[Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
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Tea Bo
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#526 Message par Tea Bo » jeudi 2 mai 2019 à 19:26

Le Parlement britannique devient le premier à déclarer l'"urgence climatique"

La motion votée par les députés n'est pas contraignante. Le mouvement Extinction Rebellion attend donc désormais des "actions décisives".
https://www.francetvinfo.fr/meteo/clima ... 23969.html
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misty
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#527 Message par misty » jeudi 2 mai 2019 à 19:45

Au sujet de l'article du Times dont "on reparle"
(https://static01.nyt.com/packages/pdf/w ... rm1956.pdf):

On parle du changement climatique depuis plus de 30 ans. Pourquoi n'avons-nous rien fait ?

L'obs a écrit :La phrase la plus essentielle du livre de Nathaniel Rich surgit à la page 87. Elle a été prononcée en octobre 1980, près de Saint Petersburg, en Floride, dans une réunion qui se tenait à huis clos entre chercheurs, industriels et hauts fonctionnaires, par Thomas Jorling, employé de l’Agence américaine de Protection de l’Environnement :
"« Ne nous chargeons pas de ce fardeau. Laissons à d’autres le soin de s’occuper de cet aspect des choses. »"

En 1980, on parlait déjà de la tragédie à venir du réchauffement climatique
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#528 Message par Alceste » vendredi 3 mai 2019 à 0:25

D'intéressantes contributions dans ce "sujet".

Pour ma part je ne crois pas que nous changerons le monde seulement en triant nos poubelles et en roulant en voiture électrique ; il faut des mesures plus massives et plus radicales.
Alors comment faire ?

En démocratie c'est par le vote qu'on fait changer les choses ... Que faire de mieux que de voter "vert" aux européennes ? ... Cela paraît bien dérisoire !
Alors quoi : renoncer et s'enfermer dans une communauté de collapsonautes en attendant Mad Max ; pas réjouissant.

Je suis perplexe et désemparé. 🤔😔
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#529 Message par lulamae » vendredi 3 mai 2019 à 7:05

Alceste a écrit : vendredi 3 mai 2019 à 0:25 En démocratie c'est par le vote qu'on fait changer les choses ... Que faire de mieux que de voter "vert" aux européennes ? ... Cela paraît bien dérisoire !
Alors quoi : renoncer et s'enfermer dans une communauté de collapsonautes en attendant Mad Max ; pas réjouissant.

Je suis perplexe et désemparé. 🤔😔
La collapsologie ce n'est pas que ça @Alceste : le dernier titre de Pablo Servigne traite de l'entraide, comme "autre loi de la jungle", comme les écrits de Richard Wilkinson.
C'est une interaction entre mouvement de masse (ce qui revient un peu à attendre que ça bouge) et action à sa portée. C'est compliqué de s'informer sans culpabiliser ou être anxieux de l'état du monde, découragé, et agir chez soi, en se disant que ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan...
Spoiler : 
Mais tu es de retour @Alceste ? Ca fait longtemps que je n'ai pas vu ton pseudo. :)
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#530 Message par hazufel » mardi 7 mai 2019 à 18:49

Sur le monde diplo : la plupart des espèces animales et végétales sont menacées de disparition par suite des interventions humaines

Et vu le dédain écologique des dirigeants des pays les plus développés en ce moment, ça n’est pas près de s’améliorer je le crains :hotcry:
TSA & SAMA
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#531 Message par Tugdual » mardi 7 mai 2019 à 19:24

Même sujet sur The Conversation :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).

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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#532 Message par Tugdual » mardi 14 mai 2019 à 13:19

Toujours sur The Conversation :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).

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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#533 Message par Alceste » mardi 14 mai 2019 à 23:35

@lulamae : :D
Depuis quelques temps je me suis lancé dans l'action citoyenne de proximité ... Contre le bétonnage, pour une réflexion d'ensemble des mobilités, pour la prise en compte de l'urgence environnementale ... Bof.
Sans grand succès.
Je crois qu'autisme et charisme sont assez contradictoires :innocent:
J'ai bien essayé de m'insérer dans la vie politique et associative locale pour faire avancer mes idées, mais je me trouve comme un jeune chien dans un jeu de quilles : je remue, j'agace, je m'agace, rien n'avance.
:roll:
Les européennes approchent ... Entre "Renaissance" qui ne tiendra pas ses promesses, et "eelv" qui ne représente pas grand chose, je ne sais pas qui choisir.
:(
Sinon pour la collapsologie, je n'y crois pas vraiment. Bezos, Musk, et de nombreux autres milliardaires ont déjà commencé à chercher des ressources extra-terrestres (lune et astéroïdes d'ici 10 ou 20 ans à peine ... !!) ; ils sont passionnés par le transhumanisme, on finira tous - pour survivre - par bouffer des extraits de trucs transformés, on continuera à dépendre d'énergies pas propres, on sera connectés via des implants, on aura chaud, soif, faim, et on s'abrutira avec des réseaux sociaux ludiques, tout en exploitant tout ce qui passera à portée de fusée.
Génial :x
En attendant, il m'arrive - dans un sursaut d'optimisme mélé d'orgueil - de croire que je pourrais convaincre quelques uns et qu'on pourrait faire "quelque chose". Et puis la réalité me rattrape. Les pesanteurs ont raison de ma volonté, et je me réfugie dans les pensées - inutiles mais chaleureuses - de philosophes.
:shock:
...
Il faut que je change ma signature ...
:crazy:
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#534 Message par Tea Bo » samedi 25 mai 2019 à 13:45

