la question, je pense est que lorsqu'à un moment, besoin d'aide,il faut que nos interlocuteurs connaissent un minimum nos états d'âme, notre motivation, notre fragilité, etc... pour pouvoir nous aider...
... car à un même probléme, la solution n'est pas la même pour tout le monde.
pour ce qui est du nom, de l'âge ou de la localisation, çà permet de ne pas se sentir isolé; des fois, le fait qu'on puisse compter sur quelqu'un qui se trouve à quelques kms ou quelques dizaines de kms de chez soi, est trés rassurant; lorsque nicolas suivait les cours du CNED, on avait la liste des élèves du département suivant la même classe... et ayant, à l"inscription, donné l'autorisation de donner leur nom... on se sent vraiment moins seul.
Traces sur le net
Ce qui est le plus genant, et sans vouloir etre parano, c'est le caractère "public" d'un Forum sur le Web. Nus n'en sommes encore qu'au début.
TOUT LE MONDE peut lire ce que j'écris en ce moment. Même mon pire ennemi..... (que j'espère ne pas avoir....)
Le fait de se dévoiler, de se faire mieux connaitre à des personnes connaissant les mêmes problèmes que soit, n'empeche cependant pas de rester discret sur les quelques informations permettant d'être trop facilement identifié par des inconnus.
TOUT LE MONDE peut lire ce que j'écris en ce moment. Même mon pire ennemi..... (que j'espère ne pas avoir....)
Le fait de se dévoiler, de se faire mieux connaitre à des personnes connaissant les mêmes problèmes que soit, n'empeche cependant pas de rester discret sur les quelques informations permettant d'être trop facilement identifié par des inconnus.
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jakesbian
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dis- toi, que c'est toi qui écrit, donc toi qui choisi ce que tu veux dévoiler...
... lorsque j'avais écris au magazine, j'étais bien plus génée qu'on ait changer mon texte; dans les journeaux, çà arrive également fréquement: une amie... son fiancé avait eu un accident... lorsqu'on lisait le journal, il était mort, ammené en ambulance, la dite ambulance arrivé au fossé, etc... alors qu'en vrai, il n'était que bléssé; c'était le chauffeur du camion qui était mort; et ce n'était pas son ambulance qui était accidentée...
... lorsque j'avais écris au magazine, j'étais bien plus génée qu'on ait changer mon texte; dans les journeaux, çà arrive également fréquement: une amie... son fiancé avait eu un accident... lorsqu'on lisait le journal, il était mort, ammené en ambulance, la dite ambulance arrivé au fossé, etc... alors qu'en vrai, il n'était que bléssé; c'était le chauffeur du camion qui était mort; et ce n'était pas son ambulance qui était accidentée...
"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
"en chacun de nous sommeille un dragon... il faut y croire." (devise "bat-toi florent")
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Luna
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De toute façon, soyons clair, il suffit de relever l'adresse IP de quelqu'un pour savoir précisement sa vie en quelques clics.Je crois que pour moi, de toute façon, c'est raté, vu les photos que je poste 
et qui correspondent à mon blog qui lui est l'une des références en matière de cuisine végétale en France. Comme certains forums, il serait possible d'avoir un accès privé de certaines sections. Ben tant pis, j'assume. J'ai du mal avec le mensonge de toute façon. Je ne comprends pas l'interêt de vouloir du mal en racontant partout les détails de la vie de quelqu'un qu'on a dans le colimateur.
et qui correspondent à mon blog qui lui est l'une des références en matière de cuisine végétale en France. Comme certains forums, il serait possible d'avoir un accès privé de certaines sections. Ben tant pis, j'assume. J'ai du mal avec le mensonge de toute façon. Je ne comprends pas l'interêt de vouloir du mal en racontant partout les détails de la vie de quelqu'un qu'on a dans le colimateur.Luna TMG
http://www.flickr.com/photos/lunatmg/?details=1 / détails
https://www.flickr.com/photos/lunatmg// vue d'ensemble
"Dans la photographie, il y a une réalité si subtile qu'elle devient plus vraie que la réalité" - Alfred Stieglitz
http://www.flickr.com/photos/lunatmg/?details=1 / détails
https://www.flickr.com/photos/lunatmg// vue d'ensemble
"Dans la photographie, il y a une réalité si subtile qu'elle devient plus vraie que la réalité" - Alfred Stieglitz
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bernard
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- Localisation : Clermont-Fd, Auvergne
Bonne réponse Luna. Je partage.
