Oh non l'eau de javel sur la plage...Ce virus décérèbre ou quoi?? Finir de tout détruire, tout empoisonner, tout raser, au moins on sera tranquille comme ça...
Re: Discutons ici du Covid-19 !
Posté : vendredi 1 mai 2020 à 10:26
par Marisol
Dehlynah a écrit : ↑vendredi 1 mai 2020 à 10:15
Oh non l'eau de javel sur la plage...Ce virus décérèbre ou quoi?? Finir de tout détruire, tout empoisonner, tout raser, au moins on sera tranquille comme ça...
Re: Discutons ici du Covid-19 !
Posté : vendredi 1 mai 2020 à 10:39
par Dehlynah
Ouais Marisol, sur ce je retourne dans ma bulle, sans media ni rien, parce que ce genre d'info me déprime grave...
Modération (Tugdual) : Déplacement de messages depuis ici (fin).
Re: [Index] Écologie, environnement...
Posté : jeudi 7 mai 2020 à 0:55
par lulamae
Traduction de cet article de Nature, qui m'a paru intéressant, sur quatre scénarios géopolitiques possibles, concernant la transition énergétique (ou pas), à l'horizon 2030 : https://www.nature.com/articles/d41586-019-01312-5
1 - Le grand pacte vert
Les politiques, le financement et la coopération permettent de mener une décarbonisation rapide.
2 – Les technologies révolutionnaires
Les énergies renouvelables se développent puis ralentissent, tandis que la compétition limite leur diffusion.
3 – Le nationalisme sale
Les industries fossiles sont protégées et les marchés de l’énergie sont fragmentés.
4 – La pagaille
Les énergies fossiles dominent et les énergies renouvelables ne parviennent pas à modérer le changement climatique.
We conclude that indoor CO2 levels may indeed reach levels harmful to cognition by the end of this century, and the best way to prevent this hidden consequence of climate change is to reduce fossil fuel emissions.
Selon The Weather Channel, la moyenne à Verkhoïansk à cette période de l’année se situe autour de 20 °C. Le record de samedi est donc supérieur de 18 °C.
Des températures très élevées au-delà du cercle polaire ont donc déjà été observées. Elles n’en restent pas moins exceptionnelles, d’autant que ces 38 °C constitueraient de toute façon, si cette mesure était confirmée, un record à cette latitude.
Depuis plusieurs mois, des températures anormalement élevées sont régulièrement relevées dans la région. Elles ont d’ailleurs provoqué de terribles feux de forêt, qui ont déjà ravagé des millions d’hectares. Dans la République de Sakha, plus de 275 000 ha ont brûlé, selon Avialesokhrana, l’agence gouvernementale qui surveille les feux de forêt.
La Sibérie étant l’une des régions les plus froides au monde, les scientifiques s’inquiètent des conséquences de cette chaleur. D’autant que l’année 2019 avait déjà enregistré des records dans ce domaine. L’hiver 2019-2020 a été le plus chaud dans cette région « depuis le début des relevés, il y a cent trente ans, avec des températures moyennes allant jusqu’à 6 °C au-dessus des normales saisonnières », a rapporté Marina Makarova, météorologue en chef pour l’agence de météo russe de Guidrometsentr, citée par CNN. Un triste record, qui pourrait être une nouvelle fois battu.
Le Pipistrel Velis Electro, premier avion électrique jamais certifié, a effectué la semaine passée son vol inaugural à Ecuvillens (FR). Une telle autorisation est une exclusivité mondiale.
Le Velis Electro fera principalement office d’avion-école pour les aspirants pilotes de l’aviation légère, indique lundi l’Office fédéral de l’aviation civile (OFAC). Il marque une étape importante sur la voie d’une aviation plus écologique.
Ce projet a permis d’acquérir une expérience et de tirer des enseignements importants pour la certification d’aéronefs peu polluants dotés d’une motorisation respectueuse de l’environnement, ajoute l’OFAC.
Le moteur électrique a été certifié par l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) à la mi-mai, avant que l’avion lui-même ne reçoive cette autorisation dans la foulée. Il a ensuite pu effectuer son vol inaugural.
Définir les conditions
Avant de délivrer le certificat de l’avion électrique, il a fallu définir et spécifier à partir de zéro les conditions applicables à l’exploitation, à la maintenance et à la formation des pilotes et du personnel. Le cadre de certification de l’AESA est en effet muet sur ces points. L’OFAC a joué un rôle déterminant dans l’élaboration des conditions de certification, précise-t-il.
Profitant du fait que des avions électriques étaient stationnés en Suisse, l’OFAC a eu accès, comme les autorités aéronautiques françaises et slovènes et le constructeur Pipistrel, à des données fournies par un programme de test en vol réalisé sous conditions de vol AESA. Il a été ainsi possible de boucler la certification en moins de trois ans.