Un décret propose d’en finir avec la consultation de l’Office national des forêts pour des opérations de déboisement dans des sites gérés par les collectivités locales.

Le bruit des tronçonneuses risque-t-il de résonner davantage dans nos sous-bois ? C’est ce que craint le Syndicat national unifié des personnels des forêts et de l’espace naturel. Le Snupfen estime que le gouvernement « prend des mesures facilitant la déforestation en France ». Dans le cadre de la simplification des procédures d’autorisation environnementale, le gouvernement souhaite se passer de l’avis de l’Office national des forêts (ONF) pour certaines opérations de défrichement effectuées dans des forêts publiques.


« L’ONF n’est pas forcément compétente pour les forêts gérées par les collectivités locales et on se retrouve dans certains dossiers nécessitant des autorisations environnementales avec un empilement de consultations obligatoires qui ne sont pas impératives, ralentissent le processus de décision et engorgent les services chargés d’instruire les dossiers », fait-on valoir au ministère de l’Écologie.
Difficile à digérer pour les agents de l’ONF : « Qui connaît mieux ces forêts-là que le service public forestier qui les protège et les gère depuis plusieurs siècles, fulmine le Snupfen. Dorénavant, pour décider d’autoriser ou non la transformation d’une forêt en zone commerciale, en lotissement ou en champ de blé, l’Etat se passera de notre avis. »

Et le syndicat de conclure, dépité : « Les gouvernements se succèdent, font tous de beaux discours sur l’écologie mais au final partagent le même credo : l’environnement, ça commence à bien faire. »
http://www.leparisien.fr/societe/debois ... 078622.php
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#535 Message par freeshost » lundi 3 juin 2019 à 23:34

If Seeing the World Helps Ruin It, Should We Stay Home?
Spoiler : 
In the age of global warming, traveling — by plane, boat or car — is a fraught choice. And yet the world beckons.

The glaciers are melting, the coral reefs are dying, Miami Beach is slowly going under.

Quick, says a voice in your head, go see them before they disappear! You are evil, says another voice. For you are hastening their destruction.

To a lot of people who like to travel, these are morally bewildering times. Something that seemed like pure escape and adventure has become double-edged, harmful, the epitome of selfish consumption. Going someplace far away, we now know, is the biggest single action a private citizen can take to worsen climate change. One seat on a flight from New York to Los Angeles effectively adds months worth of human-generated carbon emissions to the atmosphere.

And yet we fly more and more.

The number of airline passengers worldwide has more than doubled since 2003, and unlike with some other pollution sources, there’s not a ton that can be done right now to make flying significantly greener — electrified jets are not coming to an airport near you anytime soon.

Still, we wonder: How much is that one vacation really hurting anyone, or anything?

It is hard to think about climate change in relation to our own behavior. We are small, our effects are microscopically incremental and we mean no harm. The effects of climate change are inconceivably enormous and awful — and for the most part still unrealized. You can’t see the face of the unnamed future person whose coastal village you will have helped submerge.

But it turns out there are ways to quantify your impact on the planet, at least roughly. In 2016, two climatologists published a paper in the prestigious journal Science showing a direct relationship between carbon emissions and the melting of Arctic sea ice.

Each additional metric ton of carbon dioxide or its equivalent — your share of the emissions on a cross-country flight one-way from New York to Los Angeles — shrinks the summer sea ice cover by 3 square meters, or 32 square feet, the authors, Dirk Notz and Julienne Stroeve, found.

In February, my family of three flew from New York to Miami for what seemed like a pretty modest winter vacation. An online carbon calculator tells me that our seats generated the equivalent of 2.4 metric tons of carbon dioxide.