Et en plus, on peut toujours rajouter un item avec mot de passe pour éviter que les moteurs de recherche indexent les pages.
Mais le mieux, c'est de ne pas raconter ce qu'on ne veut pas divulguer.
Et de se limiter à ce qui intéresse le sujet et ne porte pas préjudice.
Et en plus, on peut toujours rajouter un item avec mot de passe pour éviter que les moteurs de recherche indexent les pages.
Mais le mieux, c'est de ne pas raconter ce qu'on ne veut pas divulguer.
Et de se limiter à ce qui intéresse le sujet et ne porte pas préjudice.
Bernard (55 ans, aspie) papa de 3 enfants (dont 2 aspies)
Ce peut-être, c'est vrai, également un tres bon moyen de montrer ce que l'on veut, et ce que l'on sait faire. Les pseudos sont un moyen de préserver sa tranquilité et son intimité, mais peut être également le moyen de revêtir une identité fictive, dans un but malsain de nuisances. Ce n'est bien sur pas le cas ici,mais rien n'empêche à nimporte qui de venir tout lire n'importe où (qui n'est pas couvert par des codes d'accès...)
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Jonquille57
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Ce qui est qûr, c'est que chacun a la liberté de mettre ce qu'il veut sur les forums, et tant qu'on a cette liberté, je ne vois pas où est le problème....
Mais je vous assure qu' il y a 5 ans, quand Florent a été illégalement (
) déscolarisé, je cherchais par tous les moyens que tout le monde le sache pour éventuellement trouver de l'aide. A l'époque, je n'étais pas encore très " branchée " sur le net, et je ne pensais pas pouvoir trouver de l'aide par ce biais là. Mais croyez-moi, si j'avais pu connaître bien avant C.., J.., L.., S... et d'autres, peut-être que j'aurais trouvé des clés pour avoir des solutions et des armes pour mieux me battre...
Donc, je pense que le net est malgré tout un bon moyen de ne pas rester dans l'anonymat justement, et de faire connaître ses problèmes et peut-être trouver des solutions.
Le vieil adage : " pour vivre heureux, vivons cachés " n'est pas forcément vrai. Enfin, c'est mon avis perso.
Mais je vous assure qu' il y a 5 ans, quand Florent a été illégalement (
) déscolarisé, je cherchais par tous les moyens que tout le monde le sache pour éventuellement trouver de l'aide. A l'époque, je n'étais pas encore très " branchée " sur le net, et je ne pensais pas pouvoir trouver de l'aide par ce biais là. Mais croyez-moi, si j'avais pu connaître bien avant C.., J.., L.., S... et d'autres, peut-être que j'aurais trouvé des clés pour avoir des solutions et des armes pour mieux me battre... Donc, je pense que le net est malgré tout un bon moyen de ne pas rester dans l'anonymat justement, et de faire connaître ses problèmes et peut-être trouver des solutions.
Le vieil adage : " pour vivre heureux, vivons cachés " n'est pas forcément vrai. Enfin, c'est mon avis perso.
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Jonquille57
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Je voulais aussi rajouter que je me fiche pas mal de ce que les gens pensent de moi... J'essaie de faire au mieux, en faisant bien évidemment des erreurs, mais en tout cas, je me bats comme je peux..
Et c'est grâce au net que je m'en sors mieux maintenant. Si j'étais restée dans mon coin, je serais passée à côté de bien des choses positives...
Aujourd'hui, tout le monde se permet de juger tout le monde.... même parfois sur des choses anodines. Je trouve cela très triste....
Et c'est grâce au net que je m'en sors mieux maintenant. Si j'étais restée dans mon coin, je serais passée à côté de bien des choses positives...
Aujourd'hui, tout le monde se permet de juger tout le monde.... même parfois sur des choses anodines. Je trouve cela très triste....
