[Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

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Alone3545
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Re: Pour parler de psychologie (cognitive, sociale, etc.)

#61 Message par Alone3545 » lundi 1 février 2016 à 23:22

Amywhinehouse la chanteuse est une exemplle. Elle a eu un succès trop rapide, son corps n'a pas su s'adapter et elle a sombré dans la cocaïne avant de trouver le sommeil eternelle.

Modération (Cathy) : Doublon du message supprimé.
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Re: Pour parler de psychologie (cognitive, sociale, etc.)

#62 Message par freeshost » mercredi 30 mars 2016 à 12:53

"Si tu meurs, tu auras droit au paradis."

Bon, alors déjà, ne croyez pas au paradis. Vous risquez d'être plus facilement embobinés.

De manière générale, ne vous fiez pas aux promesses, qu'il s'agisse de commerçants, de politiciens ou de consolateurs.

N'envisagez jamais de tuer, détruire, haïr, torturer.

Acceptez que des questions restent sans réponses. Autrement, vous pourriez vous faire embobiner si on vous promet des réponses (simplistes).
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

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#63 Message par freeshost » dimanche 24 avril 2016 à 12:42

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#64 Message par freeshost » lundi 25 avril 2016 à 23:38

La dépersonnalisation et la déréalisation font partie des troubles dissociatifs de l'identité. Tu peux lire ce pdf.

La schizophrénie fait partie des psychoses, avec perte de contact avec la réalité. Tu peux lire ce pdf.

Dans les cas de la dépersonnalisation et de la déréalisation, il n'y a pas forcément perte de contact avec la réalité mais l'impression que, respectivement, son propre corps ou le monde extérieur est étranger.

Il n'est pas toujours simple de différencier, comme on peut le lire dans le DSM-5 :
Dissociative identity disorder may be confused with schizophre*nia or other psychotic disorders. The personified, internally communicative inner voices of dissociative identity disorder, especially of a child (e.g., "I hear a little girl crying in a closet and an angry man yelling at her"), may be mistaken for psychotic hallucinations. Dissociative experiences of identity fragmentation or possession, and of perceived loss of control over thoughts, feelings, impulses, and acts, may be confused with signs of formal thought disorder, such as thought insertion or withdrawal. Individuals with dissociative identity disorder may also report visual, tactile, olfactory, gustatory, and somatic halluci* nations, which are usually related to posttraumatic and dissociative factors, such as partialflashbacks. Individuals with dissociative identity disorder experience these symptoms as caused by alternate identities, do not have delusional explanations for the phenomena, and often describe the symptoms in a personified way (e.g., "I feel like someone else wants to cry with my eyes").
Si le cerveau et les neurosciences t'intéressent, tu peux parcourir :

- diverses ressources indiquées ici, dont notamment celle-ci,
- Fundamental Neuroscience, 4th Edition, by Larry Squire (Editor), Darwin Berg, Floyd E. Bloom, Sascha du Lac, Anirvan Ghosh, Nicholas C. Spitzer.
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Re: Pour parler de psychologie (cognitive, sociale, etc.)

#65 Message par JustinBridoux » mardi 26 avril 2016 à 0:16

J'ai regarder les liens, mais de ce que j'ai compris sur l'etude, les narcissiques ont tendance a éxagéré leur qualités, et rester très secret sur leur défaut, ce qui leur permet de prendre le dessus sur la communauté. C'est logique, mais c'est pas pareil que ce qui est décrit dans les articles, surtout celui de madame figaro. L'étude est basé sur la psychanalyse de freud aussi...
Diagnostique (04/2015):
-asperger
-Deficit de l'attention, et anxiété social.

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Re: Pour parler de psychologie (cognitive, sociale, etc.)

#66 Message par freeshost » mardi 26 avril 2016 à 0:32

En plus, ça peut se combiner au principe de Peter.

Vous comprenez maintenant pourquoi il y a peu de présidents français compétents. :lol: :arrow:
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Re: Pour parler de psychologie (cognitive, sociale, etc.)

#67 Message par freeshost » mardi 26 avril 2016 à 12:13

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Re: Pour parler de psychologie (cognitive, sociale, etc.)

#68 Message par freeshost » mardi 10 mai 2016 à 19:58

Je viens de trouver cette vidéo qui aide à différencier trouble bipolaire et trouble de la personnalité borderline (limite).

