Bonsoir,
Premier fil pour ma part, j'ai surtout besoin de partager quelque chose dans toute sa profondeur, ce que je ne peux pas faire à mes proches, même d'autres TSA, parce que c'est quasiment inentendable. Même les oisgnants qui me suivent, ça me fait mal au coeur pour eux de leur partager ça...
Je souffre de dépression chronique depuis 2011, année de mon premier épisode majeur. Chaque année j'ai droit à une rechute plus ou moins sévère, essentiellement pour solitude et malaise dans les relations.
En début d'année, j'ai entrevu la fin du tunnel, sans pour autant croire aveuglément à l'absence de périodes difficiles à l'avenir, comme pour tout le monde. J'avais fortement diminué mes antidépresseurs, je me sentais bien dans la plupart des contextes sociaux (travail, coloc', potes, sport, etc...), et étais même parfois exceptionnellement sociable, beaucoup plus que la moyenne. Même au bar. C'est dire.Je commençais à me sentir adapté au travail. C'était quasiment irréel.
Je me sentais à nouveau vraiment jeune et énergique (j'ai 32 ans), contrairement à ces dernières années depuis le Covid où chaque jour ou presque était crevant, à devoir dormir 10 heures chaque nuit, à avoir de très grandes difficultés dans les tâches domestiques après le travail, et à végéter le WE essentiellement pour me reposer.
Ce faisant, certaines de mes relations se sont considérablement améliorées, surtout une. Une amie proche, une personne à qui je tiens énormément. Jusqu'à fin 2024, je me sentais mal-à-l'aise avec elle comme avec la plupart des gens, surtout avec ceux que je sens socialement beuaocup plus adaptés que moi, plus intéressants, plus sociables, voirs que j'admire et qui m'impressionnent. Alors que je me sentais et me sens encore assez ennuyeux et nul, alors que j'ai plein de raisons de croire le contraire.
Dans cette période extatique pour moi, enfin je me sentais vraiment à l'aise avec elle. Elle aussi. Ca a changé les sentiments qu'on nourrissait l'un pour l'autre, sachant que j'avais une attirance physique forte pour elle depuis le début. Elle m'en a parlé, puis s'est rétracté. Ca a été mon tour, devant ses hésitations je me suis rétracté aussi pour garder ma meilleure amie.
Depuis, elle me ghoste. N'a plus lu ni répondu à mes messages suivants, et ni à ma seule tentative d'appel a donné un SMS "je vous rappelle plus tard". Je lui écrivais de temps en temps pour renouer le contact. J'ai arrêté de la contacter fin juin, après m'être livré complètement. Pas la peine d'insister davantage. Elle reviendra quand elle en aura envie.
Et depuis ça a été la descente aux enfers. J'ai tenu 2 mois en mobilisant mes ressources (amis, tennis, randos, nouvelle psychologue, etc...), mais dès le premier jour j'ai développé de fortes angoisses et insomnies. Au bout de 2 mois j'ai décompensé, et accepté de prendre un sédatif pour faire des nuits complètes, parce que dormir 5h par nuits max était devenu insoutenable. J'avais jamais connu ça avant.
Et je suis revenu à la dose d'antidéps qui était la mienne il y a 4 ans, la dose max de cette molécule.
Résultat de 2 mois de ruminations que seules mes vacances avec mes meilleurs amis ont diminué fortement - et encore... -, je n'ai jamais été aussi drogué de ma vie. Antidépresseur, sédatif, anxiolytique. A 32 ans.
Considérant mon état antérieur, ce fut la pire rechute de ma vie, plus sévère que celle des confinements.
Et j'en ai ras-le-bol.
Pas dans le sens où je voudrais en finir bientôt. Je l'ai à nouveau envisagé courant juillet, pour la première fois de ma vie j'ai pensé à l'overdose de médocs à l'avenir. J'en ai parlé à mes psys.
J'en ai ras-le-bol parce que malgré tous mes efforts et mes progrès objectifs, j'ai toujours ces rechutes. Et les aurai toujours, à un moment donné faut voir la vérité en face. J'avais mal soigné mon premier épisode, comme une cheville ou un genou mal soigné derrière les neurones sont fragilisés à vie.
J'ai perdu l'espoir de sortir de cette dépression chronique et de m'adapter à la vie "normale". Métro, boulot, dodo, carrière, couple, famille. Marre de camoufler mon adaptation à cette vie en surcompensant constamment.
Et c'est pas plus mal, et c'est logique, parce que ça n'a jamais été ce que je voulais vraiment. Déjà à 17 ans je voulais devenir maraîcher bio et vivre en autonomie partielle. L'informatique n'était qu'un choix de facilité par défaut, vivre dans une agglomération encore plus.
