[Doc] À ciel ouvert (Marianne Otero)

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Jean
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#256 Message par Jean » samedi 15 mars 2014 à 19:39

nicolew a écrit :Jean, c'est là que tu as trouvé les documents?
http://www.courtil.be/feuillets/archives.html
Non, ce n'est pas là que j'ai trouvé les documents, mais il s'agit bien des mêmes textes.
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Jean
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#257 Message par Jean » samedi 15 mars 2014 à 19:40

Murielle a écrit :Comment les reléguer au placard définitivement ces vieux croûtons malfaisants et nuisibles????.! :evil: :evil: :evil:
S'ils étaient si vieux ... mais ils se reproduisent encore.
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nicolew
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#258 Message par nicolew » samedi 15 mars 2014 à 20:37

Anty 28 a écrit
c'est ma timidité maladive naturelle qui l'emportél
Tu as bien fait, les chances de pouvoir parler auraient été minimes.
J'ai fait pareil quand j'y suis allée seule la première fois : il y avait beaucoup de monde, j'ai essayé de parler aux gens dans la queue, mais visiblement, ils ont pensé que j'étais une illuminée. Et je suis repartie.
La seconde fois j'avais rendez-vous avec Jean, sinon, pareil , je crois que je serais repartie.

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Idée
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#259 Message par Idée » samedi 15 mars 2014 à 21:04

Jean a écrit :
Murielle a écrit :Comment les reléguer au placard définitivement ces vieux croûtons malfaisants et nuisibles????.! :evil: :evil: :evil:
S'ils étaient si vieux ... mais ils se reproduisent encore.
La réflexion de Martin Winckler/Marc Zaffran, médecin généraliste, sur le soin et la formation des soignants donne une bonne piste de réflexion par rapport à ce qu'il se passe à ce niveau :
Devenir soignant nécessite de n’avoir pas certaines dispositions d’esprit (en particulier, un désir de pouvoir). Il y a trois catégories de personnes qui se forment au soin - les mutants, les pervers et les « encore indéterminés ». Les mutants savent d’emblée, intuitivement, ce qu’est le soin. Soit parce qu’ils ont été élevés par des soignants, soit parce qu’ils sont « faits comme ça ». Les pervers sont ceux qui voient (consciemment ou non) dans les métiers de soin la possibilité d’assouvir leur désir de pouvoir. Ce n’est pas une maladie mentale. C’est un trait de personnalité. Ils sont « faits comme ça ». Ils ne peuvent pas soigner. Ils ne peuvent pas être soignés. Mutants et pervers sont des catégories d’individus minoritaires. La plupart des soignants en formation sont encore « indéterminés ». Selon qu’ils seront formés et soignés par des formateurs mutants ou déformés et maltraités par des enseignants pervers, ils pencheront d’un côté ou de l’autre de la pratique du soin.

Une relation de soin est incompatible avec l’exercice d’un pouvoir entre soignant et soigné. Le soignant est au service du soigné, et non l’inverse. Le patient/soigné n’est en aucune manière assujetti au soignant. Par conséquent, les pervers n’ont rien à faire dans le monde du soin. Le patient n’est pas un objet, une victime, un enfant ou un handicapé. C’est un sujet qui ne perd pas sa faculté de penser, de choisir ou de décider. Ces facultés peuvent être inhibées par la maladie ou la situation de soin, et surtout par le soignant ! Mais il appartient au(x) soignant(s) de libérer le patient de ses inhibitions. Soigner, c’est libérer.
Ce médecin (tout comme Laurent Mottron) a quitté la France pour venir au Québec. Il en donne les raisons par ici (j'ai mis en gras les passages qui me paraissent pertinents avec la discussion en cours) :
Si j’avais beaucoup d’argent - ou un mécène pour la financer - je créerais une école de soignants.
Mais en France, le mécénat n’existe pas quand il s’agit de financer un projet qui n’est pas "rentable" pour l’image du mécène. Un homme très riche ou une fondation financeront un musée, une manifestation de prestige, voire un laboratoire de recherches pour des maladies graves. Mais une école de soignants ? Faut pas rêver...

En France, il n’est même pas possible de commencer une réflexion à ce sujet. Les institutions (l’éducation nationale, les facultés de médecine) sont verrouillées. Leurs membres sont phobiques et repliés sur leurs privilèges. L’argent coule à flot quand il s’agit de paraître et de se mettre en valeur, il se tarit quand il s’agit de chercher, de travailler à un projet. D’investir sur le long terme. Voyez l’état de la recherche fondamentale...