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jakesbian
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imaginons seulement les mamans de primaire, masquées et costumées... ne pouvant plus pipléter à la sortie de l'école 
... la vie serait tellement triste ; juste un délir en passant "petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
"en chacun de nous sommeille un dragon... il faut y croire." (devise "bat-toi florent")
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Jean
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la vie privée s'expose à la surveillance
Avec le développement des réseaux sociaux, la vie privée s'expose à la surveillance
LE MONDE
Fichés, et ficheurs. Les internautes dévoilent de plus en plus leur vie privée sur la Toile, et parfois celle de leurs amis. Les moteurs de recherche (Yahoo!, Google, MSN Search...) et, plus récemment, les réseaux sociaux tels que Facebook et MySpace drainent des millions de données.
On y trouve de tout : photos, CV, récits de fête, confidences, adresses, numéros de portable... Ces "informations" n'échappent pas à la police, qui en a fait un nouveau terrain de chasse privilégié. En plus d'y traquer les pédophiles et autres cybercriminels, les enquêteurs collectent en toute légalité des renseignements sur un individu, un groupe, un thème.
Souvent objets de critiques, les fichiers de police ont une faiblesse du point de vue de l'efficacité policière : ils ne peuvent pas être interconnectés. Or sur l'Internet, tout est possible. Un programme comme DT Search, bien connu de certains services de renseignement, permet de constituer un dossier sur-mesure, alimenté par mots-clés par exemple, sous toutes sortes de formats. Sous l'avalanche de données - fin 2008, Facebook rassemblait 140 millions de membres -, la principale difficulté réside dans leur traitement.
Les "Web fichiers" reposent sur le volontariat. Chacun peut librement y exposer ce qu'il souhaite. Mais les individus n'en mesurent pas toutes les conséquences. Début décembre 2008, un internaute en a eu la désagréable surprise. Ce jeune salarié d'un cabinet d'architectes de l'agglomération de Nantes a vu sa biographie complète publiée dans un magazine, Le Tigre. Pour son "premier portrait Google", celui-ci a collecté mille détails de la vie de cet anonyme "grâce à toutes les traces qu'il a laissées, volontairement ou non" sur Facebook, Flickr et YouTube. L'initiative ne relève pas de la collecte de données personnelles par un moyen déloyal, délit puni de cinq ans de prison et 300 000 euros d'amende. Seules des informations publiques ont été utilisées.
De plus en plus souvent, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) reçoit des demandes, plus ou moins affolées, de personnes qui souhaiteraient retirer ce qu'elles ont elles-mêmes choisi de diffuser. Mission quasi impossible : on en trouve toujours la trace. La CNIL a baptisé "déchets infoactifs" ces données enfouies qui peuvent ressurgir à tout moment. "Nous ne sommes pas en mesure de garantir un cadre juridique protecteur, regrette Alex Türk, président de la CNIL. On assiste à une dilatation du présent. Vous pouvez faire des bêtises à 20 ans, avec les réseaux sociaux, le passé est toujours présent." Le 4 avril 2008, le G29, le comité des CNIL européennes, s'est penché sur la protection de données privées sur les moteurs de recherche. Ces derniers, pour la plupart établis hors des frontières de l'Union européenne, ne sont pas soumis à la réglementation commune.
Or les témoins de connexion, ou "cookies", qui contiennent un numéro d'identification plus précis qu'une adresse IP, permettent de connaître les sites fréquentés par chaque utilisateur. En septembre 2008, Google a accepté de ramener de dix-huit à neuf mois la durée de conservation de ces données, puis Microsoft a abaissé la barre à six mois et Yahoo! à trois.
Isabelle Mandraud
Article paru dans l'édition du 05.02.09
LE MONDE
Fichés, et ficheurs. Les internautes dévoilent de plus en plus leur vie privée sur la Toile, et parfois celle de leurs amis. Les moteurs de recherche (Yahoo!, Google, MSN Search...) et, plus récemment, les réseaux sociaux tels que Facebook et MySpace drainent des millions de données.
