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par laboulette » mardi 7 janvier 2014 à 11:44
J'ai parcouru ce sujet hier soir, il y a plusieurs choses intéressante de développées.
Les groupes d'habileté sociale : j'ai vu que la thérapeute qui va faire passer le bilan à mon fils en anime avec une autre psychologue. Pour l'instant je n'en sais pas plus. Ni en terme de tarifs, ni en terme d'organisation.
Mais je pense que ça pourrait aider mon garçon qui soit vexe les autres enfants, soit se pointe avec une voix haut perchée et un ton de nono le petit robot et dit "bonjour, comment tu vas", même si l'autre camarade n'est pas un amis et était en pleine conversation avec quelqu'un d'autre. Du coup, il passe pour soit un bizarre, soit un idiot...
Les compétences, la qualité, la tarification, et l'éthique des thérapeute :
là, c'est un sujet épineux. Je ne suis pas trop d'accord que le tarifs soit un critère, même si hélas, je trouve cela scandaleux que certains en profitent, en face un commerce, et l'absence de prise en charge. ceci étant, en Ile de France (comme dans d'autres grandes villes je l'imagine), les tarifications sont bien au delà que les 35 euros de l'heure cités pour des entretiens individuels. Mais je pense que cela tient aussi aux frais de locations des locaux des praticiens, notamment en libéral. Même si évidement, on peut rester dubitatif quand on voit les tarification.
Après, on a passé des années en CMPP, sans rien payer, mais bon, on arrive maintenant à 1 ans et demi du collège avec tout les problèmes que vous connaissez pour nombre d'entre vous, et des délais en hôpital énormes, et une situation qui devient pressante.
Donc, oui, on va payer et se serrer la ceinture.
Sinon, est ce que le fait qu'un neuropsy ait exercé en CHU, soit spécialisé dans les TED et TDAH, soit répertorié par le CRA, est une critère rassurant? Pour ma part, je me suis dit que c'était au moins une indication d’expérience professionnelle adéquat, même si échaudée par tout un parcours d'errance, je demeure vigilante et inquiète que l'on se fasse balader une fois de plus.
Enfin, les problèmes de périscolaire, vie sociale et autonomie. Et bien, c'est ce qui fait que l'on arrive là aussi à un moment donné. Pour notre expérience personnelle, nous travaillons 5 jours par semaine à temps plein et à vrai dire, je ne vois pas comment financièrement on pourrait faire autrement là où on vit.
PAs de famille alentour et de toute façon des parents âgés et malades...
Donc oui, notre loulou depuis la crèche est en collectivité de 8 h du matin à 18 h le soir (+ ou - selon les jours).
Le temps de l'étude et du centre de loisir, ça va. Mais ça n'a pas toujours été le cas, ce fut catastrophique en maternelle et à l'époque, on n'avait pas trop d’éléments pour comprendre ce qui se passait.
Là où c'est compliqué, de ce qui me revient, c'est en classe cette année et aussi les temps de récréation.
Donc dans un an et demi, le collège. Il n'est pas capable de faire un trajet seul, et il n'y aura plus de périscolaire. Cette perspective me fait peur, on a pas les moyens de payer quelqu'un tout les jours, et je ne peut ni passer à temps partiel, encore moins arrêter de travailler.
Jusque là, on me prenais pour une folle de m'inquiéter comme ça, d'autant qu'il est intelligent, mais là, je me rends compte que ça commence à être pris au sérieux. En gros, le fait qu'il n'ai pas de retard intellectuel et qu'il soit bon élève amenait le corps enseignant, mon conjoint et les grands parents à penser qu'il y arriverait bien d'une façon où d'une autre.
Quant à envisager des horaires aménagés, dans ce cas, et pour le moment, je ne pense pas que ce soit une solution. Mais que le problème est surtout relationnel, et de cadre plus ou moins stressant et encadré.