Forum Asperansa

Je crois que dans le cas de mon fils il y a l'inconfort (bord du bac froid et raide dans la nuque) + le frottement des mains sur le crâne sans visibilité + eau dans les oreilles.

Il m'a parlé des 3 a des moments différents et j'ai eu l'impression que ça s'additionnais ... mais peut-être pas

Alors pour moi c’est ultra court pour une femme : 10mm, et je les coupe moi-même à la tondeuse, ça évite la corvée d’aller chez le coiffeur (les coiffeurs ont toujours cette fâcheuse habitude de vouloir discuter) et permet de les couper toutes les semaines (je ne supporte vraiment pas quand ils poussent).
Je me rends bien compte que ça interpelle souvent les gens d’autant que je ne suis pas du tout féminine au sens où la société l’entend (maquillage, jupe/robe, talons, bijoux, accessoires...). Mais au fond je me fiche pas mal de ce que les gens en pense, je trouve que c’est tellement plus pratique de les avoir très courts, et j’adore la sensation du vent et de l’eau avec les cheveux courts^^
Finalement, c’est vrai que je ne me sens pas particulièrement femme, sans me sentir homme non plus, je me sens juste « moi ».
Aujourd’hui je l’assume complètement mais c’est sûr que c’était beaucoup moins évident quand j’étais ado...
Le paradoxe c’est que je suis plutôt timide et que je ne supporte pas d’avoir toute l’attention sur moi, et malheureusement avec cette coupe je ne passe jamais inaperçue !

Il m'a fallu attendre 31 ans pour comprendre comment assumer et tirer profit de ma tignasse (épaisse fourrure bouclée très volumineuse et pleine de noeuds).
Il me suffit d'une petite huile de super marché et d'une petite crème que je trouve dans une boutique près de chez moi (le tout bio et non testé sur les animaux), un coup de brosse, ça se coiffe tout seul et je n'y touche plus pendant une semaine!
Ça donne un effet naturel (limite sauvage).
Ils sont long jusqu'aux milieu des omoplates et n'ont jamais été aussi facile à gérer (alors que court je devais les recoiffer tous les jours).
Le seul hic c'est l'été (obligée d'être moins habillée, ça me chatouille non stop et ça tiens chaud).
Du coup j'ai demandé à mon compagnon de me séquestrer si je craque et essaye d'aller chez le coiffeur.

CharlieFox a écrit : ↑samedi 1 août 2020 à 12:30 Alors pour moi c’est ultra court pour une femme : 10mm, et je les coupe moi-même à la tondeuse, ça évite la corvée d’aller chez le coiffeur (les coiffeurs ont toujours cette fâcheuse habitude de vouloir discuter) et permet de les couper toutes les semaines (je ne supporte vraiment pas quand ils poussent).
Je me rends bien compte que ça interpelle souvent les gens d’autant que je ne suis pas du tout féminine au sens où la société l’entend (maquillage, jupe/robe, talons, bijoux, accessoires...). Mais au fond je me fiche pas mal de ce que les gens en pense, je trouve que c’est tellement plus pratique de les avoir très courts, et j’adore la sensation du vent et de l’eau avec les cheveux courts^^
Finalement, c’est vrai que je ne me sens pas particulièrement femme, sans me sentir homme non plus, je me sens juste « moi ».
Aujourd’hui je l’assume complètement mais c’est sûr que c’était beaucoup moins évident quand j’étais ado...
Le paradoxe c’est que je suis plutôt timide et que je ne supporte pas d’avoir toute l’attention sur moi, et malheureusement avec cette coupe je ne passe jamais inaperçue !

Alors c'est marrant parce que moi c'est tout pareil à un détail près : la longueur ! Je les laisse faire leur vie (je les démêle quand même ) et je ne vais pas chez le coiffeur (je n'ai d'ailleurs pas compris que la fermeture des salons de coiffure fasse autant parler pendant le confinement ), donc ils poussent. Pour le moment ils sont sous les fesses, mais comme je fais souvent (pour des questions pratiques) une natte qui démarre haut, ils paraissent un peu moins longs qu'ils ne le sont réellement (ça crée souvent la surprise quand je les lâche).
Mais pour le reste je te rejoins complètement !
Après, en fait ça fait longtemps que j'hésite à les couper, j'aimerais bien les avoir très courts, mais bon, ça m'ennuie aussi de renoncer à toute cette tignasse, c'est pas comme si je pouvais la retrouver rapidement si je regrettais. Et les couper à mi-longueur ne m'intéresse pas, si c'est pour avoir à peu près la même tête en un peu moins long, là c'est sûr que j'aurais des regrets. Oui c'est compliqué.

Je suis aussi comme ça; je les laisse faire leur vie. Je déteste le moment du shampoing (ça me fait mal au cou, l'eau est souvent pas à une température que j'aime, et je n'ose rien dire, et puis il faut discuter.. et je n'aime pas trop les odeurs) et je trouve que ça coûte cher. J'aime quand même de temps en temps faire une couleur (parce que j'adore le roux) mais qu'est ce que ça démange ! Je vais une à deux fois par an et c'est tout.