On y trouve de tout : photos, CV, récits de fête, confidences, adresses, numéros de portable... Ces "informations" n'échappent pas à la police, qui en a fait un nouveau terrain de chasse privilégié. En plus d'y traquer les pédophiles et autres cybercriminels, les enquêteurs collectent en toute légalité des renseignements sur un individu, un groupe, un thème.
Souvent objets de critiques, les fichiers de police ont une faiblesse du point de vue de l'efficacité policière : ils ne peuvent pas être interconnectés. Or sur l'Internet, tout est possible. Un programme comme DT Search, bien connu de certains services de renseignement, permet de constituer un dossier sur-mesure, alimenté par mots-clés par exemple, sous toutes sortes de formats. Sous l'avalanche de données - fin 2008, Facebook rassemblait 140 millions de membres -, la principale difficulté réside dans leur traitement.
Les "Web fichiers" reposent sur le volontariat. Chacun peut librement y exposer ce qu'il souhaite. Mais les individus n'en mesurent pas toutes les conséquences. Début décembre 2008, un internaute en a eu la désagréable surprise. Ce jeune salarié d'un cabinet d'architectes de l'agglomération de Nantes a vu sa biographie complète publiée dans un magazine, Le Tigre. Pour son "premier portrait Google", celui-ci a collecté mille détails de la vie de cet anonyme "grâce à toutes les traces qu'il a laissées, volontairement ou non" sur Facebook, Flickr et YouTube. L'initiative ne relève pas de la collecte de données personnelles par un moyen déloyal, délit puni de cinq ans de prison et 300 000 euros d'amende. Seules des informations publiques ont été utilisées.
De plus en plus souvent, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) reçoit des demandes, plus ou moins affolées, de personnes qui souhaiteraient retirer ce qu'elles ont elles-mêmes choisi de diffuser. Mission quasi impossible : on en trouve toujours la trace. La CNIL a baptisé "déchets infoactifs" ces données enfouies qui peuvent ressurgir à tout moment. "Nous ne sommes pas en mesure de garantir un cadre juridique protecteur, regrette Alex Türk, président de la CNIL. On assiste à une dilatation du présent. Vous pouvez faire des bêtises à 20 ans, avec les réseaux sociaux, le passé est toujours présent." Le 4 avril 2008, le G29, le comité des CNIL européennes, s'est penché sur la protection de données privées sur les moteurs de recherche. Ces derniers, pour la plupart établis hors des frontières de l'Union européenne, ne sont pas soumis à la réglementation commune.
Or les témoins de connexion, ou "cookies", qui contiennent un numéro d'identification plus précis qu'une adresse IP, permettent de connaître les sites fréquentés par chaque utilisateur. En septembre 2008, Google a accepté de ramener de dix-huit à neuf mois la durée de conservation de ces données, puis Microsoft a abaissé la barre à six mois et Yahoo! à trois.
Isabelle Mandraud
Article paru dans l'édition du 05.02.09
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jakesbian
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maintenant, jean, es tu contre le fait que soient traqués les gens mal intentionés... ou que soient repérés des ados en souffrance, au bord de la tentative de suicide?
"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
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Jean
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police et vie privée
L'article en questionfaisait partie d'un dossier de 4 pages sur le développement des tendances sécuritaires.
Il y a deux thèmes dans l'article, à partir de la même base de données sur lavie privée des gens sur Internet : le thème de l'utilisation policière et celui de la possibilité pour toute personne de receuillir des renseignements sur ses voisins.
Que la police utilise des données publiques pour poursuivre crimes et délits ne me pose pas problème. Qu'elle utilise des données non publiques (conservées par les hébergeurs) pour lutter contre des réseaux criminels ne me pose pas problème non plus, dans la mesure où c'est correctement encadré par la justice.
Il ne faut pas oublier que la question se pose par exemple pour la police chinoise qui traque la libeté d'expression en se faisant livrer les coordonnées des internautes par des hébergeurs.
Des personnes privées doivent aussi pouvoir demander l'accès à certaines données quand elles subissent un préjudice sur Internet : diffamation, éventuellement droit d'auteur...