Personnellement, je ne pourrai jamais même lancer le début d’une réflexion sur ce sujet dans ce pays.

Je n’ai même pas pu être accepté par une équipe enseignante. Après avoir soutenu l’équipe qui m’accueillait (à Paris V) et son projet pédagogique, après avoir participé en tant qu’enseignant au poste le plus modeste et m’y être investi complètement, après avoir suscité et soutenu le tournage d’un documentaire sur les études de médecine, j’ai été, du jour au lendemain, rejeté pour avoir dit une fois de plus (une fois de trop, manifestement) ce que je disais et écrivais depuis 30 ans : la formation médicale française est archaïque et violente. Comment peut-on apprendre à soigner à des jeunes gens qu’on maltraite ?

Je suis écrivain, mais les livres n’ont pas grand impact non plus. Presque dix ans après avoir publié Contraceptions mode d’emploi, qui avait été accueilli par des plaintes au Conseil de l’Ordre de certains gynécologues français, et par des insultes sur certains sites professionnels, je lis encore les messages de femmes me disant qu’on leur refuse un DIU "parce qu’elles n’ont pas d’enfant" et je devais, fin 2008, poser et retirer des implants aux patientes dont "leurs" gynécologues de ville ne voulaient pas s’occuper. Les livres d’une "grande gueule de généraliste" n’ont pas grand effet face au mépris des gynécologues, de ville ou hospitalier. Dans ce pays, si on n’a pas de titre universitaire, on n’est qu’un roturier de la médecine dont la parole n’a pas grande valeur. Elle en a pour le peuple, mais que peut le peuple si le savoir et l’accès au soin est confisqué par ceux-là même qui prétendent soigner ?

On ne peut pas changer les choses tout seul. Il faut un mouvement collectif. Ce mouvement n’a pas besoin d’être important au début, mais il faut au moins être quelques-uns. En espérant que petit à petit le message sera transmis.

C’est difficile, car on ne peut pas imposer à des professionnels de travailler autrement qu’ils ne le font depuis toujours. Pour qu’ils changent leurs habitudes, il faut leur montrer qu’il y ont intérêt personnellement, que changer d’attitude simplifiera, améliorera leur vie de professionnel en même temps qu’elle augmentera le confort, la sécurité et la qualité des soins aux patients.

Pour cela, il faut être suffisamment nombreux et convaincus. Et s’organiser pour travailler ensemble. Mais aujourd’hui, en France, une école de soignants est vouée à l’échec. Même si je disposais des moyens pour la mettre sur pied, elle ne serait pas reconnue. Les soignants qui la fréquenteraient seraient probablement qualifiés de "membres d’une secte" — j’ai suffisamment été accusé de vouloir être un gourou pour le savoir...

Alors, je m’en vais. Pour respirer. Pour cesser de me sentir étouffé dans une société qui meurt de sa propre immobilité. Pour essayer de construire ce projet ailleurs.

Je ne pars pas parce que je déteste la France ou les Français (c’est tout le contraire), mais parce que je ne peux pas travailler dans les institutions que nous n’arrivons pas à modifier. Et aussi parce qu’ici, il n’est pas possible de faire plusieurs choses à la fois. Ma vie serait probablement très simple si j’arrivais à me contenter de publier un roman, une fois tous les deux ans. Or, je ne suis pas seulement un auteur de roman...

Je ne pars pas faute d’avoir essayé : Que CHoisir Santé, France Inter, la formation permanente des médecins, la faculté de médecine Paris V...

Bref, je ne pars pas par dépit ou par aigreur, mais justement pour ne pas rester dans la frustration.
L'article complet (L’école des soignants : un rêve, un projet, un (nouveau) départ !) est accessible par ici.

