[Revue et Université] ARAPI et bulletin scientifique

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hazufel
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#46 Message par hazufel » jeudi 10 octobre 2019 à 7:05

C’est intéressant, et ça rappelle des choses déjà et souvent évoquées ici : le nombre de demandes grandissant suite aux émissions, les listes énoncées en rdv après avoir trouver des caractéristiques sur le net, les diagnostics différentiels et l’intérêt d’un psychiatre pour les évaluer notamment.

Je ne comprends pas une chose cependant :
Jean a écrit :elle parle de continuum chez les mères d’enfants TSA
Pourquoi les mères ? Et pourquoi évoquer un continuum ? :?: elle indique par là qu’il y en a davantage sur le phénotype élargi que de diagnostiquées autiste ? parce que selon Lorna Wing, qui a évoqué en premier ce terme de continuum en 1979, il est synonyme de spectre autistique. Par conséquent, je ne comprends pas cette évocation, ni pourquoi les mères seraient plus "touchées" que les pères. :?:

Est-ce qu’il y a un document qui sera lisible pour les comorbidités qu’elle a évoquées ?
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Jean
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#47 Message par Jean » vendredi 11 octobre 2019 à 0:02

hazufel a écrit : jeudi 10 octobre 2019 à 7:05Je ne comprends pas une chose cependant :
Jean a écrit :elle parle de continuum chez les mères d’enfants TSA
Pourquoi les mères ? Et pourquoi évoquer un continuum ? :?: elle indique par là qu’il y en a davantage sur le phénotype élargi que de diagnostiquées autiste ? parce que selon Lorna Wing, qui a évoqué en premier ce terme de continuum en 1979, il est synonyme de spectre autistique. Par conséquent, je ne comprends pas cette évocation, ni pourquoi les mères seraient plus "touchées" que les pères. :?:

Est-ce qu’il y a un document qui sera lisible pour les comorbidités qu’elle a évoquées ?
Je développerai mes notes sur les "comorbidités" ou les troubles associés. Certains spécialistes parlent parfois de sous-type TSA d'une pathologie.

C'était un peu sadique de ma part de glisser l'air de rien cette mention.

Les interventions à l'Université d'Automne de l'ARAPI feront l'objet de compte-rendus dans le Bulletin Scientifique de l'ARAPI, mais çà prendra des mois.

J'ai dit au Dr Vulser que je lui soumettrai mon compte-rendu, compte tenu du caractère sensible du sujet. Je le ferai avant de poster plus avant sur son intervention, qui a été appréciée. Et qui peut faire débat chez les spécialistes du diagnostic des adultes.
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#48 Message par Jean » vendredi 11 octobre 2019 à 0:03

Jean-François Dufresne, dirigeant d'Andros, a présenté le petit film sur le sujet aujourd'hui à l’université d'automne de l'ARAPI.

Je l'ai interrogé ensuite sur l'aspect "économique" et réglementaire. Il est actuellement sur 4 projets, et aucun n'a le même type de financement.

10 des 11 ouvriers d'Andros avaient des orientations type FAM ou MAS, qui concernent des personnes handicapées qui ne travaillent pas et qui on un accompagnement permanent (jour et nuit), avec des soins.

Au début de l'expérience, il fallait avoir une RQTH (reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé) et une orientation ESAT ( mais c'était seulement . pour le cas où l'insertion en milieu ordinaire ne marcherait pas : mais il n'y a pas eu d'échec).

L'accompagnement était atypique, parce qu'il était assuré par un SESSAD (et un ESAT), alors qu'un SESSAD n'intervient normalement que jusqu'à 20 ans (il y avait un SESSAD autisme élargi jusqu'à 25 ans en Eure-et-Loir). Cela voulait dire que l'ARS finançait, alors qu'à 20 ans, c'est pour l'essentiel le conseil départemental qui finance.