Plus-value : l'accent québécois. :mrgreen:
Modifié en dernier par freeshost le lundi 19 février 2018 à 12:58, modifié 1 fois.
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Re: Parlons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiat

#69 Message par freeshost » mardi 7 juin 2016 à 23:50

L’anorexie, une addiction au plaisir de maigrir plus qu’une peur de grossir.
Longtemps considérée comme une phobie de grossir, l’anorexie mentale serait plutôt une addiction au plaisir de maigrir. Elle relèverait donc du registre des addictions

Longtemps considérée comme une phobie de grossir, l’anorexie mentale serait plutôt une addiction au plaisir de maigrir. Elle relèverait donc du registre des addictions selon une étude franco-allemande publiée ce mardi. Une hypothèse qui ouvre la voie à de nouvelles pistes de traitements.

L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire particulièrement dévastateur. Cette maladie à composante génétique, qui touche 0,5% de la population générale, prédomine chez les filles (9 filles pour un garçon) principalement entre 13 et 25 ans. «Un tiers des patients en meurent, soit en se suicidant, soit directement en raison de la sous-nutrition. C’est la plus meurtrière des maladies mentales», souligne le professeur Philip Gorwood, chef de clinique des maladies mentales et de l’encéphale à l’Hôpital Sainte Anne à Paris, qui a conduit l’étude proposant une nouvelle vision de la pathologie, parue dans la revue scientifique Translational Psychiatry.

Toute piste nouvelle soulève un espoir

Depuis qu’elle a été identifiée à la fin du XIXe siècle, l’anorexie mentale s’est peu à peu installée dans les pays développés – au Burkina Fasso, le taux de prévalence est de zéro – sans que l’on parvienne à en comprendre réellement les causes ni à mettre au point un traitement efficace. Toute piste nouvelle soulève donc un espoir.

Pour l’instant, le diagnostic de ce trouble du comportement alimentaire repose sur trois critères définis dans le manuel de l’Association américaine de psychiatrie (le DSM-5): une restriction alimentaire intense menant à la perte de poids, une perception déformée du poids et du corps, et enfin une peur intense — une phobie — de grossir. Mais des études récentes en imagerie cérébrale ont commencé à effriter ce dernier critère.

Ces études ont montré que les personnes atteintes d’anorexie réagissaient en activant le circuit de la récompense lorsqu’on leur montre des images de personnes très maigres alors qu’elles n’activaient pas le circuit cérébral de la peur lorsqu’elles regardent des personnes en surpoids. Ce qui indique un comportement plus addictif que phobique.

Images de la maigreur

Reprenant le même protocole, l’équipe du professeur Gorwoord montre cette fois que les personnes anorexiques réagissent physiologiquement à la vision d’images de maigreur, par une augmentation rapide et automatique de leur sudation alors qu’elles sont indifférentes à des images de surpoids. En comparant les réactions de 70 patientes à celles de 20 femmes en bonne santé, l’étude montre également que seules les patientes réagissent ainsi à la maigreur.

Enfin, les chercheurs ont trouvé une association entre l’augmentation de la transpiration chez les patientes face aux images de maigreur corporelle et la présence d’une version (l’allèle Met) d’un gène souvent associé à l’anorexie mentale. Ce gène commande la fabrication du BDNF facteur impliqué dans la survie des neurones.

Nouvelles approches thérapeutiques

L’ensemble de ces résultats conforte l’idée de remplacer le troisième critère du DSM 5 – la peur de grossir – par celui d’une addiction au plaisir de maigrir. «La très forte probabilité que l’anorexie relève du registre des addictions ouvre la voie à de nouvelles approches thérapeutiques, utilisées pour traiter d’autres troubles jusqu’à présent. Par exemple la remédiation cognitive qui développe les capacités d’adaptation à de nouvelles situations, et la thérapie en pleine conscience qui évite les pensées automatiques», conclut Philippe Gorwood, qui dit avoir déjà commencé à les appliquer à l’Hôpital Saint Anne. Affaire à suivre donc.
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Re: Parlons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiat

#70 Message par freeshost » lundi 10 octobre 2016 à 1:00

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Re: Parlons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiat

#71 Message par Rem 82 » lundi 10 octobre 2016 à 1:06

Aspi.

