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Oups, pardon, je n'ai pas regardé la vidéo mais je vais la regarder alors...

L'immense majorité française ? N'appliquent-elles pas les règles qu'elles ont appris[es]* à l'école ?

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freeshost a écrit : ↑samedi 15 septembre 2018 à 12:08N'appliquent-elles pas les règles qu'elles ont appris[es]* à l'école ?

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Non pour 67% des gens, et les règles ne sont pas compris* par 40% des gens - d'après la vidéo qui cite cet article.

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C'est une erreur de croire que les Français parlent comme ils ont appris à l'école. Ils parlent comme parle leur entourage : d'abord comme leurs parents, puis avec l'école, comme les autres enfants. On peut t'apprendre tout ce qu'on veut à l'école, au mieux tu connais les règles pour savoir écrire et éventuellement parler en contexte formel, mais dans la vie courante, personne ne parle en français "scolaire", pratiquement.
Les gens disent souvent "malgré que" et "ch'uis" et "ch'ais pas" et "le mec que je te parle", "c'est qui qui", voire même "c'est comme si qu'il avait rien fait" etc.

Ce doit être bien différent de la Suisse francophone.

La plupart des personnes francophones que je connais appliquent cette règle du participe passé à l'oral (par exemple, elles n'oublient pas de dire le /z/ à la fin de "la feuille que j'ai prise").

Par contre, oui, il y en a pas mal qui mettent du conditionnel après si (par exemple : si j'aurais...), ou qui disent "un peu près".

Quant à ne pas accorder un adjectif attribut du sujet, on pose encore des questions liées à l'antisexisme.

"Si j'aurais su, j'aurais pas venu"
Savez-vous pourquoi c'est correct ?
Parce que c'est drôle.

Remarquons que, quand elles parlent ou s'expriment sur des forums, les personnes québécoises utilisent régulièrement une forme impersonnelle (l'infinitif passé). Exemple :

"Avoir su, je ne serais pas venu."

Je savais pas qu'on disait ça en québécois. Ca ressemble à un calque de l'anglais "having known"...

Parce que l'origine (apocryphe) du mot citée par wikipedia est assez cocasse :

Pataquès
« Un plaisant était à côté de deux dames ; tout à coup il trouve sous sa main un éventail. - Madame, dit-il à la première, cet éventail est-il à vous ? - Il n'est point-z-à-moi, monsieur. - Est-il à vous, madame ? dit-il en le présentant à l'autre. - Il n'est pas-t-à moi, monsieur. - Puisqu'il n'est point-z-à vous et qu'il n'est pas-t-à vous, ma foi, je ne sais pas-t-à qu'est-ce ! L'aventure fit du bruit, et donna naissance à ce mot populaire, encore en usage aujourd'hui. »

Cent-z-ans ! Les quatre-z-étoiles !

Va-z-à la piscine ! Va-t-en guerre !

[Vas-y ! Va-t-en !]

Qu'est-ce que l'écrit ne ferait pas pour l'oral.

L'écrit fait de l'oral sien, qui quant à lui fait des siennes.

J'ai cherché longtemps un fil convenable. Je me suis fait la réflexion, depuis que je traduis des articles scientifiques, que les propositions subordonnées avec pronoms relatifs composés (lequel, duquel auquel, etc...) me sont souvent utiles.

C'est une application que j'aurais aimé savoir mieux verbaliser quand j'étais prof de français en collège : je les utilisais intuitivement, ou plutôt parce que j'avais l'habitude de lire, mais j'aurais eu du mal à les "défendre" auprès des élèves, en leur indiquant concrètement en quoi elles étaient utiles.

Bonjour

Je cherche un tableau pour les conjugaison de tous les groupes pour fiston TSA et dys, quelque chose de visuellement simple pour préparer le brevet des collèges, de même quelque chose qu'il nomme les petits mots.

Merci

Je ne suis pas sûr qu'un seul tableau suffira pour la langue française, à moins d'un tableau complexe.

On peut éventuellement simplifier le tableau si on prend uniquement un temps grammatical.

Pour les temps j'avais récupéré ce tableau sur un bescherelle.
(dis-moi si tu n'as pas word, je transformerai le doc en pdf.
Pour les petits mots, je n'ai rien de simple.
Mais j'ai quelque chose sur les subordonnées qui pourrait l'aider.

J'ai réussit à imprimer la conjugaison mais pas les phrases simples et complexes peux tu faire quelque chose mrl ?

Merci