Forum Asperansa

Café Sciences & philo à Saint-Etienne, 27 septembre 2016 à 19h :

La culture scientifique : pourquoi ? pour qui ?

Comparaison n'est pas raison. Ça ne sert pas à grand-chose de comparer une personne à une autre, à mon avis.

Cela dit, on peut quand même essayer de développer une vision globale pour essayer de respecter un certain principe de proportionnalité (pour éviter les récompenses/sanctions disproportionnées). Un des trucs - pas si (?) - faciles de base est d'apprendre à ne pas focaliser sur un individu. Mais peut-être moins facile pour les personnes autistes qui auraient plus le sens du détail de la globalité. À tellement voir le global, on n'en voit plus la globalité dans le temps, dans l'espace, dans la société, dans l'écosystème. D'un autre côté, et sans pour autant forcément chercher à excuser la condition des êtres vivants, ne peut-on pas se dire que développer une vision globale du monde requiert une certaine capacité de conception, une certaine capacité à aller au-delà de la perception (sans pour autant devoir maîtriser toute la conception, sans pour autant devoir non plus atteindre un certain Graal métaphysique ou autre Nirvana) ?

Voilà, ça c'est fini en question philosophique.

[Je copie ici le balancement du moment de mon esprit.

]

Oser un optimisme impudent ?

Ce que nous montrons les influencera.

Pourquoi alors ne montrer que du désarroi ? Sans autre dés adéquat, nous risquons de ne laisser transparaître que nos doutes sans voûtes.

Qui a dit qu'il fallait se plier à la peur et à la menace ? Qui a dit que nous devions faiblir notre cœur ô combien tenace ?

Oser une sérénité à toute épreuve, est-ce si insolent ? Ce qui est indolent vous rend indifférent ? Le glabre vous semble macabre et de marbre ? Encore la dictature de l'appât rance.

Qui cherche la guerre se prive de la paix. Qui chercher Lager ne peut jamais boire, laper.

Arrêtez donc avec votre huile de palme, vous allez mettre le feu aux poudres, juste par intérêt court-termisme.

L'université d'Été de Michel Onfray a repris depuis lundi dernier, en podcast tous les soirs de semaine sur France Culture Breve encyclopédie du monde - décadence. Autour de son livre décadence, deuxième volet de Cosmos commencé l'an dernier.
Au menu de la semaine, le deuil, l'hédonisme, la considération des animaux depuis les religions monothéistes, l'anti spécisme. Avec des références à Darwin, l'abbé Meslier, Montaigne, et Peter Singer. Entre autres.

Allez ! Un peu d'humanisme !

Il faudra que nous lisions Byung-Chul Han.

L'obscurantisme et le "transparentisme", deux extrêmes ?

Dans le philo mag de cet été il y avait un portrait d'Audrey Tang.
Freeshost, je pense que ça devrait t'intéresser

.
http://www.philomag.com/lactu/portraits ... ence-24499

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Mais je peux me renseigner sur Audrey Tang.

ou pourquoi ce qui est vain nous attire
la critique de kant; et pourquoi on ne trouve discour plus solide, critique plus rationelle du discour rationel. lol
C'est pas l ecriture pourtant qui impose l'embleme d'une destruction de la raison mais le systeme d'ecriture doctoral et « empirique », l'homme énonce, déduit, conclu, et ce sans une incartade à ce qu'énonce comme vérité vraie, comme induction « pure », solide, brutale. (si, donc, alors)On pourrait comparer à un tableau à choix triple d'entrée je crois les mots de liaisons ne sont là au final que pour tracer une coherence induite entre deux trois termes inherents au bouquin, ou j'énonce (lui) un construction d'un savoir non absolu qui puise sa source d'un pouvoir de representation abstrait puisqu'il découle d'une « sensibilité » et d'un pouvoir de connaitre par l'intermédiaire du pouvoir de represention. « Donc », a priori lol la connaissance decoule d'1.intution 2.consept qui decoule....bha, d''intution. Lol entendement ne decoulerait d'aucunes sensibilités, d'ou : comment demontrer l'existance d'une connaissance « pure », si les intutions ou concepts empiriques ne sont là qu'a posteriori. ...
à consevoir les 700 pages.
C'est la problematique que pose la question d esthetique et les possibles reactions effarouchée qui transparaissent un siecle plus tard en pleine epoque victorienne, ou le péché et l'outrage font baver ceux qui ne peuvent en commettre

Et non seulemtn quelques bonshommes emergant de la civilisation influences à jamais la roue du temps lorsque rédigent une critique nihiliste sur la perception unilateral du monde de par les sens mais aussi d'autres lisent ainsi la critique si raisonable d'une raison deresonable et s'enchantent, pourquoi être parfois tellemtn agacé par la métaphysique: dont l objectif represente une quete du sens et voilà qu'on déniche plus pourri encore d'absurde et de grotesque là ou la réponse se jurait d'elle même?!

Parce que j en vois des conclusions évidentes proposées comme des resolutions subtiles qui soulevent en realite le double d'interrogations, m*rde

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