J'ai aussi posté d'autres extraits de cet article dans cette discussion :
http://forum.asperansa.org/viewtopic.ph ... 75#p125780
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#260 Message par corinneduval » dimanche 16 mars 2014 à 1:10

Voici l'article sur un livre qui semble intéressant et qui démontre bien la différence entre psychiatrie et psychanalyste... A suivre... http://www.lindependant.fr/2014/03/15/a ... 0332118825

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Anty28
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#261 Message par Anty28 » dimanche 16 mars 2014 à 11:00

Jean a déjà ouvert un fil concernant cet article :wink:
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#262 Message par corinneduval » dimanche 16 mars 2014 à 12:48

Ok merci :D

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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#263 Message par Jean » dimanche 16 mars 2014 à 22:52

Un compte-rendu :
Voilà! C'est fait! J'ai assisté à la projection du film A Ciel Ouvert de Mariana Otero. Pour les non avertis, ce film donne une image très bonne du Courtil, internat belge accueillant des enfants "psychotiques" comme les appelle les psychanalystes. C'est pourquoi les spectateurs hier soir n'ont pas compris notre intervention pendant le débat... "Mais franchement il n'y a pas maltraitance!" Bien sûr que non mais cette prise en charge d'obédience psychanalytique n'est pas adaptée pour les personnes autistes, ne suit pas les recommandations de la HAS ni celles du 3ème plan autisme. J'ai entendu parler de "jouissance", de "folie", de "corps morcelés" par les intervenants au Courtil puis par la réalisatrice, tout ceci avec le soutien de la Ligue des Droits de L'Homme!!! Alors j'ai parlé des 5 condamnations du Conseil de l'Europe, mais pour la LDH, cela ne semble pas avoir d'importance. Je me suis entendue dire: "oui, on comprend bien la souffrance des parents, et donc votre ressenti, votre colère" sous entendu "il faudrait aller vous faire soigner"... J'aurais préféré rester chez moi un vendredi soir, comme tout le monde, devant un bon petit film, en famille... Mais non, je suis allée, accompagnée d'Andy, accompagnée d'autres mamans d'enfants autistes, soutenue par Super Catherine de Autisme en Yvelines, soutenue par des amis que je remercie car sans eux, cela aurait été encore plus dur. Je ne peux pas laisser passer cette injustice, me taire, ne pas en parler... Je ne peux pas laisser les gens se faire manipuler de cette façon... Nous avons eu une leçon sur Lacan hier soir, on m'a expliqué la "jouissance", la "folie", les "corps morcelés". Sauf que, lorsque j'entends le terme "fou", j'ai une boule qui se met dans mon ventre. Vous savez comme toutes ces expressions "c'est un truc de fou" ou encore "waouh, des vacances de malade mental"... Avant de rencontrer mon mari, je ne savais pas ce qu'était l'autisme... Oui j'avais vu Rain Man comme tout le monde. L'autisme au quotidien est un vrai défi, pour les parents, pour les couples, pour la fratrie. S'il vous plaît, si vous avez des personnes, des familles, dans votre entourage touchés par ce handicap, ne les abandonnez pas, et surtout dîtes-leur de fuir les psy lacaniens au sein de certains services soi-disants spécialisés, qui vont vite vous recommander une thérapie familiale... Le psychiatre présent hier soir, responsable du CMP de notre ville, avoue de lui-même ne pas être un spécialiste de l'autisme. C'est pourtant vers lui que le médecin généraliste ou l'école va orienter les parents. Et là? Que se passe-t-il? Envoie-t-il ces parents vers des centres spécialisés appliquant les méthodes recommandées par la HAS? Comme cette maman hier dont l'intervention m'a vraiment marquée et laissé un silence de plomb s'installer dans l'assistance: "j'ai été consulté car mon fils jouait avec du fil sans cesse" - "et oui, Madame, le cordon ombilical vous comprenez".... et cela a duré deux ans... et 2 ans dans la vie d'un enfant autiste, c'est énorme... Combien d'enfants autistes vont-ils voir encore leur avenir fortement compromis alors que des méthodes qui ont fait leurs preuves existent?
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#264 Message par Anty28 » dimanche 16 mars 2014 à 23:17

D'où ce témoignage vient-il ? Ce témoignage est courageux, mais le contexte m'aiderait à mieux comprendre...
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#265 Message par Jean » dimanche 16 mars 2014 à 23:30

J'ai recopié de Facebook.