Cette année m'a rappelé que ce que j'aime vraiment c'est vivre en montagne, la nature, la rando, l'histoire. Surtout la haute montagne. Et cette année m'a aussi appris que j'ai eu une très bonne condition physique, capable de réaliser des treks de plusieurs semaines en altitude.
J'ai perdu espoir, et en fait j'ai compris ces dernières semaines que j'avais besoin de perdre espoir, pour arrêter de croire à une chimère. Celle de la guérison (de la dépression). J'ai enfin compris certains mots de Camus sur l'espoir et le désespoir. Quand on espère plus l'impossible, et qu'on accepte la réalité, on devient libre et on peut vivre pleinement. C'est une délivrance. Je me sens enfin à nouveau libre, libre de faire ce que j'aime vraiment. Parce que j'ai plus grand-chose à perdre.
Mon âge est une boisson amère à chaque pensée ces derniers temps. Derriêre moi, 16 ans de souffrances, maladie, maltraitance et errance médicale. Devant moi, je vois juste un compte à rebours. On sait tous ce qui attend tôt ou tard le dépressif chronique. Un "simple" ghosting, soi violent soit-il considérant ma tendance pathologique aux ruminations, m'a fait lourdement rechuter. Alors quand je subirai quelque chose de bien pire, comme une séparation affective d'un couple de plusieurs années (scénario hautement fictif)...
Alors je vais passer le concours de guide accompagnateur montagne, et essayer d'en vivre avec des activités complémentaires, un peu d'informatique et/ou de maraichage ou d'autres choses. On verra bien. Avant ça je vais quitter mon taf d'informaticien, et l'été prochain partir traverser les Alpes d'ouest en est ou faire un mix de wwoofing et trek dans le Caucase plusieurs mois. Profiter, maintenant que je suis suffisamment sociable pour voyager seul très loin de la France. Profiter de ce milieu, la montagne, où je me sens vraiment serein, libre et même puissant, capable avec une peur minimale de traverser seul la majorité des terrains hors sentiers.
TSA et dépression chronique
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TSA et dépression chronique
diagnostiqué TSA SDI (sans déficience intellectuelle alias "Asperger") en 2020, Centre Expert de Saint-Martin-d'Hères (38)
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Re: TSA et dépression chronique
Je ne connais pas assez la dépression.
Par contre, pour l'autisme, oui, on reste autiste.
Donc les interactions sociales, même positives, resteront fatigantes pour nous (à divers degrés selon les personnes, selon les contextes, selon les états, etc.).
En général, donc, ça restera difficile/impossible de tenir longtemps des activités avec beaucoup d'interactions sociales. Le syndrome d'épuisement autistique n'est pas loin.
Alors si la dépression vient s'y ajouter...
Cela dit, tu peux garder ces bons souvenirs positifs, même - surtout - si ces moments positifs furent provisoires.
Dormir cinq heures par nuit ? Moé, m'faut au moins neuf heures par jour, sinon pauses-sommeil après-midi.
Comme chus couche-tard en général durant mes congés - j'ai congé demain
-, je suis à faire la grasse matinée aussi.
Je connais très peu de personnes autistes qui travaillent à temps plein.
Je connais beaucoup plus de personnes autistes qui ont vécu des syndromes d'épuisement [autistique].
Albert Camus ? Très bon écrivain : La peste, L'étranger, L'homme révolté.
[On se d'mandrait presque s'il était autiste aussi.
]
Au font, chaque personne est différente - neurodiversité oblige ! - donc sus aux totalitarismes - Hannah Arendt - et acceptons chaque personne telle qu'elle est (loin le sexisme, le racisme, l'âgisme, le capacitisme, le colorisme, etc.). Kossé ça signifie "normal" ? Chaque personne a ses forces et ses limites, et qui évoluent.
T'es djà allé au Mont Ventoux ?
Par contre, pour l'autisme, oui, on reste autiste.
Donc les interactions sociales, même positives, resteront fatigantes pour nous (à divers degrés selon les personnes, selon les contextes, selon les états, etc.).
En général, donc, ça restera difficile/impossible de tenir longtemps des activités avec beaucoup d'interactions sociales. Le syndrome d'épuisement autistique n'est pas loin.
Alors si la dépression vient s'y ajouter...
Cela dit, tu peux garder ces bons souvenirs positifs, même - surtout - si ces moments positifs furent provisoires.
Dormir cinq heures par nuit ? Moé, m'faut au moins neuf heures par jour, sinon pauses-sommeil après-midi.
Comme chus couche-tard en général durant mes congés - j'ai congé demain