Je pars d'ici :arrow:

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Re: Parlons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiat

#72 Message par freeshost » vendredi 11 novembre 2016 à 14:13

Petite et grosse question :

Est-ce que le TDA/H a un impact sur la mémoire (et les apprentissages de vocabulaire) ? Si oui, lesquels ? Y a-t-il eu des études à ce sujet ?

J'ai un élève d'environ 12 ans chez qui je soupçonne un léger TDA/H (plus léger que l'ancien élève dont je vous avais parlé), mais pas autiste.

Bon, je lui ai déjà dit de prendre ses livres de vocabulaire (d'allemand et d'anglais) chaque soir chez lui, pour étudier, au lieu de les laisser à l'école... Car il y a beaucoup de mots qu'il ne connaît pas encore, et qu'il est censé avoir appris. Et ça peut le pénaliser pour la suite (lecture de textes, rédactions variées).

J'ai parlé à sa mère d'acheter un moyen dictionnaire français-anglais/anglais-français.

M'a devoér lui préparer des exercices adaptés pour réviser le vocabulaire, apprendre la grammaire de base (do pour les questions et diverses négations, par exemple), la conjugaison.
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Re: Parlons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiat

#73 Message par Rudy » samedi 12 novembre 2016 à 16:42

freeshost a écrit :Est-ce que le TDA/H a un impact sur la mémoire (et les apprentissages de vocabulaire) ? Si oui, lesquels ? Y a-t-il eu des études à ce sujet ?
Je ne sais pas ce qu'il en est de l'impact sur l'apprentissage du vocabulaire, mais la lecture est souvent fastidieuse pour les TDAH. La lecture implique l'attention soutenue, la mémoire de travail, la vitesse de traitement de l'information, de sélectionner les éléments importants et de filtrer les informations...

J'ai trouvé des infos ici:
http://www.aboutkidshealth.ca/Fr/Resour ... ading.aspx

J'ai trouvé ces recommandations:
http://guidespratiquesavs.fr/tdah-troub ... n-lecture/

N'hésite pas à varier les supports (visuels, auditifs, kinesthésiques...) pour mieux ancrer l'information, et rendre les choses un maximum ludique, amusant pour lui. Lorsque ce sera trop "ennuyant" ou que ça ne l'intéressera pas assez, tu vas vite le perdre, parce que ça va lui demander un effort de concentration soutenue qui va le fatiguer, et donc potentiellement, impacter sur sa mémoire et son travail. :|
Diagnostiquée avec un TSA léger (anciennement Asperger) par un CRA.

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Re: Parlons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiat

#74 Message par freeshost » dimanche 13 novembre 2016 à 14:11

Merci pour tes réponses.

Marrant, j'ai posé la même question sur le forum Futura Sciences, et une personne m'a aussi mentionné le site GuidesPratiquesAVS.Fr . :)

Bon, l'élève, je ne le vois qu'une heure par semaine.
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Re: Parlons psychologie (cognitive, sociale, etc.), psychiat

#75 Message par Alone3545 » dimanche 20 novembre 2016 à 10:31

Sur une publication d'un ancien prof de philosophie à moi , il est marqué que les gens qui sont scientifique dans l'âme sont plus manipulateur et qu'il y avait une proportionnalité entre être bon en sciences et être manipulateur et avoir de l'influence. En effet quand on est très scientifique, nous somme presque trop curieux et nous faisons beaucoup d'expérience et nous aimons faires des tests y comprit tester comment réagissent les autres dans tels ou tels circonstances genre prêcher le faux pour savoir le vrai, çela est utilisé en hypothèse scientifique pour essayer de trouver un résultat. Par ailleurs les plus grand scientifique tel Enstein ou Marie Curie ont Fortement influencé notre société dans laquelle nous vivons. Les véritables scientifique ont toujours été de grand calculateur. Un bon chimiste manipule à merveille ses tubes à essais sans jamais les casser bien qu'il puisse être trop cassant avec les autres et les faire exploser ou les transformer en Grenouille.

Incroyable non? :mryellow: Mais vrai! :bravo:
Spoiler :  : 
comment faire croire n'importe quoi et trouver une raison à tout. #manipulation des médias
Spoiler :  : 
Pourtant un vrai scientifique n'est pas manipulateur, bien au contraire!
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