Selon le nouvel ouvrage d'Eric Zemmar, intitulé : "Il y en a quand-même beaucoup",
5 français sur 3 sont arabes, et le reste est noir.
Ça en bouche un coin.
Je vous conseille son dernier ouvrage intitulé : "Les femmes ? Toutes des salopes !"
Plein d'humilité et de raison. Un chef-d'oeuvre.
Dans l'émission onirique "Un livre, un dos."
(J'aurais bien voulu poster une vidéo dessus, mais Groland est auto-censuré sur les médias.
)
Pour juste rebondir sur le post précédent, non le hasard et les sciences ne sont pas incompatibles.
En informatique,
Il y a les algorithmes de Monte-Carlo, pour rechercher une solution proche de l'optimale, les algorithmes génétiques pour les mêmes raisons.
Les réseaux de neurones utilisent le hasard aussi pour créer la configuration initiale (les poids).
Même les jeux utilisent le hasard, pour décaler les unités adverses, histoire qu'elles ne soient pas toutes synchrones.
Mais le problème avec les ordinateurs, c'est que le hasard n’existe pas. On utilise des nombres et des générateurs pseudo-aléatoires.
En physique quantique (je ne connais que l'équation de Schrödinger), le hasard est primordial, exprimé en tant que probabilité.
(Telle particule à temps de chance d'être à telle position à l'instant t).
[EDIT] Pour les chercheurs, il existe des cartes de générations de nombres réellement aléatoires.
Basées sur la physique quantique.
Mais pour un utilisateur comme vous ou moi, on peut largement se contenter du pseudo-aléatoire.
Pour obtenir un nombre pseudo-aléatoire, il y a plusieurs méthodes.
Sur les processeurs primitifs, on prend simplement la valeur d'un compteur (nombre de frames, etc) sur laquelle on fait un modulo.
Mais Ixy m'avait parlé d'un générateur plus complexe, mais qui utilise des nombres entiers énormes, mais c'est applicable que sur les processeurs relativement modernes.