Throw in another quarter-ton for the 600 miles of driving we squeezed in and a bit for the snorkeling trip and the heated pool at the funky trailer-park Airbnb, and the bill comes to about 90 square feet of Arctic ice, an area about the size of a pickup truck.
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When I did that calculation, I pictured myself standing on a pickup-truck-sized sheet of ice as it broke apart and plunged me into frigid waters. A polar bear glared hungrily at me.

Calculating the harm

And what of my vacation’s impact on my fellow man? Actually, academics have attempted to calculate that, too. Philosophers, not climatologists. But still.

In 2005, a Dartmouth professor, Walter Sinnott-Armstrong, wrote in a journal article provocatively titled “It’s Not My Fault: Global Warming and Individual Moral Obligations” that he was under no moral obligation to refrain from taking a gas-guzzling S.U.V. for a Sunday afternoon joy ride if he felt like doing so.

“No storms or floods or droughts or heat waves can be traced to my individual act of driving,” he wrote. Conversely, “If I refrain from driving for fun on this one Sunday, there is no individual who will be helped in the least.”

Other philosophers questioned his reasoning.

Professor John Nolt of the University of Tennessee took a stab at measuring the damage done by one average American’s lifetime emissions. (The average American generates about 16 metric tons of carbon dioxide-equivalent a year, more than triple the global average.)

Noting that carbon stays in the atmosphere for centuries, at least, and that a United Nations panel found in 2007 that climate change is “likely to adversely affect hundreds of millions of people through increased coastal flooding, reductions in water supplies, increased malnutrition and increased health impacts” in the next 100 years, Professor Nolt did a lot of division and multiplication and arrived at a stark conclusion:

“The average American causes through his/her greenhouse gas emissions the serious suffering and/or deaths of two future people.”

Then Avram Hiller of Portland State University used Professor Nolt’s approach to derive the impact of Professor Sinnott-Armstrong’s hypothetical 25-mile ride.

“At a ratio of one life’s causal activities per one life’s detrimental effects, it causes the equivalent of a quarter of a day’s severe harm,” he wrote.

“In other words, going for a Sunday drive has the expected effect of ruining someone’s afternoon.”

Multiply that joy ride by a three-person Florida vacation and you’ve ruined someone’s month. Something to ponder while soaking up UV-drenched rays on a tropical beach.

Ships? Even worse

There are alternatives to flying, of course. Perhaps a cruise? After all, there’s more ocean than there’s been in thousands of years. With the Northwest Passage now mostly ice-free in the summer, new vistas have opened. One cruise company runs polar bear tours to check out “the Arctic’s ‘poster boy.’”

Perhaps not. Bryan Comer, a researcher at the International Council on Clean Transportation, a nonprofit research group, told me that even the most efficient cruise ships emit 3 to 4 times more carbon dioxide per passenger-mile than a jet.

And that’s just greenhouse gas. Last year, an assistant professor at the Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health found that the air onboard cruise ships was many times dirtier than the air nearby onshore.

“Some of the particulate counts were comparable to or worse than a bad day in some of the world’s most polluted cities like Beijing and Santiago,” said Kendra Ulrich of Stand.earth, the advocacy group that commissioned the study.

While most cruise ships run on highly polluting heavy fuel oil, many have begun using “scrubbers” to remove toxic sulfur oxides from their exhaust. But the scrubbers discharge these and other pollutants into the ocean instead, and they’ve been banned by seven countries and several U.S. states.

A spokeswoman for Cruise Lines International Association, a trade group, said that the scrubbers comply with the new 2020 standards for air and water quality set by the International Maritime Organization, a U.N. agency. The spokeswoman, Megan King, added that it was not fair to compare emissions from ships and jets because a jet is just a transportation vehicle while a cruise ship is a floating resort and amusement park.

There’s always driving, which is less carbon intensive than flying, especially if there are multiple passengers. But “less” is relative, and most long trips are out of practical driving range anyway.

Considering carbon offsets

Maybe there is a justification out there somewhere: Personal decisions alone won’t stop global warming — that will take policy changes by governments on a worldwide scale. Tourism creates millions of jobs in places starved for economic development. Carbon offsets can effectively cancel out our footprint, can’t they?

Carbon offsets do seem to offer the most direct way to assuage traveler’s guilt. In theory, they magically expiate your sins. You give a broker some money (not a lot of money either — carbon offsets can be bought for $10 per metric ton). They give it to someone to plant trees, or capture the methane from a landfill or a cattle operation, or help build a wind farm, or subsidize clean cookstoves for people in the developing world who cook on open fires. All these things help cut greenhouse gas.

But nothing is that simple in practice. Carbon-offset people talk about concerns with things called additionality, leakage and permanence.

Additionality: How do you know the utility would not have built the wind farm but for the money you gave them?

Permanence: How do you know the timber company that planted those trees won’t just cut them down in a few years?