Par cotnre, j'estime que les recruteurs et employeurs ne doivent pas avoir le droit de recueillir des informations sur la vie privée des internautes. Il est inévitable que des informations recherchées sur uen personne sur Internet conduisent à donner des informations privées, mais elles ne doivent pas être utilisées : contrairement aux infos sur la vie professionnelle, les études. La loi française l'interdit depuis 1992 (code du travail, suite au rapport de G. Lyon-Caen). Il faudrait pouvoir effacer à un moment les infos personnelles.
Autres articles :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... _3224.html
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... id=1150640
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... id=1150640
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... id=1150640
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... id=1150640
Il y a deux thèmes dans l'article, à partir de la même base de données sur lavie privée des gens sur Internet : le thème de l'utilisation policière et celui de la possibilité pour toute personne de receuillir des renseignements sur ses voisins.
Que la police utilise des données publiques pour poursuivre crimes et délits ne me pose pas problème. Qu'elle utilise des données non publiques (conservées par les hébergeurs) pour lutter contre des réseaux criminels ne me pose pas problème non plus, dans la mesure où c'est correctement encadré par la justice.
Il ne faut pas oublier que la question se pose par exemple pour la police chinoise qui traque la libeté d'expression en se faisant livrer les coordonnées des internautes par des hébergeurs.
Des personnes privées doivent aussi pouvoir demander l'accès à certaines données quand elles subissent un préjudice sur Internet : diffamation, éventuellement droit d'auteur...
Par cotnre, j'estime que les recruteurs et employeurs ne doivent pas avoir le droit de recueillir des informations sur la vie privée des internautes. Il est inévitable que des informations recherchées sur uen personne sur Internet conduisent à donner des informations privées, mais elles ne doivent pas être utilisées : contrairement aux infos sur la vie professionnelle, les études. La loi française l'interdit depuis 1992 (code du travail, suite au rapport de G. Lyon-Caen). Il faudrait pouvoir effacer à un moment les infos personnelles.
Autres articles :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... _3224.html
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... id=1150640
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... id=1150640
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... id=1150640
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Jean
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Vie privée sur Internet : la polémique Facebook
LE MONDE | 20.02.09
ppartenons-nous définitivement à Facebook ? C'est ce qu'ont pu se demander, pendant une quinzaine de jours, ses 175 millions d'adeptes. En modifiant, le 4 février, les conditions d'usage de son site, le réseau social numérique le plus fréquenté du monde s'était en effet arrogé, de manière perpétuelle, tous les droits sur les contenus mis en ligne par les utilisateurs. Devant le tollé provoqué par cette mesure, le site a toutefois annoncé, mercredi 18 février, qu'il revenait sur sa décision.
La suite :
http://www.lemonde.fr/technologies/arti ... id=1151201
LE MONDE | 20.02.09
ppartenons-nous définitivement à Facebook ? C'est ce qu'ont pu se demander, pendant une quinzaine de jours, ses 175 millions d'adeptes. En modifiant, le 4 février, les conditions d'usage de son site, le réseau social numérique le plus fréquenté du monde s'était en effet arrogé, de manière perpétuelle, tous les droits sur les contenus mis en ligne par les utilisateurs. Devant le tollé provoqué par cette mesure, le site a toutefois annoncé, mercredi 18 février, qu'il revenait sur sa décision.
La suite :
http://www.lemonde.fr/technologies/arti ... id=1151201
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pierre
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- Localisation : grenoble
Bonjour à tous, en ce qui me concerne, j'ai eu à ma grande un journaliste qui a fait des recherche sur moi alors que je change quasi tout le temps de pseudo, voir de nom... j'ai du enlever d'urgence les photos dans le poste trombino'scoop afin de me protéger et surtout ma fille. Je ne suis pas un expert en informatique mais je m'y interresse et je me demande toujours comment cette personne en est arrivé à retracer autant de choses sur moi.
Je conseil donc de réflechir à 2 fois avant d'écrire des choses où l'on s'engage personnelement et qui pourraient déplaire à d'autre...
Je conseil donc de réflechir à 2 fois avant d'écrire des choses où l'on s'engage personnelement et qui pourraient déplaire à d'autre...
papa de Lena (Ted)
et expert en orthographe (mdr)...
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