Je cherche de quelle séance il s'agit.
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#266 Message par Anty28 » dimanche 16 mars 2014 à 23:35

Merci :)
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#267 Message par Jean » lundi 17 mars 2014 à 1:58

A Conflans-Sainte-Honorine - 14 mars - 20h30 : Projection spéciale au cinéma Cinéville, en présence de Mariana Otero

http://www.acielouvert-lefilm.com/p/programmation.html

Une remarque :
Je salue l'intervention de mon mari qui a remercié au final Mme Ottero d'avoir présenté ce film car ainsi, les parents des enfants du Courtil avaient pu voir l'intérieur de l'établissement, chose qui leur était interdite. Le journaliste et Mme Ottero en sont restés bouche bée car ils n'ont pas vu le coup final arriver...
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#268 Message par corinneduval » lundi 17 mars 2014 à 8:18

Cette personne avait lu mon bloc et était entrée en contact avec moi. nous nous sommes téléphoné afin qu'elle ait des éléments concrets à avancer, elle avait peur d'intervenir c'est courageux de sa part de l'avoir fait.

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Madu
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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#269 Message par Madu » lundi 17 mars 2014 à 10:07

Madu a écrit :Notre voisin, qui est formateur d'éducateurs spécialisés, vient de parler du Courtil à mon compagnon.
Il en a parlé dans des termes très positifs. Il va vraiment falloir que je lui parle à ce voisin. Il ne comprend pas grand chose.
La suite : j'ai transmis la lettre d'Asperansa en mettant bien en avant la position officielle d'Autisme France
avec un post it jaune annoté + le fait que je connaissais le témoignage d'une mère (Corinne évidemment)

Nous avons passé la soirée avec nos voisins vendredi soir et bien sûr nous avons parlé du film.
C'est avec beaucoup de chagrin que je vous informe que nos voisins (au demeurant très gentils)
ont trouvé le documentaire très bien et restent sur l'idée que le documentaire est très bien.
Je crois que le documentaire joue sur la fibre "artistique" qui sommeille chez beaucoup de bobos.
Ceci nous conforte mon compagnon et moi dans l'idée que ce documentaire est un attrape-nigaud.
(pardon pour le terme, je sais que mon vocabulaire peut être un peu cru)
Un acte de propagande effectué pour encenser un certain type de (manque de) prise en charge
et qui a su s'assurer la présence d'idéalistes à coté des réalités (comme la réalisatrice qui planne à 100 000)

Bref nous avons trouvé malgré tout un point d'accord (on ne souhaite pas se facher avec nos voisins)
>> le problème de l'exclusion totale des parents de la prise en charge

Mon chéri va aller à la projection du film dans une semaine.
(Il y en a hélas partout en ce moment :( )

L'idée n'étant pas de réveiller les consciences pendant la projection, nous n'y croyons pas.
Ceux qui vont voir ce documentaire sont de toute manière motivés par une certaine idée du soin.
Le soigneur glandeur, qui reste sans rien faire, à regarder les enfants, en fumant des cigarettes,
et qui reconstruit le monde (toujours la clope au bec) le soir venu. (Dimension du "soin" = 0 )

L'idée donc c'est de pouvoir argumenter sur le documentaire
en effet, sans l'avoir vu, nous sommes disqualifiés de la discussion.
Nous sommes convaincus qu’il faut maintenir le lien et argumenter.

Restant une incorrigible optimiste, j'ai l'espoir de convaincre
notre voisin de projeter des documentaires plus objectifs
et plus informatifs à l'intention des futurs éducateurs spécialisés.
Maman d'un seul petit gars né en 2005, autiste.
"By giving away what we want most (love, money, gratitude), we create a greater abundance of the very commodity we seek. What goes around comes around." ~ Barry Neil Kaufman

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Re: "A ciel ouvert" - Marianne Otero

#270 Message par Anty28 » lundi 17 mars 2014 à 10:49

Jean a écrit :A Conflans-Sainte-Honorine - 14 mars - 20h30 : Projection spéciale au cinéma Cinéville, en présence de Mariana Otero

http://www.acielouvert-lefilm.com/p/programmation.html

Une remarque :
Je salue l'intervention de mon mari qui a remercié au final Mme Ottero d'avoir présenté ce film car ainsi, les parents des enfants du Courtil avaient pu voir l'intérieur de l'établissement, chose qui leur était interdite. Le journaliste et Mme Ottero en sont restés bouche bée car ils n'ont pas vu le coup final arriver...
Si je comprends bien, c'était la projection parrainée par la LDH ? Entre ça et la lettre qui leur a été adressée, ils ont dû avoir les oreilles qui sifflent ! J'espère que ça leur apprendra à se renseigner davantage sur le sujet, maintenant...
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