
Bon plus qu'a : prendre des provision à manger et à boire et m'enfermer à clé en mode abris anti-nucléaire ! Et avec le casque les bouchon et de la music classic.
Je compatis. Perso je ne me force plus, quand je sens que ça va virer à la corvée, je refuse tout net, je ne cherche même plus d'excuses. Ca vexe, ça ne vexe pas, ce n'est plus mon problème. ^^ L'année dernière j'ai accepté de participer à un déjeuner entre collègues (une quinzaine) parce que j'ai pu choisir le resto (tout près de chez moi, à même pas 800 mètres, mais personne ne sait précisément où j'habite car j'entretiens le mystère !)... Bon, au final j'ai quand même regretté, ils m'ont fichu la honte, ils parlaient fort, n'étaient pas aimables avec la serveuse, critiquaient les voisins de table sans se cacher... Arg.Crépuscule a écrit :Je reviens d'un repas de "fin d'année" avec mes collègues, offert par le patron, nous sommes une quarantaine, et je me demande pourquoi je fais encore l'effort de participer à ce genre d’événement, pour ne pratiquement pas sortir un mot de la soirée, entendre des conversations que je connais d'avance dans un brouhaha insupportable, ne même pas savoir comment dire au-revoir aux gens après et donc filer lamentablement à l'anglaise, se sentir mal après tout ça, n'en ressentir aucun plaisir, et une fois de plus passer pour le dingue de service... A quoi bon ? J'en ai marre. J'aurais même envie de leur dire d'aller tous se faire f... en fait ^^![]()
Le pire c'est que je me dis toujours que je vais faire l'effort, pour faire plaisir, pour faire comme tout le monde, ce coup-ci c'était un très bon restaurant Thaï, c'est la seule chose qui me motivait...
J'ai aussi eu l'occasion de remarquer ce genre de choses ...ClaraO a écrit :Bon, au final j'ai quand même regretté, ils m'ont fichu la honte, ils parlaient fort, n'étaient pas aimables avec la serveuse, critiquaient les voisins de table sans se cacher...
J'espère qu'elle arrivera un jour à comprendre, il lui faut peut-être du temps...De l'inutilité de transmettre des vidéos et cie à sa mère sur le SA, pour qu'elle finisse par te sortir les 1ères conneries psykk qu'on lui balance -__-
C'est ce que je ferai dorénavant je pense. J'ai suffisamment expérimenté ce genre de manifestation pour comprendre que ça ne me convient pasLiya a écrit :Je compatis crepuscule, c'est horrible ces trucs. En plus 40 personnes, c'est énorme!![]()
J'avoue honteusement me servir de mes chèvres pour échapper à ce genre de manifestations.
L'argument "je ne peux pas, j'ai mes chèvres à m'occuper et à traire" semble imparable
J'ai vécu ça aussi dans ces circonstances, ne plus savoir où me mettre à cause de la lourdeur de mes collègues, parler fort également, et toujours le même genre de blagues en dessous de la ceinture bien lourdes par exemple. Un peu ça va ^^ Je n'ose rien dire pour ne pas paraître méprisant mais on se sent seul dans ces cas là.ClaraO a écrit :
Je compatis. Perso je ne me force plus, quand je sens que ça va virer à la corvée, je refuse tout net, je ne cherche même plus d'excuses. Ca vexe, ça ne vexe pas, ce n'est plus mon problème. ^^ L'année dernière j'ai accepté de participer à un déjeuner entre collègues (une quinzaine) parce que j'ai pu choisir le resto (tout près de chez moi, à même pas 800 mètres, mais personne ne sait précisément où j'habite car j'entretiens le mystère !)... Bon, au final j'ai quand même regretté, ils m'ont fichu la honte, ils parlaient fort, n'étaient pas aimables avec la serveuse, critiquaient les voisins de table sans se cacher... Arg.
En même temps, un naturopathe ...Lilette a écrit :Un naturopathe en l'occurrence, qui "fait du décodage (décodage de quoi, bonne question ...), il a 2 patientes autistes, ça vient de la petite enfance".
Non mais au secours ....