Je connais très peu de personnes autistes qui travaillent à temps plein.
Je connais beaucoup plus de personnes autistes qui ont vécu des syndromes d'épuisement [autistique].
Albert Camus ? Très bon écrivain : La peste, L'étranger, L'homme révolté.


Au font, chaque personne est différente - neurodiversité oblige ! - donc sus aux totalitarismes - Hannah Arendt - et acceptons chaque personne telle qu'elle est (loin le sexisme, le racisme, l'âgisme, le capacitisme, le colorisme, etc.). Kossé ça signifie "normal" ? Chaque personne a ses forces et ses limites, et qui évoluent.
T'es djà allé au Mont Ventoux ?

Modifié en dernier par freeshost le jeudi 21 août 2025 à 13:03, modifié 1 fois.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
Diagnostiqué autiste en l'été 2014

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Re: TSA et dépression chronique
Je connais bien la dépression ! (
la classe, je sais... /sarcasme )
T'es-tu déjà demandé si tu n'as pas vécu un épuisement autistique, comme l'a suggéré freeshost ? Le ghostage étant la "goutte de trop" qui a plombé ton humeur assez fort pour enclencher l'effondrement. Et l'épuisement autistique, ça déclenche quasi systématiquement une grosse dépression. Pour les personnes autistes, c'est une raison assez fréquente de dépression chronique.
Car ce que tu nous dis sur la période où tu as été très sociable, ça me semble "beaucoup" pour une personne autiste. J'ai déjà vécu ça, et bien que j'étais assez heureuse pendant cette période (je la regrette même un peu, mais je sais que ce serait mauvais pour ma santé sur le long terme d'y retourner...), ce qui m'a attendu au bout du compte c'était un épuisement monumental dès qu'il s'est passé quelque chose de compliqué dans ma vie. Je n'avais pas les moyens d'encaisser le moindre pépin, car je passais déjà mes journées à surcompenser. Normalement, on est censé avoir de la "réserve" mentalement et physiquement pour tenir le coup quand on vit une mauvaise passe.
Après, je me trompe peut-être.
En tout cas, peu importe la raison derrière tout ça, tu me semble déjà être en très bon chemin. Pour sortir de la dépression, rien de tel que d'essayer de nouvelles choses. Qui sait, tu te retrouveras peut-être avec un mode de vie qui conviendra bien mieux que l'ancien. Je plussoie le retour vers la nature et je te souhaite d'aller mieux

T'es-tu déjà demandé si tu n'as pas vécu un épuisement autistique, comme l'a suggéré freeshost ? Le ghostage étant la "goutte de trop" qui a plombé ton humeur assez fort pour enclencher l'effondrement. Et l'épuisement autistique, ça déclenche quasi systématiquement une grosse dépression. Pour les personnes autistes, c'est une raison assez fréquente de dépression chronique.
Car ce que tu nous dis sur la période où tu as été très sociable, ça me semble "beaucoup" pour une personne autiste. J'ai déjà vécu ça, et bien que j'étais assez heureuse pendant cette période (je la regrette même un peu, mais je sais que ce serait mauvais pour ma santé sur le long terme d'y retourner...), ce qui m'a attendu au bout du compte c'était un épuisement monumental dès qu'il s'est passé quelque chose de compliqué dans ma vie. Je n'avais pas les moyens d'encaisser le moindre pépin, car je passais déjà mes journées à surcompenser. Normalement, on est censé avoir de la "réserve" mentalement et physiquement pour tenir le coup quand on vit une mauvaise passe.
Après, je me trompe peut-être.
En tout cas, peu importe la raison derrière tout ça, tu me semble déjà être en très bon chemin. Pour sortir de la dépression, rien de tel que d'essayer de nouvelles choses. Qui sait, tu te retrouveras peut-être avec un mode de vie qui conviendra bien mieux que l'ancien. Je plussoie le retour vers la nature et je te souhaite d'aller mieux