Désormais, c'est un SAMSAH qui assure l'accompagnement, à l'usine comme à domicile. Un SAMSAH est un service d'accompagnement à la vie sociale (SAVS) qui assure des soins également, et qui est financé aussi à ce titre par l'ARS. Si je prends l'exemple des SAMSAH autisme de Bretagne, on peut estimer le financement à 22.000/25.000 € par personne, dont un tiers à la charge du département.

Là où la situation est atypique, c'est parce que ce SAMSAH n'assure pas des soins.

En ce qui concerne l'hébergement, ceux qui choisissent de vivre dans ce qui ressemble à un foyer paye 650 € pour l’hébergement et la restauration (350 € pour ceux qui n"y logent pas en général parce qu'ils sont du coin).

Il n'y a pas de PCH aide humaine pour la semaine, seulement éventuellement pour le week-end et les vacances.

Le financement de l'accompagnement (en plus du SAMSAH) est assuré par le conseil départemental. En dehors des clous habituels, car les Conseils départementaux financent les foyers d'hébergement d'ESAT, les foyers de vie et la majorité des FAM.

Cependant, dans ces derniers cas, les usagers doivent contribuer, avec un reste à vivre correspondant à 30% du montant de l'AAH.

Ce n'est pas le cas pour les travailleurs d'Andros, travailleurs à mi-temps qui bénéficient bien du produit de leur travail salarié, et perçoivent une AAH différentielle en complément (je rappelle qu'ils travaillent à mi-temps).

Et ils ont évidemment le droit de quitter entreprise et logement, avec les droits au chômage que n'ont pas les usagers d'ESAT.

L’accompagnement atypique est financé à hauteur d'à peu près 35.000 € par le conseil départemental et l'ARS, presque deux fois moins qu'un foyer de vie, deux à 3 fois moins que FAM ou MAS.

http://www.autismcanwork.org/
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#49 Message par Jean » vendredi 11 octobre 2019 à 0:04

Laurent Delannoy est venu présenter Avencod, qui est une des rares entreprises adaptées pour personnes autistes.

Une entreprise adaptée est une entreprise du milieu ordinaire, qui doit appliquer les droits normaux des salariés. Elle doit avoir au moins 80% de ses salariés ayant une RQTH.

Les métiers sont ceux de développeurs informatiques et de testeurs d'applications informatiques.

L'entreprise a créé 22 postes en 3 ans et demi, en majorité de personnes TSA, mais il y a aussi une minorité d'autres handicaps.

Dans le processus de recrutement, il y une PMSP (période de mise en situation en milieu professionnel).
https://travail-emploi.gouv.fr/formatio ... nnel-pmsmp

Ce que j'ai trouvé intéressant, c'est l'intervention d'une neuropsychologue, qui rencontre les salariés une fois par mois (après une 1ère fois, avec des tests qui durent deux heures environ). Et tout le monde a droit au neuropsychologue.

Les salariés peuvent se constituer un CV pour trouver du travail soit chez les clients où ils ont travaillé sur des projets, soit ailleurs. C'est bien ce qu'un de nos camarades bretons autistes vient de faire.

https://www.avencod.fr/

Sur la photo ci-dessous, Laurent Delannoy tient l'étude sur le sondage mené par Asperansa chez les adultes autistes, dont 90 exemplaires ont été diffusés à l'occasion de cette université d'automne. Cette étude de 116 pages a été faite par Amélie Tsaag Valren.
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#50 Message par Aeryn » vendredi 11 octobre 2019 à 15:00

Jean a écrit : vendredi 11 octobre 2019 à 0:02 J'ai dit au Dr Vulser que je lui soumettrai mon compte-rendu, compte tenu du caractère sensible du sujet. Je le ferai avant de poster plus avant sur son intervention, qui a été appréciée. Et qui peut faire débat chez les spécialistes du diagnostic des adultes.
En quoi penses-tu qu'il puisse faire débat chez les spécialistes du diagnostic des adultes ?
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#51 Message par Jean » dimanche 13 octobre 2019 à 10:42

