Timphu38 a écrit : ↑mercredi 30 juillet 2025 à 20:39
Les benzos, il vaut mieux éviter d'en prendre plus de 3 mois d'affiliés.
J'y étais accroc il y a une quinzaine d'années. J'en prenais parfois une plaquette entière en une journée. J'avais complètement perdu le contrôle de ma consommation. J'en volais dans la pharmacie de mes proches qui en avait, j'allais voir des médecins que je ne connaissais pas qui m'en prescrivaient.
J'ai même dû être hospitalisé pour m'en défaire. Une vraie daube ces molécules.
Aujourd'hui je m'en sors plus ou moins avec une bonne hygiène de vie. De l'exercice physique quotidiennement, un antidépresseur qui bride mon anxiété et parfois quand je vais trop mal du TERCIAN en gouttes ou alors un quart de lexomil pour m'aider à dormir.
ha ouais t'es allé loin ! En effet à partir d'un certain temps ça a très peu d'effet donc on en prend des tonnes. Maintenant j'en prends quasiment plus, à part lors de longues sorties, pour des rendez-vous important etc. En diminuant progressivement c'est tout à fait faisable.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. PQI (Petit QI ).
" L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de tout ce qui sort de la bouche de D.ieu. "
Mon chiatre veut me sevrer de la Sertraline ( 3 x 50 ) au bout d'un an de traitement.
Quelqu'un a - t - il déjà vécu ça ? Ya t il un manque qui se fait sentir ? des symptômes d'avant traitement qui réapparaissent ?
En mars 2018 : Non diagnostiqué. Je débute la démarche.
2022 : Après 4 ans de d'abandon, je redémarre ma démarche.
2024 : diagnostiqué TDAH par une neuropsy + psychiatre
J'ai du Prozac le matin et je n'ai aucun effet indésirable.
Et le soir j'ai du Zyprexa. Une demi-heure après je dors, et le lendemain matin il me faut au moins 1/2 heure avant de décoincer.
En ce moment je suis en sevrage alcoolique, donc on me donne du Seresta en plus.
Dans mon cas personnel, c'est très efficace, et je n'ai pas d'effets secondaires.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région. "Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
Chacun est différent. Heureusement qu'il y a pas mal de molécules vis à vis de la dépression ou de l'anxiété. Certains fonctionnent très bien, d'autres moyens et d'autres pas du tout. J'avais testé la sertraline et ça m'avait fait complètement l'inverse : saute d'humeur, une anxiété exacerbée... mais j'ai conscience que c'est seulement mon ressenti et si pour d'autres ca fonctionne c'est le principal.
Pour ce qui est l'arrêt des antidépresseurs en général, il faut y aller graduellement car la sensation de "rebond" peut se faire sentir. Pour ma part, on avait petit à petit diminuer les doses et on pouvait attendre entre 1 à 3 mois avant de diminuer encore. Ce n'est pas vraiment un effet de dépendance comme les anxiolytiques qui ont une action plutôt rapide et à court terme. Plutôt de refaire habituer le cerveau à refonctionner sans médicaments.
Je suis sous antidépresseurs en ce moment (Brintellix) car je passe une phase difficile, ça a été décidé avec la psychiatre mais j'avoue que j'appréhende d'enlever ces antidépresseurs (il n'en pas question pour le moment mais peut être dans quelques mois). Mais je sais qu'après ne plus les avoir du tout ça passait mieux. A voir toujours avec un médecin comprenant bien les problématiques et y aller à son rythme.
Diagnostiquée TSA en octobre 2021 et épileptique depuis l'âge de 16 ans.
Mari diagnostiqué TSA en 2016.
Pareille Kumi la sertraline ça ne marche pas trop pour moi. J'ai des sautes d'humeur des colères alors que pendant l'arrêt j'étais plus posée. Je suis plus "excitée" avec la sertraline.
Cerise a écrit : ↑jeudi 28 août 2025 à 19:26
Pareille Kumi la sertraline ça ne marche pas trop pour moi. J'ai des sautes d'humeur des colères alors que pendant l'arrêt j'étais plus posée. Je suis plus "excitée" avec la sertraline.
A voir peut être pour en parler au médecin/psychiatre pour en changer car il y a pas mal de molécules différentes. J'en avais essayé 3 différents avant d'avoir trouvé la bonne.
Le but est vraiment que ça te mette mieux non pas que ça ajoute des problèmes.
C'est clair que ça peut être long de trouver "son" médicament qui convient mais ça vaut le coup.
Diagnostiquée TSA en octobre 2021 et épileptique depuis l'âge de 16 ans.
Mari diagnostiqué TSA en 2016.
Je n'y vais plus au psychiatre qui m'avait prescrit ça parce que c'était un CMP pour enfants et adolescents et mtn je suis majeure. Et ils ne m'ont plus donné de rdv.
Cerise a écrit : ↑samedi 30 août 2025 à 12:29
Je n'y vais plus au psychiatre qui m'avait prescrit ça parce que c'était un CMP pour enfants et adolescents et mtn je suis majeure. Et ils ne m'ont plus donné de rdv.
Étrange tout ça. Ça ne te gêne pas de ne plus voir de psychiatre ?
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. PQI (Petit QI ).
" L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de tout ce qui sort de la bouche de D.ieu. "
Alors moi la mianserine j'ai eue un dosage trop élevé au début et j'ai eue des bouffées suicidaires,par contre on a diminué le dosage,et là je l'ai très bien supporté,il a juste fallu augmenter le dosage jusqu'au bon par pallier.
Sinon avec les anti dépresseurs j'ai pris du poids,déjà j'ai tendance a ça, après c'est comme ça j'ai pris du poids avec tous les antidépresseurs même le prozac,
Je préfère prendre un peu de poids et être mieux dans ma tête.
! En effet à partir d'un certain temps ça a très peu d'effet donc on en prend des tonnes. Maintenant j'en prends quasiment plus, à part lors de longues sorties, pour des rendez-vous important etc. En diminuant progressivement c'est tout à fait faisable.
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