[Index Animaux] Chiens (Avantages/inconvénients...)

[Tugdual]

Les joies et les difficultés d'avoir un chien :

• selon 250 propriétaires...

[Deoxys]

Hier, j'ai vu (et papouillé) une pitbull.
Chienne au top, un maître qui avait l'air vraiment très sympa, j'espère qu'il ne se fera pas embêter par les autorités...

La chienne a reçu une diagnose de croisée bully et s'est faite stériliser. De plus, elle n'était pas du tout hypertypée (il me semble d'ailleurs que le pitbull, à la base, est censé être assez mince), plutôt petit format. Donc, a priori, c'est bon (du coup pas non plus d'obligation de la museler et de la tenir en laisse constamment en public...). [Edit - Pardon, normalement la laisse est obligatoire pour tous les chiens. Mais dans la réalité, un chien doit avoir des moments sans laisse ailleurs que chez lui.] [Re-edit - En fait cela dépend des lieux, par contre pour les chiens catégorisés c'est partout.]

Le maître m'a dit qu'il connaissait une personne qui s'était fait enlever son chien, pourtant très cool... Mais quand est-ce qu'on en aura fini avec cette fichue loi ?

[Tugdual]

Jouets pour chiens :

• les couleurs à éviter, celles à choisir...

[Tugdual]

La relation humain-chien est un des marqueurs majeurs :

• de notre histoire moderne...

Extrait :

Professeur d'histoire environnementale à l'université de Liverpool, Chris Pearson s'était déjà attaqué à la question dans un précédent ouvrage, intitulé Dogopolis – How Dogs and Humans Made Modern New York, London, and Paris (Chicago University Press, 2021). Ce premier ouvrage, dont le contenu est abondamment repris dans le second, situe l'émergence du chien moderne dans le contexte plus large du développement des trois métropoles de l'âge industriel. La «dogopolis» est ainsi le produit d'une transformation du rapport à l'espace. Elle émerge au sein d'une société industrielle et d'une classe moyenne en plein essor, à l'ère de la mondialisation, de la science et de l'hygiène modernes.

Ces évolutions s'accompagnent aussi de l'éviction de l'animal de l'espace urbain. Elles ont pour corollaire un renouvellement complet de la relation multimillénaire entre l'être humain et le chien, au gré de la normalisation de l'espace urbain et de ses occupants, quelle que soit leur espèce.

Collared (Londres, Profile Books, 2024) poursuit cette étude en l'élargissant à l'espace mondial, pour donner toute sa profondeur à l'analyse, esquissée dans Dogopolis, d'une relation humain-chien elle-même construite dans l'intersectionnalité des rapports de sexe, de race et de classe.

[lelongdesdunes]

Dans ma vie j'ai eu 4 chiens, deux beaucerons (j'adore cette race), un croisé yorshire/cairn terrier et en ce moment un croisé jack russel/yorshire. J'ai toujours eu une grande complicité avec mes chiens, comme avec mes chats. J'ai toujours considéré mes animaux comme des êtres uniques mais faisant partis de la famille. Mes chats m'apportent la quiétude et l'apaisement et les chiens m'apportent en plus de ça une manière de me booster à rencontrer du monde, mais les personnes que je
rencontrent sont aussi amoureux des chiens lors des ballades. Cela permet de ne pas m'isoler socialement, car quand on a un chien on se doit, même si on est en maison de le sortir au moins deux fois par jour. Ce qui pour mon cas me permet de marcher au minimum 1 heure par ballade.

Vivre sans chien honnêtement j'aurai du mal, après peut être que ce sera le dernier chien, car les années passant je ne me fais plus toute jeune et je ne pourrai pas prendre un autre chien si j'étais certaine de ne pas pouvoir m'en occuper et au pire s'il m'arrive à moi même ou mon mari que le chien se retrouve sans personne. Je sais bien que mes enfants feront l'effort de s'en occuper, mais un chien cela demande du temps, de la présence et aussi cela à un coût.

Le seul inconvénient que l'on rencontre c'est pendant les vacances, il y a de moins en moins de location qui acceptent les animaux, ce que je comprend parfaitement et pour nous, à chaques vacances on prends avec nous nos deux chats et notre chien. Il nous arrive de choisir des locations en fonction de la distance de notre famille, à qui parfois laissons nos animaux, car impossible de louer dans ce cas. Mais les vacances sans nos animaux ont un autre goût malgré tout, surtout pour notre chien. En général les chats n'aiment pas le changement, donc c'est mieux pour eux de rester dans un lieu et avec des personnes qu'ils connaissent mais quand on est obligé de partir sans notre chien, on passe nos vacances à penser que notre chien aurait aimé gambader avec nous à tel ou tel endroit.

Pour nous le seul inconvénient c'est seulement "parfois" concernant le choix au niveau des vacances.