Leakage: How do you know the landowner you just paid not to cut down an acre of rain forest won’t use the money to buy a different acre and clear that?

While certifying organizations go to great lengths to verify carbon offset projects, verification has limits.

“Whether someone would have planted trees anyway, or taken some other action like building a housing development, is ultimately unknowable and something you have to construct,” said Peter Miller, a policy director for the Natural Resources Defense Council and a board member of the Climate Action Reserve, the country’s biggest carbon offset registry. “It’s an endless debate.”

Some carbon offsets are surer bets than others. “With methane capture,” Mr. Miller said, “once you capture that methane and you burn it — you’re done. It’s not in the atmosphere, it’s not going in the atmosphere. You’ve got a credit that’s achieved and you’ve avoided those emissions forever.”

Not flying at all would be better, Mr. Miller said, “but the reality is that there’s lots of folks that are going to do what they’re going to do.” For them, offsets are a lot better than nothing.

But some climate experts call offsets a cop-out.

“It’s like paying someone else to diet for you,” said Alice Larkin of the University of Manchester’s Tyndall Centre for Climate Change Research, who has not flown since 2008.

She said that while governments do need to take tough action, they derive their courage to do so from the conduct of citizens. “In my idea, people move first,” she said.

Offsets, she said, encourage a break-even mind-set when what’s needed to avert disaster is to slash fossil-fuel consumption immediately.

Her colleague Kevin Anderson says that when you buy a ticket you’re not buying just a seat on a plane. You’re telling the aviation industry to run more flights, build more jets, expand more airports.

“Offsetting, on all scales, weakens present-day drivers for change and reduces innovation towards a lower-carbon future,” Professor Anderson wrote in 2012. Lately, a grassroots anti-flying movement has been gathering momentum in Europe, particularly Scandinavia.

But the world still beckons

I’d like to be able to tell you that knowing what I’ve learned reporting this piece, I have sworn off long-distance travel.

But actually this summer, we’re going to Greece, with a stopover in Paris. Carbon footprint of plane tickets: 10.6 metric tons, enough to melt a small-apartment-sized piece of the Arctic.

We committed to going months ago, but I suspect we would make the same choice today. We’re going because last year we canceled vacation to come home and watch our dog die. We’re going because the New York City public high school application process was an ordeal.

Mostly we’re going because of things we saw last time we were there. The tiny beach at the base of the towering cliff. The playground where the little children played past midnight while their parents and grandparents sat chatting. Chubby partridges pecking around the ruined temple of Poseidon.

Before we go, we will buy enough offsets to capture the annual methane emanations of a dozen cows — that’s several times what is needed to balance out the carbon effects of our flights. May they help keep a polar bear afloat.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#536 Message par lulamae » mardi 4 juin 2019 à 0:04

Une initiative pas mal de sportifs à Marseille :
https://www.francetvinfo.fr/monde/envir ... 67893.html

Ca n'est pas sans rappeler les actions de nettoyage des plages de surfrider, avec qui mon collège travaillait dans le sud-ouest (on emmenait les élèves de 4ème en faire) :
https://surfrider.eu/
https://www.initiativesoceanes.org/

Leur campagne actuelle porte sur la protection et valorisation des vagues "patrimoine culturel immatériel", avec deux articles en fin de page sur les partis qui s'intéressent à l'océan et les actions de l'UE.
https://surfrider.eu/essor-internationa ... et-vagues/

Carte interactive :
https://fr.vfto.surfrider.eu/cms/oceanfriendlyprograms
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#537 Message par Siobhan » mercredi 5 juin 2019 à 1:00

Critique des paniques quant à des soit-disant risque de fins du monde écologiques, par le journaliste spécialisé en sciences Matt Ridley (https://en.wikipedia.org/wiki/Matt_Ridley) :

(en anglais)


https://www.wired.com/2012/08/ff-apocalypsenot/

(sur le site du journal Wired)

http://www.scientificoptimism.com/matt- ... n-2012.htm
(Sur le site du journaliste Matt Ridley)
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#538 Message par lepton » samedi 29 juin 2019 à 20:02

Le dernier Tronche en Live est consacré au changement climatique...
Spoiler : 
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#539 Message par lulamae » samedi 29 juin 2019 à 20:25

C'est de saison, avec la canicule. :)
Spoiler : 
2 h 26 sans sous-titres c'est trop long à écouter pour moi, mais j'essaierai de jeter un coup d'œil, ou plutôt un coup d'oreille.
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Re: Pour parler d'écologie, d'environnement

#540 Message par Tugdual » dimanche 30 juin 2019 à 11:34

Pour la durée, on peut zapper les questions/réponses à la fin...
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