J'ai donc eu les cheveux jusqu'aux fesses; j'aimais beaucoup leur faire des soins (j'adore sentir mes cheveux) ou secouer la tête pour sentir mes cheveux frôler mon dos, mais je déteste le moment du démêlage. J'ai fini par aller les couper parce que les shampoings finissaient par me demander trop d'énergie, à une période où j'en avais peu. J'ai hésité à les raccourcir un peu, puis finalement j'ai choisi un carré, et de faire un don à une association qui fait des perruques pour les personnes atteintes de cancers.

J'ai la manie de sentir mes cheveux et de jouer avec en les entortillant avec mes doigts.

"Les pires erreurs de ma bien ont été parfois mes coupes de cheveux " disait Jim Morrison.

Pour ma part , j'ai les cheveux longs châtain clairs jusqu'aux épaules depuis l'adolescence. Ils sont/étaient épais et frisés. Beaux !

J'ai eu une pause cheveux courts entre 32 et 38 ans avec beaucoup de complexe puisque âge faisant, ils sont devenus moins vifs sur le dessus..mon front est devenu plus grand...

De fait, je me suis dit que tant qu'à devenir dégarni, autant les laisser pousser une dernière fois. C'est ce que je fais.
Mais comme, détachés, ils ressemblent à du foin sec et sans vie, je les garde attachés.

Et sinon je blondis de plus en plus au soleil. Je suppose que c'est parcequ'ils sont plus fins maintenant ?

J'aime bien tripoter mes cheveux. Ca me détend.

Mylie a écrit : ↑mardi 18 août 2020 à 18:24 Je suis aussi comme ça; je les laisse faire leur vie. Je déteste le moment du shampoing (ça me fait mal au cou, l'eau est souvent pas à une température que j'aime, et je n'ose rien dire, et puis il faut discuter.. et je n'aime pas trop les odeurs) et je trouve que ça coûte cher. J'aime quand même de temps en temps faire une couleur (parce que j'adore le roux) mais qu'est ce que ça démange ! Je vais une à deux fois par an et c'est tout.

J'ai donc eu les cheveux jusqu'aux fesses; j'aimais beaucoup leur faire des soins (j'adore sentir mes cheveux) ou secouer la tête pour sentir mes cheveux frôler mon dos, mais je déteste le moment du démêlage. J'ai fini par aller les couper parce que les shampoings finissaient par me demander trop d'énergie, à une période où j'en avais peu. J'ai hésité à les raccourcir un peu, puis finalement j'ai choisi un carré, et de faire un don à une association qui fait des perruques pour les personnes atteintes de cancers.

J'ai la manie de sentir mes cheveux et de jouer avec en les entortillant avec mes doigts.

Le début de ta réponse correspond presque mot pour mot à mon ressenti: je déteste devoir blablater avec le coiffeur, je ressors d'ailleurs toujours de là avec un sentiment d'échec sur mes performances sociales. Pour le sentiment de détente et bien-être, on repassera Je déteste parler de moi oralement (par écrit, c'est plus facile), et je ne vois pas l'intérêt de discuter de la pluie et du beau temps avec un/une inconnu/e. Les lieux sont trop bruyants, trop de monde, de mouvements, de discussions qui me déconcentrent. Et puis le bac à shampoing me donne d'horribles tensions dans la nuque, après quelques minutes c'est limite un supplice. L'eau trop chaude ou trop froide => je mords sur ma chique, par contre en général j'aime bien les parfums des shampoings et soins. L'idéal pour moi serait de pouvoir lire pendant toute la séance, pour au moins pouvoir "m'enfermer" dans mon monde et faire abstraction du reste, mais je n'ai jamais réussi à le faire parce qu'on essaye toujours de me faire la conversation, même si je montre avec insistance que j'aimerais lire

Pendant des années, j'ai laissé pousser mes cheveux et j'ai gardé ma couleur naturelle, mais je ne supporte plus la longueur, je trouve que ça ne me va pas. Aujourd'hui, j'ai les cheveux mi-longs, j'ai tenté quelques expériences capillaires avec une belle décoloration mais j'ai vraiment eu du mal avec l'entretien que ça demande (ben oui, devoir retourner si régulièrement chez le coiffeur, vous au moins vous pouvez comprendre que c'est compliqué!). Donc j'ai rendez-vous la semaine prochaine pour une bonne coupe, et retrouver ma couleur naturelle. Souhaitez-moi bonne chance, j'appréhende d'autant plus que je vais chez un nouveau coiffeur.

Alors perso, le DETESTE aller chez le coiffeur.
Du coup j'ai les cheveux longs et attachés bien sûr (sinon ça tombe dans les yeux et c'est désagréable). Parce que le problème des cheveux courts c'est qu'on doit aller tout le temps chez le coiffeur !
Queue de cheval 95% du temps et natte quand j'ai besoin qu'ils soient un peu plus bas et que ça tire moins. Sinon chignon quand je dois faire "sérieuse" au travail ou quand il fait trop chaud et que je veux avoir le cou à l'air.