Diagnostiquée TSA (02/2024) et TAG (09/2023)
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Re: TSA et dépression chronique
Mon avis très personnel sur la question : faire avec l'autre, c'est compliqué. ça semble déjà l'être pour les allistes, mais je pense que l'on a double peine quand on est autiste... Et plus j'avance, plus je me dis que je suis de moins en moins sûr que l'Homme soit un être sociable et une espèce grégaire...
En 45 ans, je n'ai pas encore trouvé de recette miracle, mais ayant été régulièrement déçu du comportement et de mes relations avec les autres et traversé des périodes de merde à cause de cela, j'ai décidé (à l'exception du cocon familial présent sous mon toit avec lequel je réussi à me démerder à peu près) de ne plus rien attendre des relations avec les autres, ce qui facilite grandement l'équation ! Je vis le moment présent, je prends ce qu'il y a à prendre et donne ce que je peux quand j'ai des moment de "sociabilité" qui arrivent, et j'ose depuis maintenant quelques années dire "non merci" ou "je n'ai pas envie" quand ce n'est pas le bon moment. Tant pis si les gens me prennent pour un "sauvage" et me jugent, tant pis si les relations se font et se défont, c'est que l'on n'était peut être pas assez connectés au final. Chose "marrante" : depuis que j'ai décidé d'agir comme ça, les choses se passent de manière vachement plus apaisée et j'ai certaines relations "suivies" qui durent au cours des années, avec parfois de longues périodes de silence, mais où la conversation peut reprendre comme si c'était hier avec les personnes, que ça ne semble pas non plus déranger pour le coup.
Bref, je pense que les choses sont beaucoup moins douloureuses en faisant le deuil et en baissant ses attentes vis à vis des autres. Reste à voir si cela peut te convenir aussi. (et de ce que laisse transparaitre ton gout pour la solitude, ca pourrait peut-être t'être applicable aussi).
En 45 ans, je n'ai pas encore trouvé de recette miracle, mais ayant été régulièrement déçu du comportement et de mes relations avec les autres et traversé des périodes de merde à cause de cela, j'ai décidé (à l'exception du cocon familial présent sous mon toit avec lequel je réussi à me démerder à peu près) de ne plus rien attendre des relations avec les autres, ce qui facilite grandement l'équation ! Je vis le moment présent, je prends ce qu'il y a à prendre et donne ce que je peux quand j'ai des moment de "sociabilité" qui arrivent, et j'ose depuis maintenant quelques années dire "non merci" ou "je n'ai pas envie" quand ce n'est pas le bon moment. Tant pis si les gens me prennent pour un "sauvage" et me jugent, tant pis si les relations se font et se défont, c'est que l'on n'était peut être pas assez connectés au final. Chose "marrante" : depuis que j'ai décidé d'agir comme ça, les choses se passent de manière vachement plus apaisée et j'ai certaines relations "suivies" qui durent au cours des années, avec parfois de longues périodes de silence, mais où la conversation peut reprendre comme si c'était hier avec les personnes, que ça ne semble pas non plus déranger pour le coup.
Bref, je pense que les choses sont beaucoup moins douloureuses en faisant le deuil et en baissant ses attentes vis à vis des autres. Reste à voir si cela peut te convenir aussi. (et de ce que laisse transparaitre ton gout pour la solitude, ca pourrait peut-être t'être applicable aussi).
Collectionneur de médailles :
diagnostiqué HPI il y a bien longtemps...
TSA + TDAH validés tardivement en 2025...
diagnostiqué HPI il y a bien longtemps...
TSA + TDAH validés tardivement en 2025...
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- Localisation : Au pied des Pyrénées
Re: TSA et dépression chronique
J'ai l'impression en te lisant que tu prends les bonnes décisions pour toi. Et 32 ans, ce n'est pas trop vieux pour se reconvertir !
Bref, bravo à toi pour avoir su tirer les bonnes conclusions de ton effondrement et d'avancer !
Bref, bravo à toi pour avoir su tirer les bonnes conclusions de ton effondrement et d'avancer !

Détectée HQI dans l'enfance, diagnostiquée TSA de type syndrome d'Asperger en juillet 2015.
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- Enregistré le : mardi 25 avril 2023 à 17:24
- Localisation : San Junipero
Re: TSA et dépression chronique
Dans le message d'origine, je lis — certes, en filigrane — un beau projet personnel, résolument tourné vers l'avenir.
J'ai vu (télé à l'époque) plusieurs témoignages de personnes (TSA ou non, je ne saurais dire) ayant abandonné une « situation stable » (boulot relativement bien payé dans grande agglo) pour « partir au vert ». Je ne me souviens pas si les visages « rayonnaient de bonheur », mais les discours factuels ne laissaient planer aucun doute. Les changements étaient assumés car ayant grandement amélioré la qualité de vie.
J'ai vu (télé à l'époque) plusieurs témoignages de personnes (TSA ou non, je ne saurais dire) ayant abandonné une « situation stable » (boulot relativement bien payé dans grande agglo) pour « partir au vert ». Je ne me souviens pas si les visages « rayonnaient de bonheur », mais les discours factuels ne laissaient planer aucun doute. Les changements étaient assumés car ayant grandement amélioré la qualité de vie.
Cogito, ergo seum.
TSA niveau 1 (ex-Asperger) dans contexte HPI (hétérogène) confirmé en CRA fin 2019.
TSA niveau 1 (ex-Asperger) dans contexte HPI (hétérogène) confirmé en CRA fin 2019.