Jean a écrit : vendredi 11 octobre 2019 à 0:02J'ai dit au Dr Vulser que je lui soumettrai mon compte-rendu, compte tenu du caractère sensible du sujet. Je le ferai avant de poster plus avant sur son intervention, qui a été appréciée. Et qui peut faire débat chez les spécialistes du diagnostic des adultes.
Voilà la précision qui rectifie mes notes :
Certains auteurs ont parlé de continuum en terme de diagnostic avec d’autres troubles. Par ailleurs, il y a plus fréquemment d’autres troubles mentaux dans les familles de personnes avec TSA.
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misty
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#52 Message par misty » lundi 14 octobre 2019 à 9:44

Jean a écrit :Certains spécialistes parlent parfois de sous-type TSA d'une pathologie.
Tu entends par là des personnes qui seraient sur le phénotype élargi et porteuses d'un trouble psy que les traits autistiques "coloreraient" au point de causer des faux positifs? Comme des dépressions chroniques avec un sous-type TSA qui ne correspondraient pas au TSA clinique mais recevraient le diag quand même?
Spoiler : 
J'ai bien vu que tu voulais attendre pour expliquer plus mais si je te dis ça c'est qu'il y a en Scandinavie et pays anglo-saxons (peut-être ailleurs aussi) des sous catégories de troubles psy qui pourraient correspondre à ce que tu évoques (enfin dans le cas où j'ai bien compris). Je n'ai jamais vu ces sous catégories mentionnées en France, pourtant elles sont officielles et notamment dans le cas de sous-catégories de dépressions et OCD je me posais justement la question du phénotype élargi TSA.
A-t-il été question de l'effet inverse (soit des enfants aussi sur le phénotype élargi qui, élevés par des parents -statistiquement assez isolés/célibataires- peu au fait des codes sociaux, cumuleraient des défauts d'apprentissage par imitation avec le phénotype TSA)?
*Diag TSA*

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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#53 Message par Jean » lundi 14 octobre 2019 à 14:34

Université d'automne de l'ARAPI : Qualité de vie, santé, autonomie - 1

L'Université d'Automne de l'ARAPI, qui regroupe depuis 36 ans professionnels et parents de personnes autistes, s'est déroulée du 7 au 11 octobre. Début de mon compte-rendu. Interventions notamment de Rutger Jan van der Gaag, Vincent Desportes et Eric Courchesne.

https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... utonomie-1
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#54 Message par Jean » lundi 14 octobre 2019 à 14:38

misty a écrit : lundi 14 octobre 2019 à 9:44
Jean a écrit :Certains spécialistes parlent parfois de sous-type TSA d'une pathologie.
Tu entends par là des personnes qui seraient sur le phénotype élargi et porteuses d'un trouble psy que les traits autistiques "coloreraient" au point de causer des faux positifs? Comme des dépressions chroniques avec un sous-type TSA qui ne correspondraient pas au TSA clinique mais recevraient le diag quand même?
Spoiler : 
J'ai bien vu que tu voulais attendre pour expliquer plus mais si je te dis ça c'est qu'il y a en Scandinavie et pays anglo-saxons (peut-être ailleurs aussi) des sous catégories de troubles psy qui pourraient correspondre à ce que tu évoques (enfin dans le cas où j'ai bien compris). Je n'ai jamais vu ces sous catégories mentionnées en France, pourtant elles sont officielles et notamment dans le cas de sous-catégories de dépressions et OCD je me posais justement la question du phénotype élargi TSA.
A-t-il été question de l'effet inverse (soit des enfants aussi sur le phénotype élargi qui, élevés par des parents -statistiquement assez isolés/célibataires- peu au fait des codes sociaux, cumuleraient des défauts d'apprentissage par imitation avec le phénotype TSA)?
Il n'a pas été question de phénotype élargi. Je pense interroger le Dr Vulser à ce sujet.