Pour la longueur c'est simple: ça va de très long (un peu au dessus de la taille) à juste un peu long (sous les omoplates). Je me les fais couper deux fois par an par ma mère, vite fait. et c'est très bien comme ça ! quand ils arrivent à la longueur "limite", hop ma mère me les coupe jusqu'aux omoplates et ainsi de suite.

Et sinon, pas de couleur. Tout est naturel car rester des heures avec une teinture sur la tête est hors de question.

Skyhead a écrit : ↑jeudi 4 mars 2021 à 9:36 Donc j'ai rendez-vous la semaine prochaine pour une bonne coupe, et retrouver ma couleur naturelle. Souhaitez-moi bonne chance, j'appréhende d'autant plus que je vais chez un nouveau coiffeur.

Bonne chance et bon courage, je compatis !

- je rajouterais que pour ma part, encore pire que le bac à shampooing, c'est le sèche-cheveux Tant le bruit que la chaleur souvent bien trop vive... une horreur... -

Spoiler : 

(ça fait plus d'un an que je n'y suis pas allée, et m'en portant extrêmement bien, je pense que je vais demander à mon conjoint d'apprendre à couper les pointes quand il y en aura besoin )

Curiouser a écrit : ↑jeudi 4 mars 2021 à 11:39

Skyhead a écrit : ↑jeudi 4 mars 2021 à 9:36 Donc j'ai rendez-vous la semaine prochaine pour une bonne coupe, et retrouver ma couleur naturelle. Souhaitez-moi bonne chance, j'appréhende d'autant plus que je vais chez un nouveau coiffeur.

Bonne chance et bon courage, je compatis !

- je rajouterais que pour ma part, encore pire que le bac à shampooing, c'est le sèche-cheveux Tant le bruit que la chaleur souvent bien trop vive... une horreur... -

Spoiler : 

(ça fait plus d'un an que je n'y suis pas allée, et m'en portant extrêmement bien, je pense que je vais demander à mon conjoint d'apprendre à couper les pointes quand il y en aura besoin )

Merci pour la compassion
En général le discours c'est plutôt: "j'adoooore aller chez le coiffeur, c'est un moment de détente pour prendre soin de moi". Mais pas-du-tout!!
Génial l'idée du conjoint, j'y pense aussi! Avant je coupais moi-même, grâce à une technique avec des élastiques mais c'est plus facile sur cheveux longs.
Et pour en revenir au sèche-cheveux, j'ai parfois l'impression d'avoir un lance-flammes à 0,1 cm du crâne... Mais le point positif de tout ce rituel c'est que je suis très généralement contente du résultat, si seulement je pouvais mettre la repousse de mes cheveux sur pause

Je suis intervenu mais ça date.
Grâce à mon shampoing Tonyglandyl (développé par Chernobyl and Co.) , j'ai des cheveux forts qui éclairent la nuit.
Trêve de plaisanteries, j'ai testé les cheveux longs, car je déteste aller chez le coiffeur. Un coup de ciseaux et c'est réglé.
Sauf que j'ai les cheveux fins et bouclés, donc le matin dans la douche je me démêle, puis ensuite je me démêle encore une fois.
Des poignées de cheveux arrachés, pourtant j'utilisais un shampoing soi-disant démêlant. (La bonne blague).

A part cet épisode, j'ai toujours eu les cheveux courts. Et c'est le cas aujourd'hui.
Par contre, là, j'ai la touffe. Mais la grosse touffe, hein.
Il est temps que je retourne voir le chevalier de l'apocalypse. Enfin mon coiffeur quoi.

Il faudrait inventer des cheveux qui ne poussent pas.

Il est temps que je retourne voir le chevalier de l'apocalypse. Enfin mon coiffeur quoi.

Il faudrait inventer des cheveux qui ne poussent pas.

Totalement d'accord pour les cheveux qui ne connaitraient pas la croissance !

Verdict capillaire: pour la première fois de ma vie, je suis tombée dans un salon où l'on est reçu individuellement, au calme, avec une petite musique discrète et relaxante (je déteste le silence... Et les endroits très bruyants), où la coiffeuse m'a dit d'elle-même que si je le souhaitais, je pouvais lire et profiter de ce moment dans le calme. Aucune pression pour faire la conversation (mais elle répondait avec plaisir à toutes mes questions et se montrait très disponible). J'ai même pu lire Je n'irai plus que là-bas!!

Pour moi les cheveux n'est pas ma plus grand priorité mais pour le faire, j'utilise un shampoing naturel et je le met sur mon peigne, asse pour en avoir dessus puis ensuite je l'étant sure mes cheveux trois a quatre fois comme cela, ensuite je prend de l'eau et je peigne asse pour tout le shampoing soi presque disparue, bien sûr ces pas super vite mais au moins je ne le touche pas et mon peigne est bien lavé de tout façon.

Ensuite j’essuie avec un petit bout de papier blanc mes cheveux pour que sa soi bien lisse et sèche avec le vent de la nature de la fenêtre.

Pour avoir des cheveux forts, j'utilise un shampoing à base de sperme de bouc.
Et figurez-vous que ça marche !
Je ne peux citer la marque, charte oblige, mais c'est un remède miracle !
Même si je suis chauve !

Ton crâne, tu veux le cuire chevelu ?