cynisme pur », a fustigé, mercredi 2 février, la ministre déléguée chargée de l’autonomie des personnes âgées, Brigitte Bourguignon.
« On est là au cœur d’un système, je pense », a commenté sur LCI la ministre, interrogée sur les informations du Canard enchaîné selon lesquelles l’ancien directeur général du groupe Yves Le Masne a empoché près de 590 000 euros l’été dernier, en revendant des actions, peu de temps après avoir appris l’existence du projet de livre Les Fossoyeurs.
« Si, en plus, des personnes quittent le navire au moment où il y a des accusations, en n’acceptant pas de répondre et d’assumer des responsabilités – et au passage en se servant –, là, c’est grave ! », s’est exclamée la ministre, évoquant son « dégoût ».
Députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire ont supprimé jeudi le questionnaire médical pour les prêts inférieurs à 200 000 euros. Les consommateurs pourront par ailleurs changer d’assurance emprunteur, sans frais, à tout moment.
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Les élus [...] ont voté, jeudi 3 février [2022], la suppression du questionnaire médical, jusqu’à présent nécessaire avant la souscription d’un crédit immobilier. Or, ce questionnaire condamne aujourd’hui les personnes malades – et les anciens malades – à emprunter à des tarifs élevés, voire prohibitifs, en raison de l’assurance attachée au crédit immobilier.
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Ce texte, fruit d’un compromis entre députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire (CMP), prévoit précisément la suppression du questionnaire médical pour les prêts immobiliers inférieurs à 200 000 euros (par personne, donc 400 000 euros si l’on emprunte à deux) et dont le terme intervient avant le soixantième anniversaire de l’emprunteur. « Cela représente plus de la moitié des crédits immobiliers », affirme le sénateur Daniel Gremillet (Les Républicains, Vosges), rapporteur au nom de la commission des affaires économiques. La proposition de loi doit encore être votée une dernière fois par les deux chambres, l’Assemblée nationale puis le Sénat, d’ici à la mi-février. La mesure s’appliquera dès la promulgation de la loi.
Il y a aussi la réduction du délai du « droit à l'oubli » pour des pathologies graves (cancers, hépatite C, etc.), qui passe de 10 ans à 5 ans.Le compromis de CMP [commission mixte paritaire - déposée le 3 février 2022] consacre un droit de résiliation à tout moment des contrats d’assurance emprunteur. Les obligations d’information des assurés sur leur droit à résiliation sont significativement renforcées, conformément à la volonté du Sénat : les assureurs devront ainsi les informer chaque année de l’existence de ce droit et de ses modalités de mise en œuvre.