L'exemple qui a été cité (je vérifie) me semble être celui des TOC. Il y a résistance aux traitements habituels des TOC quand il y a aussi TSA. Les caractéristiques des TOC seraient différentes dans l'autisme.
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#55 Message par Jean » mardi 15 octobre 2019 à 11:06

Université ARAPI : Trajectoires de vie de l'enfance à l'adolescence 2

Suite du compte-rendu de l'Université d'Automne. Une intervention de Jean-Luc Martinot sur la cohorte IMAGEN, celle de Sandrine Le Sourn-Bissaoui sur les trajectoires de développement dans des unités autisme de maternelle et de Bertrand Monthubert sur le projet Aspie-Friendly à l'Université.

https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... lescence-2
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#56 Message par Jean » mardi 15 octobre 2019 à 18:04

Université ARAPI : Autisme et troubles mentaux à l'âge adulte 3

Le Dr Hélène Vulser rend compte de la complexité du diagnostic de l'autisme chez les adultes, de la procédure suivie dans son service. Elle détaille les "comorbidités" psychiatriques.

https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... e-adulte-3
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#57 Message par misty » mardi 15 octobre 2019 à 21:39

Merci beaucoup c'est très intéressant, et en fait j'avais rien compris à ce dont tu avais parlé. :|

Ce qui serait intéressant c'est qu'ils discutent entre professionnels des comorbidités justement, parce que je sais que certains ne posent pas le TOC en cas d'autisme puisqu'ils considèrent que les TOCS atypiques "autistiques" appartiennent clairement à la symptomatologie TSA. Pareil pour le TDAH. Du coup c'est difficile de tirer des conclusions sans savoir qui est considéré comme TOC "implicite" en opposition à ceux censés présenter le TOC comme comorbidité (je ne sais pas si c'est clair, j'espère... :? ).

Du coup l'histoire des mères TSA c'est les indices comme quoi les femmes présenteraient plus de troubles psy que les hommes?
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#58 Message par Jean » mardi 15 octobre 2019 à 23:18

Il y a manifestement des débats entre chercheurs ou cliniciens sur les spécificités des TOC chez les personnes autistes.

J'ai déjà entendu quelqu'un du CRA dire que le déficit de l'attention était spécifique dans les TSA.

J'ai vérifié auprès du Dr Vulser. Il n'y a rien de plus que dans mon compte-rendu. Elle a mentionné qu'il y avait plus de "comorbidités" psychiatriques chez les femmes, mais sans détailler. On peut parier que c'est le cas pour l'anorexie, par exemple. Mais on n'est pas là pour parier.

Comme c'est précisé, il n'est pas question dans la conférence des autres troubles neuro-développementaux, ni de ce qui n'est pas considéré comme psychiatrique : épilepsie, troubles du sommeil, gastro-intestinaux etc.

Je lui ai demandé s'il y avait des différences de genre dans son centre dans le diagnostic TSA ou non. Elle ne voyait pas.

J'ai discuté avec un toubib de CRA, qui m'a dit qu'il recevait beaucoup de femmes qui n'avaient apparemment pas de symptômes de l'autisme. Mais ceux-ci apparaissaient en cas de crise. Normalement, un professionnel n'a pas à chercher à mettre en difficultés le patient. Il disait que par contre, les processus cognitifs restaient manifestement autistiques.
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#59 Message par Jean » mercredi 16 octobre 2019 à 11:44

Université ARAPI : stratégies pour une meilleure qualité de vie 4

Intervention d'Isabelle Amado (Sainte-Anne) sur les techniques de remédiation cognitive et de thérapies psychosociales et de Diane Morin (Québec) sur le traitement des troubles du comportement avec la Maison Lily-Buttters.

https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... e-de-vie-4

Pur connaître les centres qui font de la remédiation cognitive, voir https://remediation-cognitive.org/-notr ... u-?lang=fr
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Re: [Revue] Le bulletin scientifique de l'ARAPI

#60 Message par Jean » mercredi 16 octobre 2019 à 17:24

Université ARAPI : Travail à l'âge adulte 5

Les entreprises Andros et Avencod embauchent des personnes autistes en milieu ordinaire. Pourquoi et comment ?
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... e-adulte-5
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